De Langare, il ne garde que ce douloureux et vague souvenir. Avec dépit. Une trace a échappé au temps, une photo avec son vénéré père. La seule. Debout tous les deux, près de la maison qui le vit naître. Tout autour, la châaba, el Khla, oualou, nada, niente, rien. Autant dire le néant. Le vide … Lire la suite de Récit-feuilleton. Exils (II)
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