Sa mère était douce. Miel dans un pré où butinaient les abeilles et où folâtraient les papillons. Au début, elle était l’incarnation de la pudeur. Elle regardait les passants à la dérobée, en se tenant derrière les rideaux. A l’écart du manichéisme ambiant, régnant en maître dans la rue et dans les têtes. Structures mentales … Lire la suite de Récit-feuilleton. Exils (19)
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