La « grâce » de Boualem Sansal au cœur des spéculations
Si l’écrivain fait appel, un délai de dix jours qui s’impose empêcherait alors l’écrivain de bénéficier d’une « grâce présidentielle ». Dilemme cornélien donc. Car, avec la justice en Algérie c’est l’inconnu, ou selon les humeurs et intérêts du pouvoir. Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, a jugé, vendredi 28 mars, possible la « grâce » de l’écrivain franco-algérien … Lire la suite de La « grâce » de Boualem Sansal au cœur des spéculations
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