Site icon Le Matin d'Algérie

Le MDS a désigné son candidat à la présidentielle de 2019

A l’issue de son congrès

Le MDS a désigné son candidat à la présidentielle de 2019

Le congrès extraordinaire qui était programmer les 27 et 28 avril à la Mutuelle des travailleurs des matériaux de construction, n’a été accordée qu’au bout de quatre mois d’attente, et avec peu de moyens, le MDS a été obligé de se contenter d’une seule journée afin de tenir son congrès. L’ordre du jour comprenait l’adoption du rapport moral du parti, l’adoption du programme d’action et l’élection du bureau national.

Mais à la surprise générale, le porte-parole en exercice du Mouvement démocratique et social (MDS), M. Fethi Ghares, a été investi candidat du parti à l’élection présidentielle d’avril 2019.

Par ailleurs, le congrès du parti a réélu M. Hamid Ferhi comme coordinateur national du parti. En effet, Hamid Ferhi a réussi à convaincre les militants et militantes du parti. Il s’est exprimait aussi devant une assistance, entre autres, de militants, des syndicalistes partisans du boycott dont Ahmed Badaoui (ex-PAGS et syndicaliste douanes-UGTA), Me Salah Dabouz, président de la Ligue des droits de l’homme (LADDH), et l’avocat Mokrane Aït Larbi (ex-sénateur, membre fondateur du RCD), et des personnalités publiques. On relève aussi la présence d’une représentant du Front Polisario, et de Palestiniens dont le délégué de l’ambassadeur de Palestine en Algérie, et des représentants du FDLP, du FDLP, et du Fateh. 

« Aujourd’hui c’est le premier congrès public que nous tenons depuis le congrès constitutif en 1999, le 2e en fait depuis le congrès constitutif de ce parti, en 1999, durant l’ère El Hachemi Cherif », a-t-il rappelé. 

Pour rappel, le MDS a échoué dans ses tentatives de participer aux élections législatives et locales passées sachant que ses listes de candidatures n’ont pas été validées ce qui est dû à l’absence de candidats et la collecte des signatures. Il faut relever le cas de la fédération de la wilaya de Tiaret où il étaient dans l’obligation de collecter plus de 2700 signatures d’électeurs. 

Auteur
Khaled Ouragh

 




Quitter la version mobile