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Libération de l’écrivaine Zineb Mellizi après une brève détention provisoire 

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​L’écrivaine et éditrice algérienne, Zineb Melizi, également connue sous le nom de Salima (65 ans), a été libérée par les autorités judiciaires,  ce samedi, au lendemain de son placement en détention provisoire.

​L’ordre de son incarcération avait été prononcé le jeudi 30 octobre 2025 par le juge du tribunal de Bir Mourad Raïs, à Alger. Elle devait initialement être maintenue en détention jusqu’à son procès, reporté au jeudi 6 novembre 2025.

​Selon l’organisation de défense des droits humains « Choâa », l

La décision de libération est intervenue après sa comparution devant le tribunal dans le cadre de la procédure de comparution immédiate, ​selon l’organisation de défense des droits humains « Choâa » basée a Londres.

L’affaire fait suite à des accusations portées contre Mme Melizi en raison d’un commentaire publié sur Facebook.

​Ce commentaire visait l’inimitable ambitieuse Ibtissem Hamlaoui, la présidente de l’Observatoire national de la société civile et de la branche algérienne du Croissant-Rouge. L’écrivaine y aurait critiqué la responsable, soulevant des allégations de mauvaise conduite et de mauvaise gestion au sein des organisations qu’elle dirige.

​Suite à ce commentaire, les autorités judiciaires ont engagé des poursuites contre Zineb Melizi. Les charges retenues incluaient l’outrage à fonctionnaire public, la menace contre un fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions officielles et le non-respect de convocations officielles.

​Mme Melizi avait été entendue une première fois le mercredi 29 octobre par la brigade de gendarmerie nationale de Bir Mourad Raïs pour être interrogée dans le cadre de l’enquête. 

Convoquée à nouveau le jeudi 30 octobre 2025, elle avait été placée en détention provisoire le jour même, avant d’être finalement libérée ce samedi.

La rédaction

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1 COMMENTAIRE

  1. C’est quand même terrible ce qui s’est passé : C’est la favorite du Roi en personne qui a appelé le juge puis la gendarmerie pour faire incarcérer 2 écrivaines, deux dirigeantes de maison d’édition en plein SILA. Le juge a obtempéré, la gendarmerie a obtempéré. On a des milliers de criminels qui se balladent avec des épées, des couteaux de boucher, des machettes dans les rue mais la gendarmerie n’a que ça à faire : s’occuper des affaires de fesse de Tebboune et Hamlaoui ! Est ce que vous vous rendez compte de l’état de délabrement du pays ? Une femme de petite vertu peut donner des ordres à un juge et au chef de la gendarmerie ? Mais qu’est ce qui se passe dans notre pays ? Hamlaoui n’a rien à faire à la tête du croissant rouge algérien. C’est une femme répugnante qui a été l’objet de plusieurs plaintes pour détournement de fonds. Les plaintes ont été bloqué par la justice en raison de la proximité intime avec Tebboune et plusieurs généraux. Qui est ce juge qui a décidé la veille du premier novembre d’incarcérer une fille de chahid ?Qui est ce chef de la gendarmerie qui la veille du 1er novembre a décidé de cracher sur le 1er novembre en incarcérant une algérienne innocente sur ordre d’une femme légére ? Je vous le dis, à El Mouradia actuellement, avec Boualem Boualem, Kamel Sidi Said, Abdelatif Belkaim, Mohamed et Khaled Tebboune, nous avons les enfants d’Aussares à la tête de l’Etat algérien.

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