Le verdict dans le procès en appel de l’écrivain algéro-français Boualem Sansal a été reporté au 1er juillet par la 10e chambre pénale et la Cour d’Alger.
Lors de l’audience tenue ce mardi, le représentant du ministère public a requis une peine de dix ans de prison ferme, assortie d’une amende d’un million de dinars algériens, jugeant la condamnation initiale de cinq ans de prison ferme insuffisante.
Âgé de 80 ans, Boualem Sansal a comparu devant le tribunal, en assurant sa propre défense et sans l’assistance d’un avocat. Il est poursuivi pour plusieurs chefs d’accusation graves, notamment atteinte à l’unité nationale, diffusion de fausses informations de nature à induire l’opinion publique en erreur, et atteinte à une institution de l’État. Ces charges découlent principalement de propos controversés qu’il a tenus lors d’un entretien avec une plateforme médiatique française, où il affirmait que l’Algérie « n’avait pas de véritable existence avant la colonisation française ».
De plus, de nouvelles accusations pèsent sur l’auteur, incluant la détention de vidéos et de publications jugées menaçantes pour la sécurité et la stabilité du pays, l’atteinte à l’économie nationale, et l’outrage à corps constitué.
Pour rappel, le tribunal de première instance de Dar El Beïda avait prononcé une peine de cinq ans de prison ferme en mars dernier, un jugement contre lequel les deux parties, l’accusation et la défense, avaient interjeté appel.
Ce procès, qui bénéficie d’une importante couverture médiatique, continue de susciter de vifs débats, oscillant entre la défense de la liberté d’expression et les rappels à la souveraineté judiciaire nationale. Le délibéré, attendu début juillet, est donc particulièrement suivi, tant au niveau national qu’international. En France le gouvernement et la majorité de la classe politique française ne cesse de réclamer sa libération en souhaitant un geste de mansuétude de la part des autorités algériennes.
Macron demande un geste humanitaire pour libérer un innocent.
C’est le comble de la bêtise.
Cette compromission de Macron et de son gouvernement, pousse les décideurs à plus de surenchère pour se faire passer pour les nouveaux combattants de la 25 heure contre la puissante France colonisatrice aux yeux de la populace sur le dos d’une personne âgée, malade victime de sa liberté de paroles sans limites dans pays où la liberté d’expression est un délit.
Je cite: « …malade victime de sa liberté de paroles sans limites dans pays où la liberté d’expression est un délit. »
Faut arreter de delirer ou aller vous faire soigner. C’est grave !!!
C’est du meme ordre et nature que cette notion de « rajla » – typiquement AlKharienne. il ne suffit que d’une cachuette entre les jambe pour se croire rejla. Et quand ils trouvent une femme a victimiser, un bonus « une paire de moustache » et si c’est un veritable 100% Khra inutile et couteux… le bonus c’est la barbiche !!! (si celle-ci arrive a pousser biensur) – reguarder la bagra… walou !
La Liberte’ n’est une NOTION ABSTRAITE, c’est realite’ palpable, audible et palpable… c’est du mouvement, de l’ACTION !
ouvrir son bec puis se rendre chez les traitres, c’est la preuve qu’il n’y a RIEN dans cette tete, que du cheveux… Il a oublie’ de lacher une lune de bombes, d’OBLITERER CETTE MERDE AVANT !!!
Vous etes coince’ dans le discours moraliste des Humanistes et genre… Vous(pas personnellement mais toute la smalla qui repetent le meme discours) etes l’ombre du regime meme – a la difference qu’ils sont plus rapides !
Notre gouvernement ne peut admettre que les frontières de l’Algérie ont été tracées par le colonisateur Français au profit de notre pays sur ces voisins ,en effet l’Algérie coloniale était formée de départements cad c’était la France ,le Maroc étant un protectorat il était tout naturel que Paris trace les frontières de l’Algérie en sa faveur.