Samedi 9 mars 2019
Tahar Hadjar tente de préserver le royaume des Hadjar !
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Tahar Hadjar, a décrété des vacances anticipées à partir de ce dimanche 10 mars 2019, avec pour objectif : la tentative de mettre un terme aux rassemblements de la communauté universitaire contre le 5e mandat.
Tahar Hadjar croit avoir trouvé la technique pour neutraliser la dissidence citoyenne. Contrairement à la volonté du peuple, l’homme politique du FLN, Tahar Hadjar, manœuvre en toute évidence, pour le spectre du 5e mandat.
En effet, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a non seulement, pu mobiliser toutes les organisations estudiantines au profit de la continuité, mais aussi, en tentant de désamorcer les rassemblements des contestataires en imposant des vacances trimestriels avant l’heure prévu.
Il est a signalé que, la famille Hadjar, est l’une les plus bénéficiaire vis-à-vis à l’actuel politique sous le régime du président sortant, puisque, plusieurs membres de cette famille, sont nommés aux grades supérieurs, a l’image du grand frère, Abdelkader Hadjar (82 ans), qui occupe depuis des décennies le poste d’ambassadeur malgré son âge très avancé, ainsi que le plus jeune, Mohamed Hadjar, désigné comme wali de Skikda, avant qu’il soit muté dans la même fonction à Naâma, et bien évidemment, le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Tahar Hadjar, qui demeure intouchable malgré ses lacunes.
Ce dernier, qui a été récemment secoué par un scandale en réservant une bourse d’étude à l’étranger pour son fils, qui s’avère illégitime au vu de ses résultats obtenus dans sa spécialité, n’est pas dans sa première dérive, car il est soupçonné également d’avoir exploité ses relations avec la complicité du wali d’Alger Abdelkader Zoukh, pour découcher deux logement sociaux dans la commune de Ain Benian au profit de ses deux enfants « Oussama et Meddah ». Une information qui a été dévoilé par Amir.dz et confirmé plus tars grâce aux reçus d’électricité.