Vendredi 23 octobre 2020
Plagiat et professeurs faussaires de l’université algérienne
Dire qu’en Algérie le nombre de professeurs plagiaires , éhontés et dépourvus du moindre lambeau de conscience, dépasse largement en nombre les professeurs honnêtes et scrupuleux, n’est point une vue de l’esprit, mais résulte d’une foule de faits et d’observations irrécusables. Qui est le ou (les) responsables de cet état de fait déplorable ?
Quels sont les facteurs qui accouchent de professeurs plagiaires en Algérie ?
Les causes ayant enfanté la médiocrité intellectuelle rampante, tentaculaire, sont de deux ordres. Ces deux causes se confortent et se complètent à merveille. Le laxisme dont faisaient preuve les Commissions Nationales des Universités (CNU) avant l’introduction du Progress et- l’émergence des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication, qui se sont plus spécialement répandues dans le contexte du développement du réseau Internet et du multimédia, en sont les principaux responsables de cette croissance quasi exponentielle de professeurs plagiaires, c’est-à- dire de professeurs pourvus de diplômes et de titres honorifiques, mais dépourvus de savoir scientifique et de compétence avérés en la matière.
Choisis je ne sais d’après quels critères, les membres de ces CNU s’avèrent, rétrospectivement, à l’observation attentive peu regardant quant à l’examen des dossiers des candidats qui leur sont soumis, et, distraits ou complices, ils les font passer comme recevables, alors qu’ils comportent en réalité, et pour la plupart, de graves lacunes d’ordre scientifique (articles bâclés ou plagiés, polycopies de cours et de TD au contenu décousu, textes de sujets hétéroclites et mal reliés entre eux…). Certains de ces experts, pour ne pas dire bon nombre d’entre eux, sont devenus eux-mêmes professeurs, puis experts, par le jeu pervers de « copier-coller » que l’Internet favorise grandement.
Ces experts des CNU faisaient naturellement passer en priorité leurs amis (-ies) et connaissances, lesquels sont consacrés Maîtres de Conférences ou professeurs d’Universités alors qu’ils ne répondent guère aux critères requis d’éligibilité énoncés dans les documents administratifs des concours annuels.
L’Internet, avec son cortège de profusion d’articles, est devenu pour beaucoup le moyen idéal par lequel ils se dispensent de tout effort de réflexion critique. Les paresseux, les victimes des déficits intellectuels et tous les assoiffés de la seule symbolique du diplôme pour le diplôme, jettent leur dévolu sur l’Internet duquel ils tirent l’essentiel de leurs doctorants. Mémoires de Masters et de doctorats sont farcis de textes tirés de Wikipedia , d’articles et de textes divers.
Encadreurs et encadrés captivés par le plagiat
Peu sont ceux, en effet, qui résistent au plagiat. Professeurs et jeunes doctorants partagent la même vocation, celle de copier-coller sans se soucier nullement des questions éthiques, morales ou intellectuelles. Peu ou guère sont ceux qui éprouvent quelque remords à détourner à son profit le fruit intellectuel d’autrui. Pour l’un comme pour l’autre, le plagiat agit comme un sortilège irrésistible. Là où le bât blesse, en effet, c’est que l’on prise, sans honte ni gêne aucune, ce qui est religieusement et socialement répréhensible.
J’ai en main et sous les yeux des exemples et des faits palpables qui témoignent de la faillite intellectuelle, morale et éthique, de certains de nos enseignants et professeurs d’université au point d’agir en véritables prédateurs. Le pillage qu’ils pratiquent est d’autant plus ahurissant qu’il heurte la conscience de l’homme probe, honnête et intègre.
Pour que le lecteur puisse toucher du doigt cette amère réalité, et prendre la mesure des ravages que ce phénomène provoque au sein de l’université algérienne, il convient de lui présenter des exemples concrets, vérifiables et datés, et non des discours théoriques désincarnés.
L’Université Mohamed Boudiaf de M’sila est le banc d’essai qui nous permet de tester et d’évaluer à leur juste valeur ces professeurs censés transmettre un savoir vrai, dénué de remplissage, de plagiat et de scories.
Triomphe du plagiat sur les questions d’éthique et de déontologie
Cet établissement universitaire est le modèle en miniature, réduit, des universités algériennes. En dépit des efforts déployés par le personnel d’encadrement pédagogique, administratif et technique, avec le recteur en tête, pour le hisser au niveau des meilleurs établissements universitaires du monde entier, cet établissement demeure pourtant un des lieux de prédilection, et de ralliement des enseignants plagiaires.
Si elle est bien loin de détenir le monopole du plagiat au niveau national, l’université de M’sila se révèle être pourtant un lieu propice à l’agiotage et au trafic de tous les registres scientifiques, pédagogiques, idéologiques, voire même régionalistes, etc.
Ce trafic n’est pas, bien entendu, le fait de la majorité, mais le fait d’un groupe d’enseignants qui viennent surtout des sciences sociales et humaines, de l’économie, du droit et du sport. Ce groupe d’enseignants fait complètement peu de cas des règles de la transparence, de la déontologie et de l’éthique. Tout en se recommandant de ces vertus, il les piétine allègrement, comme nous allons le voir.
Le profil condensé d’une enseignante plagiaire
Mme Yamna Smaili apparaît comme le chef de file de ce petit groupe, la figure fidèle et incarnée du plagiat. Professeur de psychologie, présidente du Comité scientifique de son département, et membre du Conseil scientifique de la Faculté des sciences sociales et humaines, elle s’est fait, pendant une courte période, la représentante autoproclamée de la commission d’éthique de l’université de M’sila auprès de la Conférence régionale de l’Est en compagnie d’un autre collègue du sport …Son statut, ses fonctions et ses titres devraient en faire la gardienne désintéressée et jalouse de la transparence, et pourtant la voici qui plagie elle-même autrui tout en initiant ses doctorats au plagiat le plus éhonté !
Un étudiant plagiaire soutenu et défendu par des enseignants faussaires
Boudari Azzedine mène une recherche pour l’achèvement d’un doctorant sous la direction de Mme Yamna Smaili de l’Université Mohamed Boudiaf de Msila. Ce doctorat s’intitule « برنامج علاجي مقترح لتخفيف درجة القلق و الاكتئاب لدى الطف الأصم من 9 إلى 12 سنة » (Un programme de traitement suggéré pour réduire le degré d’anxiété et de dépression chez un enfant sourd de 9 à 12 ans). Pour se faire publier un article sur ce sujet dans une revue accréditée, ce doctorant sollicite l’aide de M. Youcef Djaglouli, vice-doyen chargé de la recherche. Ce dernier connait bien M. Radouane Belkhiri , rédacteur en chef de la Revue al Risâla li adrisât wa al buhuth de l’Université de Tébessa. Il le joint au téléphone et lui suggère l’article de l’étudiant dont il accepte sans rechigner de le publier avec une promesse écrite à l’appui.
Doyen et vice-doyen, complices du plagiat et de la fraude
Le plus grave est que cet article proposé à la publication n’a pas été envoyé à la rédaction de ladite revue, en date du 5 novembre 2019, par le biais de l’adresse électronique de l’intéressé lui-même, en l’occurrence Boudari Azzedine, mais depuis le bureau et à partir de la boîte e-mail de M. le vice –doyen chargé de la recherche, le professeur, Youcef Djaglouli, qui se targue pourtant de transparence et d’honnêteté intellectuelle !
Intitulé : « الرسم ودوره الفعال في الخفيف من درجة القلق و الاكنتاب » (Le dessin et son rôle efficace au regard du degré d’anxiété et de dépression ), l’article en question, envoyé à la date indiquée, à la revue de Tébessa, est un plagiat pure et simple et M. Djaglouli et Mme Yamna Smaëili, directrice de cette thèse, le savent bien. Mais Lorsque le vice-recteur de l’enseignement supérieur détecta avec les moyens appropriés et avec des preuves à l’appui le plagiat et la manœuvre frauduleuse introduite par M. Djaglouli, le rédacteur en chef de la Revue de Tébessa s’empressa de corriger les tirs en disant que l’article de l’étudiant plagiaire ne l’avait pas reçu du professeur Djaglouli, mais de la boîte e-mail de l’intéressé lui-même !
Mais l’étude attentif du dossier de ce doctorant plagiaire avec la complicité de sa directrice de thèse et du vice-doyen chargé de la recherche de la Faculté, a montré que l’article de l’étudiant Boudari envoyé le 5 novembre 2019 à la Revue et pour lequel il avait obtenu la promesse qu’il sera publié le 10 juin 2018 (une lettre d’acceptation antidatée) dans le numéro 13 de mars 2020 de ladite Revue.( voir site, ASJP. P.223 de la Revue), relève d’un trafic honteux digne de la délinquance « intellectuelle ».
Tentative de recyclage deux fois d’un article plagié
Cette même demande de publication a été déposée auprès du Conseil scientifique de la Faculté des SH de l’université de M’sila. Réuni le 19 novembre 2019, ce même Conseil réitère que l’article qui lui est confié sera publié le 31 mars 2020, soit deux ans après la promesse écrite en date du 10 juin 2018, alors que cette même Revue indique sur sa page de couverture (voir site) que le temps de publication ne devra pas dépasser 58 jours après le dépôt de l’article.
Outre ces fausses déclarations, il était apparu que l’article proposé à ladite revue résultait d’un plagiat à 100% ! Le plus grave encore est que le rédacteur en chef de la revue al-Risâla, le nommé Radouane Belkhiri de Tébessa avait déclaré avec insistance qu’une réunion du Conseil scientifique avait eu lieu le 11 avril 2018, ce qui s’était révélé complètement faux comme en témoigne le PV. de réunion du comité de rédaction de la revue Al-Risâla qui s’est tenue à la date qu’on vient d’indiquer.
Le même article plagié envoyé à cette même revue de Tébessa, et accepté par elle, a été également envoyé pour examen au CSF de la Faculté des SSH de l’Université de Msila qui l’a agréé par deux fois de suite. Le Doyen Ammour et son adjoint Djaglouli, qui dominent le CSF et le gèrent comme bon leur semble en raison de la distraction de son président, Salah Lemiche, à la place duquel ils signent certains documents, ont fait valider par le CS de la Faculté, en date du 22 février 2020, l’article plagiaire du même doctorant. Malgré les fortes pressions exercées par le Doyen Ammour et son adjoint Djaglouli sur le vice-recteur chargé de la recherche pour qu’il rentre dans « les rangs » et accepte le fait accompli, ce dernier n’a pas abdiqué pour autant…
Le département de psychologie et sa pratique scientifique….
Les enseignants de ce département sont, comme ceux du département d’histoire, en majorité issus du primaire auxquels se sont adjoints d’ex-étudiants de l’Université de M’sila et dont la camaraderie remonte à la première année de l’Université. Ils forment de ce fait un petit groupe hétérogène, mais fortement soudé par l’esprit de clan, voire de secte même. Certains d’entre eux sont venus du sport et n’ont rien à voir avec la psychologie ; d’autres, comme Mme Yamna Smaili, vient du lycée où elle fut conseillère d’orientation avant de décrocher je ne sais comment un magistère de psychologie à Constantine, puis un doctorat.
Les autres sont plus jeunes et ont été formés par ce même département de psychologie de M’sila où ils enseignent à présent comme professeurs cette spécialité. La culture « scientifique » de la plupart d’entre eux se résume en une suite de notions et de concepts appris par cœur, et d’un savoir et d’une compétence scientifique si indigents qu’ils se trahissent aussi bien à travers la lecture de leurs mémoires répétitifs et boursoufflés qu’à travers leur posture corporelle et leur expression orale mal articulée, et donc peu soignée. L’apprentissage par cœur, qui exclut l’esprit critique, et le plagiat qui est l’apanage des esprits paresseux et intéressés, constituent l’essentiel du«bagage » intellectuel ou « scientifique » de ces enseignants.
L’exemple du doctorant Boudari Azzedine et de ses encadreurs montre bien que le plagiat est devenu une pratique banale et ne suscite guère honte ou remord chez certains enseignants. Avec l’aide de sa directrice de thèse, Yamna Smaili, qui n’éprouve aucune gêne ou scrupule, Boudari récidive et envoie un article à la revue de psychologie de M’sila en vue de sa publication. Intitulé : «تخفيف درجة القلق لدي الطفل الأصم عن طريق الفن » ( Réduire l’anxiété chez un enfant sourd grâce à l’art ), il est déposé le 13/11/2019 auprès du comité de rédaction, et le 09/03/2020, les deux signataires de cet articles, Mme Yamna Smaili et Boudari Azzedine, reçoivent de M. Barkat Abdelhak, directeur de la publication, une promesse écrite et signée de sa main que l’article sera publié. Il reçoit en ce sens le renfort du Doyen Amar Ammour , de son vice-doyen chargé de la recherche, le prénommé Youcef Djaglouli, et surtout l’appui sans réserve aucune de sa directrice de thèse, Mme Yamna Smaili , qui exerce une influence redoutable non seulement sur ces deux derniers personnages qui sont en même temps membres du CS de la Faculté, mais aussi sur d’autres membres du même Conseil du fait de la solidarité ethnique ou régionaliste.
Régionaliste, elle est bel bien, puisque Mme Yamna Smaili joue à fond sur le registre régionaliste lorsque, lors des réunions du CS, et même pédagogique, elle n’hésite pas à faire valoir de manière bruyante les supposées vertus morales et éthiques des gens de M’sila, vertus qui seraient en passe d’être adultérées par les mœurs « sauvages » des éléments exogènes, transportés et transplantés au cœur même de «l’aristocratie» locale.
Pour accréditer l’idée flatteuse que M’sila est une ville accueillante et « civilisée » par rapport à ses hôtes « étrangers » que sont les Sétifiens, les Bordjiens, les Biskris, les Chaouis, les Kabyles, les Oranais, etc., Mme Smaili Yamna s’évertue à nous donner, lors de certaines réunions quelques peu « tendues » du CS une définition étymologique du nom du «Hodna ». Le Hodna, dit-elle, vient du mot haddana (mot qui connoterait le bon accueil et l’hospitalité offerte à l’étranger).
Le Hodna, et donc M’sila qui en est le cœur, serait une ville exceptionnellement accueillante, mais ses hôtes venus d’ailleurs ne sont rien moins que des ingrats et des gens en trop. Certains de ses collègues Beni Msile (comme ils se nomment eux-mêmes) partagent avec elle cette conviction stupide, mais bien enracinée.
Enfin, revenons au plagiat que Mme Smaili Yamna prétend combattre tout en la pratiquant en sous main, et je dirai même sans vergogne. Pour faire publier l’article du doctorat Boudari Azzedine dans la Revue citée, le doyen Ammour et son adjoint, Djaghlouli , dressent, en dehors du Conseil scientifique, un PV fictif en date du 1er juin 2020 et le déposent, avec la mention « approuvé », auprès du vice-recteur chargé de la recherche qui découvre, après examen minutieux, des anomalies et leur demande de revoir le dossier.
Le doyen et son adjoint qui se font les complices empressés de Yamna Smaili, directrice de l’étudiant plagiaire, ramènent en date du 8 juin un premier PV dans lequel ne figure pas le nom de Boudari, mais que l’on retrouvera étrangement dans celui du lendemain, 9 juin 2020 ! Une contradiction flagrante entre les deux PV successifs cités, et cela suffit pour prouver le double péché commis : le plagiat et la fraude !
Ce qui est plus grave encore, c’est le fait que le doyen et son adjoint transmettent au vice- recteur chargé de la recherche l’extrait du PV de novembre 2019 et non celui du 1er juin 2020, ce qui prouve qu’ils ont menti une fois de plus, et de la manière la plus honteuse. N’était la vigilance alerte du vice-recteur chargé de la recherche scientifique , ces PV falsifiés auraient pu passer pour authentiques, comme une lettre à la poste.
Mais sous l’effet des demandes pressantes de ce dernier, les deux faussaires, le doyen et son adjoint, furent obligés, pour se protéger en quelque sorte, de corriger le 1er PV falsifié, celui du 8 juin 2020, par un PV dressé en date du 9 juin 2020 et envoyé par le doyen à tous les membres du CS, dont l’auteur de ces lignes. Cette rectification a été faite, bien évidemment, en dehors et sans l’aval du CS ! En dépit de ce plagiat avéré, les deux articles de Boudari Azzedine ont été programmés et se trouvent annoncés sur la plate forme de l’ ASJP en attente de publication !
Boudari Azzedine, affligé d’une grosse barbe salafiste est, en outre, l’auteur de trois chapitres plagiés à 100%. L’un a été subtilisé à un auteur saoudien, le second à un Palestinien de Gaza et le troisième à un chercheur algérien. Plagiats et paraphrases d’auteurs remplissent ses chapitres et articles proposés à la publication.
Outre ces plagiats attestés, il paraphrase d’autres auteurs, comme le fait presque systématiquement Mme Yamna Smaili . Auditionné par la commission d’éthique de l’Université de M’sila, Boudari Azzedine reconnait les faits que je viens de relater.
Mme Yamna Smaili ne chôme pas en matière de plagiat, de fraude et de falsification de documents. Après l’épisode Boudari, en voici un autre aussi « savoureux » que le précédent : Hiba Moussa est inscrite en doctorat science, sous la direction Mme Yamna Smaili. Mais au lieu de poursuivre ses recherches doctorale à M’sila où elle est censée résider, Hiba Moussa a choisi de partir en France où elle se trouve depuis le 6 mars 2020 tout en gardant les droits, les obligations et le statut d’une étudiante algérienne présente dans le pays.
Elle est dispensée des obligations inhérentes à son statut d’étudiante résidente en Algérie par sa directrice de thèse, qui, de connivence avec le doyen Ammour et son adjoint Djaglouli, se substituent à elle dans toutes les démarches afférentes à l’administration, y compris la signature requise par celle-ci. Le doyen et son adjoint qui agissent de concert dans le dos du président du Conseil Scientifique de la Faculté, qui se révèle être en déphasage quasi-totale avec la mission qui lui est impartie, protègent et couvrent à la fois cette étudiante absentéiste ainsi que les forfais de sa directrice de thèse.
Alors qu’elle est en France depuis le 6 mars 2020, le CS valide le 1er juin de cette même année son dossier de doctorat ; et le 10 juin, son dossier de soutenance est déposé auprès du vice-recteur chargé de la recherche avec une déclaration sur l’honneur datée du 10 juin 2020, quant à la probité, signée fictivement par la candidate en plus de son empreinte digitale, alors qu’elle est à l’étranger !
Après examen poussé de la part du vice-recteur, il découvre le pot aux roses : fausse déclaration, signature des tierces à sa place et une thèse qui aurait été fabriquée dans un cyber café en son absence. Sur ce dernier point, il est donc difficile de trancher tant l’information que nous avons reçue n’a pas été encore confirmée de manière irrécusable….
Pr Ahmed Rouadjia,
Professeur d’histoire et de sociologie politique
Directeur du Laboratoire de recherche historique et sociologique
Université de Msila
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: معالجة ارسم
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معلجة القلف
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معالجة الاكتئاب
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Voir Mohamed Abdou Ahmed Machhour :https://scholarworks.uaeu.ac.ae/cgi/viewcontent.cgi?article=1481&context=all_theses
Il y a quelques années environ, elle avait, pour empêcher l’un de ses collègues, Rabah Kaddouri, professeur de sociologie et actuellement président de la commission d’éthique, d’obtenir un logement de fonction, fabriqué une fausse attestation en disant qu’il en possède un à Alger. Une fausse déclaration sur l’honneur qu’elle a signée et remise à la commission du logement de la section locale du CNES. N’étaient les ’interventions en sa faveur d’amis et collègues qu’elle avait rameuter et la mansuétude de Kaddouri, elle serait acculement en train d’étioler dans l’une des cellules de la prison.
Le prochain article : Le triomphe du plagiat universitaire sur l’éthique et la rigueur scientifique