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L’Algérie et le vote du Conseil de sécurité sur le Sahara occidental : le naufrage diplomatique de Tebboune

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Dernier épisode d’une longue série de revers diplomatiques, le vote du Conseil de sécurité sur le Sahara occidental a mis à nu l’isolement d’une Algérie qui persiste à croire que la défiance peut tenir lieu de stratégie. Pour le faire oublier, le pouvoir et ses relais multiplient les célébrations folkloriques du 1er novembre 1954, un événement dont la portée est trahie depuis 1962.

On est en plus à un échec près avec Abdelmadjid Tebboune. Malgré une mobilisation de dernière minute pour rallier Pékin, Moscou et Islamabad à sa cause, Alger a vu ses alliés s’abstenir, laissant passer le texte américain favorable au plan d’autonomie marocain. La diplomatie de la taghenant montre ses limites. Et prouve si besoin que ces supposés alliés ne le sont pas réellement. En vrai : que peut offrir l’Algérie en contrepartie à ces pays ?

Le verdict du Conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara occidental, adopté le 1ᵉʳ novembre, a résonné comme un coup d’assomoire à Alger. En renouvelant le mandat de la MINURSO et en réaffirmant la “primauté” de la proposition marocaine d’autonomie, le texte américain a infligé un nouveau camouflet à la diplomatie algérienne. Celle-ci, fidèle à sa ligne de défiance — cette fameuse taghenant érigée en doctrine —, s’est retrouvée une fois de plus isolée, impuissante à infléchir le cours des choses.

Jusqu’aux dernières heures ayant précédé le vote, Alger a pourtant tout tenté pour mobiliser des soutiens autour du principe de la “décolonisation” du Sahara occidental. Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a multiplié les entretiens téléphoniques avec ses homologues chinois, russe et pakistanais, espérant un front de refus. En vain. Les représentants de ces trois pays au Conseil de sécurité ont préféré s’abstenir, laissant la voie libre au texte américain. Une abstention lourde de sens, qui en dit long sur l’isolement diplomatique de l’Algérie jusque dans les rangs de ses partenaires dits “stratégiques”.

Une diplomatie à bout de souffle

Ce revers n’est pas un accident. Il s’inscrit dans une série noire de déconvenues qui traduisent l’essoufflement d’une diplomatie désormais plus démonstrative que stratégique. Depuis l’arrivée d’Abdelmadjid Tebboune au pouvoir, les faux pas s’accumulent : échec retentissant de la candidature au club des BRICS, détérioration des rapports avec les voisins du Sahel, bras de fer perdus avec l’Espagne et la France, tensions avec les Émirats arabes unis, et impasse totale dans le projet d’un “Maghreb sans Maroc”.

L’Algérie a voulu jouer seule et contre tous. Résultat : elle se retrouve seule, tout court. Même au sein de la Ligue arabe, son influence s’érode. Le “sommet du retour” organisé à Alger en 2022 s’est soldé par un fiasco diplomatique. Exclue du dossier syrien, marginalisée dans le dossier palestinien, la diplomatie algérienne n’est plus la voix audible qu’elle fut dans les décennies précédentes.

Le prix du réflexe de défiance

Ce déclin ne tient pas seulement à des erreurs d’appréciation conjoncturelles. Il découle d’une culture politique et diplomatique figée, fondée sur la posture, la suspicion et  le réflexe de confrontation. La “taghenant” — cette raideur érigée en vertu nationale — a fini par se retourner contre ceux qui l’invoquent à tout propos et qui oublient que le pragmatisme est une vertue cardinale en diplomatie. 

Face à l’évolution rapide des rapports de force régionaux, Alger persiste à croire que la fermeté suffit à tenir lieu de stratégie. Or, la diplomatie moderne récompense la flexibilité, la capacité à bâtir des alliances et à composer avec la réalité. Ce n’est pas le cas de l’Algérie actuelle, qui préfère camper sur ses certitudes et se draper dans un discours souverainiste déconnecté des équilibres du monde.

Le désenchantement d’une puissance déclassée

Le naufrage diplomatique observé au Conseil de sécurité illustre ce désenchantement. Les capitales qui, hier encore, faisaient bloc derrière Alger, regardent désormais ailleurs. Même Moscou et Pékin, longtemps perçus comme des soutiens indéfectibles, ont choisi la neutralité. L’Algérie ne pèse plus, ni en Afrique, ni au sein des BRICS, ni dans le monde arabe.

En s’enfermant dans une logique de fierté blessée, le pouvoir algérien a transformé la diplomatie en vitrine de politique intérieure : tonner contre le monde pour mieux galvaniser l’opinion, brandir la “souveraineté nationale” pour masquer l’isolement. Mais la réalité internationale ne se plie pas aux discours.

Le vote du 31 octobre n’est pas seulement un revers dans le dossier du Sahara occidental. Il consacre la faillite d’une méthode : celle d’un pays qui confond dignité et raideur, et qui, à force de vouloir défier tous les autres, a fini par se défier lui-même.

La Rédaction 

*La posture de taghenant qui  signifierait : raideur, défiance, confrontation, fermeté exagérée et inopportune 

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15 Commentaires

  1. Ce vote au conseil de sécurité est une bonne nouvelle pour l’Afrique du Nord : la suppression d’une vérue la « république arabe sahraoui » dans les terres de Tamazgha.
    Cependant, ce n’est qu’une étape.
    La prochaine étape sera l’éjection du monarque alaouite, qui ira retrouver ses ancêtres en Arabie Saoudite (ils disent qu’ils sont de là-bas).
    Puis la voie sera ouverte pour la construction de Tamazgha sur des bases saines, en balayant au passage ce qui reste des ruines de l’arabo-islamisme.
    ça sera la libération politique et culturelle des 110 millions de nord-africains !!!

      • La prochaine défaite du régime d’Alger est toute proche. Elle arrive à grands pas. Elle est là, mais tout aveuglés par leurs gros nez enflés, il ne la voient pas… l’ndépendance de la Kabylie sera le coup de grâce.

    • Et que feriez-vous des arabo-musulmans ou musulmans tout court … On les éjectes selon le concept RN-FRONTO-LEPENISTE..?? Au passage et à propos …les traites qui se succèdent au pouvoir par la grâce de la kalachnikov et des tanks soviétiques, font profils BAS… le plébiscite à NEW-YORK et PARIS y pour beaucoup car leur intérêts privés et personnels sont prioritaires…les histoires du sahara les accords de 68…ça c’est pour la PLÈBE…CQFD
      Et à bon entendeur

    • Et ça sera la naissance de la grande Nation amazigh.
      Pétrole, phosphate terres rares, soleil, tourisme, agriculture
      continuité linguistique, géographique, culturelle …………..
      El la monaie toute trouvée le MASSI « le dollar amazigh »

      WHAT ELSE

      AH les jeunes et les moins jeunes ne serviront plus de nourriture aux poissons de la grande bleue ; on pourra alors remanger et se délecter des sardines grillées

      rêver c’est déjà ça

  2. Je cte:  » Jusqu’aux dernières heures ayant précédé le vote, Alger a pourtant tout tenté pour mobiliser des soutiens autour du principe de la “décolonisation” du Sahara occidental.

    principe de la “décolonisation” du Sahara occidental. – Ca ne veut rien dire. Il n’y a pas de « principe pour le Sahara, le polisario ou encre moins pour la RASD. Vous inventez n’importe quoi pour ne pas chatouiller teboune et ses capotes. c’est vous qui delirez, pas lui. Il y a un DROIT, celui des Peuples qui se sont defaits du joug colonial qui ont un droit a LEUR AUTODETERMINATION. Et merci a Teboune de VOUS LE RAPPELER, et par vous je veux dire les Kabyles et les Chaouis – Il y a cependant une condition: IL FAUT LE RECAMER CE DROIT. Sinon, vous avez tout de meme une petite recompense « le droit de faire du Q 5 fois par jour et toute la journe’e vendredi, et un sac poubelle pour vos meres, vos soeurs et vos filles » – Ooops, et le droit au batton par-ci par-la. Faute de tout ca, il reste « Bonzour missiou digoule, moi ze suis modere’, je peux rester? ze vais intellectuer et me raser 5 fois par jour. »

    Et Ferhat Nat Saed est l’EXCEPTION QUI CONFIRME LA REGLE !
    Vive la Kabylie Libre et Independente.

  3. Oh oui ! Tout ce qu’on peut tirer de cette comédie onusienne, c’est la débâcle de l’Algérie. Rien d’autre.
    Même si, franchement, ce n’est qu’une résolution — et des résolutions de l’ONU, on en connaît un paquet qui prennent la poussière depuis que la 242 médite sa retraite spirituelle au cimetière des promesses non tenues.
    La 338 ronfle dans sa tombe à côté de la 1973, pendant que la 660 fait des mots croisés avec la 425. Autant dire que celle du Sahara ira rejoindre la famille des fantômes diplomatiques avant la fin du mois.

    Je lisais, pendant toute cette joute onusienne, sous la plume d’enthousiastes narrateurs, comment nos intrépides bretteurs amphibies de la diplomatie remportaient bataille après bataille pour “libérer” les Sahraouis.
    C’est ainsi qu’on raconte les épopées, ya Darbouka — me glisse mon chat Hmimiche — on ne va tout de même pas te dire qu’ils sont en train de mordre la poussière, kamim !

    Mais je ne m’attendais pas à ce que des plumes naguère plus contenues se mettent à leur donner le coup de grâce pendant qu’ils ramassent leurs dents diplomatiques.
    On voudrait nous faire croire qu’il suffit de déposer un problème à l’ONU pour qu’il se résolve tout seul, comme un plat au micro-ondes.

    Et encore ! Comme si cette résolution avait définitivement consacré le Sahara au Maroc… On sait pourtant ce qu’il advient des résolutions onusiennes : elles grelottent dans les “cold cases” de l’histoire, classées sans suite par des secrétaires de séance qui n’en croient plus un mot.
    Si on avait voulu enterrer le dossier, on ne s’y serait pas pris autrement.

    Non mais ! Que les Marocains se réjouissent d’avoir récupéré le Sahara à notre barbe malgré toutes les entraves qu’on leur a posées, soit ! ya Moulay, ça se comprend.
    Mais que des Algériens s’en réjouissent, ça me navre — et pas qu’un peu.
    Ce sont les mêmes qui nous récitent le chapelet de la “résolution 1514” comme une sourate oubliée, sans voir que leur temple onusien n’est plus qu’un mausolée d’intentions pieuses.

    D’aucuns — et même un peu plus — diront que notre Jarnane ne dégaine pour les premières lectures que ses deuxièmes plumes pour harponner le gogo.
    Mais non, voyons ! Les exégèses les plus fines, comme le couscous du vendredi, demandent du temps de cuisson.
    Et pour sortir Il Professor de son sarcophage, faut d’abord souffler la poussière du siècle dernier.

    Outre que ce n’est pas très élégant de nous tirer dans le dos pendant qu’on est à terre — sous prétexte qu’on serait des grandes gueules — au lieu de venir nous 3euzer dignement pour notre défunte arrogance.
    Nous faire ça, à nous qui ne jurions que par l’ONU !
    Vas-y donc, toi, voir avec ton ONU ton dossier sahraoui, si t’as le courage. Celle-là même qu’on jetait à la figure des Marocains quand ils osaient ramener le sujet.

    Dire qu’on faisait les fiers au Conseil de sécurité, qu’on y croyait encore ! Nous qui avons fait l’honneur à cette auguste assemblée de notre présence intermittente, on nous paye en ingratitude et en abstentions glacées.
    Maintenant, l’envie nous prend d’en faire une ONU 2.0, rien qu’à nous, avec des résolutions qui s’appliqueraient pour de vrai — au moins entre cousins.

    Je ne te dis pas comment ils se réjouissaient de notre déculottée en feignant de ne pas remarquer qu’on n’était même pas là !

    Iwi ! C’est que le demyati ésotérique n’est accessible qu’aux plus érudits.
    Pendant que les charbonniers gobent tout ce qu’on leur sert, nos décodeurs mystiques prennent le temps d’inverser les versets avant de nous livrer leurs conclusions.

    Tenez, à portée de clic — ou de claque —, combien parmi les minbaristes du Matin-Dized, toujours prompts à la vocifération, nous ont vendu le boycott tonitruant de notre piyé à l’ONU comme une capitulation déguisée ?
    Alors qu’un demyatiste reconnu y verrait une ruse de haut vol : tu es contre, farouchement contre, mais tout seul.
    Alors que faire ? voter contre ? s’abstenir ? bouder ?
    Non ! On entre dans le stade, mais on ne joue pas. Et comme on ne retiendra que la victoire du Maroc, personne ne parlera de notre absence.
    Ainsi, le Maroc aura gagné… contre lui-même.

    Et puis, attendons un peu : ils verront bien que du Sahara, ils n’ont pas seulement pris les phosphates et les eaux poissonneuses. Ils hériteront aussi des Sahraouis — affamés, têtus, et pleins de mémoire.
    Ah, s’ils savaient combien ça mage un Sahraoui. Comment on le saurait ? Comme si ce n’était pas nous qui les avons nourris, habillés et abrités pendant cinquante ans !

    Non, on ne les regrettera pas, les Sahraouis. Des causes perdues, il en reste à foison, et des pommes de discorde aussi pour nos voisins.
    Et quand la prochaine résolution viendra, qu’on la range directement entre la 242 et la 338, dans le grand musée des illusions onusiennes.

    .

  4. La seule cause qui compte à mes yeux c’est la cause algérienne. La Palestine, le Sahara, la fabrique des ennemis, c’est juste un prétexte pour justifier depuis 62 le monopole de l’armée au pouvoir. Les principes, les droits des peuples ? Quel crédibilité peut avoir ce discours émanant d’un régime qui opprime son peuple ? Quel écho peut avoir ce discours émanant d’un régime qui étouffe toute expression de son peuple ? La souveraineté ? C’est juste un prétexte pour permettre aux généraux de piller le pays et ne laisser aucune chance aux algériens et aux algériennes. Le droit à l’auto détermination ? Commençons par le droit à l’auto détermination du peuple algérien : posons la question par référendum aux algériens : est ce que nous voulons que les généraux restent au pouvoir ? Non ! Est ce que nous adhérons à cette politique étrangère qui ne vise rien d’autre que l’isolement du peuple algérien ? Non ! Est ce que nous sommes d’accord avec cette politique qui vise à faire de l’Algérie un trou noir, un Etat voyou et paria ? Non ! Les algériens veulent que l’Algérie soit un pays ouvert, amical avec le monde entier et tourné vers l’occident. Les algériens veulent un Président intelligent, bien élevé, un homme de paix, un homme humain, bienveillant avec son peuple, attaché au progrès de son pays, soucieux de l’image de son pays. Les algériens veulent un nouveau Chadli Bendjedid et non pas ce tyran d’un autre âge, ce grossier personnage qu’est Tebboune complètement gaga devant la fausse blonde Hamlaoui. Les algériens ne veulent pas de cette clique de voyous et de cette femme légère qui ont pris le contrôle d’El Mouradia et des Tagarins.
    En ce 1er novembre, je le dis : Tebboune, Chengriha, Mohamed, khaled Tebboune et chafik Chengriha sont les héritiers d’Aussares, Ouled El Haram. Je pense que même Aussares n’aurait pas instauré une telle tyrannie dans notre pays.

  5. C’est le naufrage d’un système anachronique tenu par des incompétents, des imbéciles heureux, des cancres imbus de leur personne qui gouverne sans partage et sans aucune légitimité.
    C’est le système qui a impose une identité étrangère aux nord-africains en detruisant délibérément l’identité locale. Est-ce par sorcellerie, par haine de soi ou par soumission et inféodation au panarabo-islamisme rompant.
    C’est à se demander pourquoi tant de milliers de morts pour une indépendance qui a tout l’air d’un prolongement d’un colonialisme des plus absurdes et des abjectes.
    Un état se construit sur des bases saines par des gens compétents, mais pas avec des schizophrènes comme Boumediene et ses apprentis dictateurs.
    les liquidations ciblées, les emprisonnements arbitraires, les coups de tiroirs pour castrer des humbles étaient légion et continuent de l’être pour continuer de « présider »aux destinées d’un pays devenu risée de la planète.
    Il n’y a jamais eu de diplomatie en-dehors de la diplomatie de valises pleines de dollars. Personne n’est dupe sauf les inféodés au système qui rêvent de prendre le relais dans les mêmes conditions.
    Les propos lunaires de Tebboune illustrent le reste

  6. C’est le naufrage d’un système anachronique tenu par des incompétents, des imbéciles heureux, des cancres imbus de leur personne qui gouvernent sans partage et sans aucune légitimité.
    C’est le système qui a impose une identité étrangère aux nord-africains en detruisant délibérément l’identité locale. Est-ce par sorcellerie, par haine de soi ou par soumission et inféodation au panarabo-islamisme rompant.
    C’est à se demander pourquoi tant de milliers de morts pour une indépendance qui a tout l’air d’un prolongement d’un colonialisme des plus absurdes et des abjectes.
    Un état se construit sur des bases saines par des gens compétents, mais pas avec des schizophrènes comme Boumediene et ses apprentis dictateurs.
    les liquidations ciblées, les emprisonnements arbitraires, les coups de tiroirs pour castrer des humbles étaient légion et continuent de l’être pour continuer de « présider »aux destinées d’un pays devenu risée de la planète.
    Il n’y a jamais eu de diplomatie en-dehors de la diplomatie de valises pleines de dollars. Personne n’est dupe sauf les inféodés au système qui rêvent de prendre le relais dans les mêmes conditions.
    Les propos lunaires de Tebboune illustrent le reste

  7. L’Algérie FLN et de l’armée des frontières a toujours tourné les choses dans le sens inverse. Elle a transformé la chose publique en affaire privée. Le développement du pays est devenu renvoi à l’âge de la pierre civilisationnel. Elle a transformée l’indépendance, l’autonomie et la liberté en dépendance, assistanat et terreur. La diversité est combattue à mort et est remplacée par l’unicisme à la sauce d’Allah, de sa langue naphtaline et du pachaghisme.
    Il n’est donc pas aberrant qu’à l’international, sur les dossiers qu’elle feint soutenir, elle récolte la termination à place de l’autodétermination.

  8. Juste une question ,si le RN gagne la présidentielle Française en 2027 ,quelle sera l’attitude de la Russie envers la politique anti Algérienne de ce parti que l’on dit proche de Poutine

  9. juste un petit ammi teboune , la je suis invité par des amis marocains pour aller fêter cette victoire avec eux reviens ,pour te faire un compte rendu .

    Achatah ardeh ya ammi teboune fecilitation . La prochaine surptise c’est l’independance de la Kabylie . Azul

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