Sachant qu’il poussait exagérément sur la bouteille, nous, les mauvaises langues, le soupçonnions de s’être fait dérobé son revolver pendant une soirée bien arrosée. Ce qui ne fût ni confirmé ni infirmé. Mais nous étions nombreux à partager tel déroulement des évènements. Il s’est écoulé quatre à cinq semaines avant de recevoir d’autres convocations du … Lire la suite de Le coupable idéal (VII)
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