Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a réagi dimanche soir au vote de l’Assemblée nationale française visant à dénoncer l’accord franco-algérien de 1968 sur la circulation, le séjour et l’emploi des ressortissants algériens en France.
Dans un entretien accordé à la chaîne d’information AL24 News, le chef de la diplomatie algérienne a adopté un ton à la fois mesuré et critique, qualifiant cette initiative d’« affaire franco-française » sans incidence directe, pour l’heure, sur les relations entre Alger et Paris.
Circulez il n’y a rien à voir ! Ahmed Attaf vient de renvoyer la petite tempête médiatique créée par le parti d’extrême droite, RN, à l’Assemblée, à une affaire « domestique française ». Le ministre est sans appel. « Sur le fond, cette affaire est une affaire entre l’Assemblée nationale française et le gouvernement français. C’est une affaire intérieure, une affaire franco-française. Elle ne nous concerne pas pour le moment », a déclaré M. Attaf, soulignant le caractère symbolique de la résolution adoptée jeudi dernier à Paris.
Le texte, proposé par le Rassemblement national (RN) et soutenu par des députés de droite (LR et Horizons), n’a pas de portée juridique contraignante, mais a provoqué de vifs débats dans les deux pays.
M. Attaf a exprimé son regret de voir “l’histoire d’un pays indépendant et souverain devenir l’objet d’une compétition électorale anticipée en France”. « Il est attristant de voir un pays aussi grand que la France se livrer à ce genre de manœuvres », a-t-il ajouté.
S’il a tenu à réaffirmer le respect d’Alger pour l’Assemblée nationale française, le ministre a jugé que le vote s’inscrivait avant tout dans une logique politicienne. « La première pensée qui m’est venue en voyant ce vote, c’est que la course à l’échalote se poursuit », a-t-il lancé, en référence à la surenchère observée entre partis français à l’approche des échéances électorales.
Tout en relativisant la portée du vote, M. Attaf a rappelé que l’accord de 1968 reste un “accord intergouvernemental” et donc “un accord international”. À ce titre, il ne pourrait être remis en cause qu’à travers un acte officiel du gouvernement français. « Tant que le gouvernement français ne nous a rien dit à ce sujet, nous considérons que cette affaire reste parlementaire et symbolique », a-t-il précisé.
Le ministre a toutefois laissé entendre qu’Alger suivait le dossier avec attention : « Cette question pourrait concerner l’Algérie si elle devient une affaire de gouvernement à gouvernement », a-t-il averti.
Faisant allusion aux récents signaux d’apaisement venus de Paris, notamment de la part du nouveau ministre français de l’Intérieur, Ahmed Attaf a conclu sur une note prudente mais optimiste : « Nous n’avons rien vu venir, et nous espérons ne rien voir venir. »
Pour l’heure, Alger privilégie donc la retenue et l’observation, considérant le vote du Parlement français comme un geste à usage interne plutôt qu’un acte diplomatique.
La rédaction


OUI MISSIOU attaf…!!! La résolution du parlement Français sur l’accord de 1968 est une affaire franco-française …OUI, MISSIOU attaf vous êtes directement concerné vos intérêts et ceux de ceux qui vous donnent la paroles le sont également…!!!EH oui MISSIOU attaf…vous n’avez même pas ce TACT mini de l’illusion…L’INCULTURE ATAVIQUE quoique vous fassiez vous collera au train jusqu’à votre FIN BIOLOGIQUE…!!!
Le ministre des affaires échalotes !
Puisque SiMohand uZuina lui accorde une bourse, alors j’etale ma lesson: Ya ayuha al-ministrou d’el-jamahiriatou. Voici comment la Notion de CONFIENCE rentre en jeu dans le metier que patogez. La Diplomatie, apres tous les bla bla bla doit aboutir a des ACCORDs et ENGUAGEMENTs. Voyez-vous, on ne signe pas d’enguagements pour programmer(creer) des problemes et emmerdements futurs. Le futur aura les siens. En solvant chaque probleme a sa place et en son temps, on evolue au fur du temps. Cela n’est tout simplement pas possible avec des energumens qui nient jusqu’a leur race, leur ancestres et leur heros[ceux-la meme qui vous ont libere’ pour un peu de dignite’]. Pire, vous les avez trahis et agenouillez volontairement devant le pire de vos ennemis. Ces gens-la, ya ayuha, sont INDIGNE DE CONFIENCE !
Je vous resume: L’Algerie et sa souverainete’ c’est pour les Algeriens, et pardi leur histoire, leur terre, leur culture, leur identite’, etc. etc, pas celle de quelqu’un d’autre. A l’evidence, ce n’est pas ce que vous faites ou croyez. Soit vous etes ignorant soit vous etes de mauvaise foi. C’est biensur les 2, et ca vous denude d’un semblant de verite’ meme. Si, c’est une question d’ignorance, alors il n’est pas trop tard pour retourner a l’ecole et laisser la place a ceux qui sont prets. Et par vous, je veux dire touter la pseudo-houkouma que vous representez.
Capiche?!!!