Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la Confédération syndicale des forces productives (Cosyfop) s’élève contre la campagne de répression qui vise ses cadres et militants.

La Confédération syndicale des forces productives (Cosyfop) est soumise à une campagne systématique de représailles sévères pour ses positions cohérentes envers le mouvement populaire pour la démocratie, et son refus de négocier sous les gémissements du peuple et des travailleurs.

Après l’échec de la détention arbitraire du président de la confédération et de l’emprisonner comme tous c’est le cas pour tous les militants progressistes , la machine répressive a tourné son regard vers les autres dirigeants de la Confédération, a leurs tête Hamza Karroubi, qui fait l’objet d’une violente campagne de harcèlement policier, de convocations quotidiennes et des procès hebdomadaires auxquels il est condamné a la prison ferme en raison de ses activités syndicales.

Même les membres d’autres syndicats, comme le Battmittal Workers ‘Union, n’ont pas échappé au harcèlement judiciaire. Des dizaines de convocations sont parvenues à tous les dirigeants syndicaux a causes de leurs activités syndicale garanties par la Constitution et les conventions ratifiés.

À la lumière de ces campagnes odieuses, la Confédération annoncera bientôt sa position officielle sur tout ce qui se passe dans l’arène politique et souligne qu’elle utilisera toutes les méthodes juridiques nationales et internationales pour défendre les libertés fondamentales, en particulier les libertés syndicales. Nous resteront fidele a nos principes, et nous useront de tous les mécanismes pacifique pour restauré la souveraineté populaire violé par une poignée de personnes.

Jeunesses … Libre et démocratique

Mellal Raouf, le président