25.5 C
Alger
dimanche 3 août 2025
AccueilCommuniqués10 ans de prison requis à l'encontre d'Anis Rahmani, patron d'Ennahar

10 ans de prison requis à l’encontre d’Anis Rahmani, patron d’Ennahar

Date :

Dans la même catégorie

Constantine : Radia Gouga expose son âme lumineuse

Du 9 au 23 août 2025, la galerie Les...

Le tricycle Mooncool, stabilité et évasion

Pas besoin d’être un as du vélo pour se...

À Jijel, on célèbre… sans célébrer !

Une salle des fêtes sans musique vient d’ouvrir à...

Intoxication alimentaire à Djelfa : Douze cafés fermés à El Birin

Suite a l'enquête déligentee par les services de l'État...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
Tribunal de Bir Mourad Raïs

10 ans de prison requis à l’encontre d’Anis Rahmani, patron d’Ennahar

Le procureur de la République près le tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger), a requis dimanche une peine de 10 de prison ferme assortie d’une amende de 100.000 DA à l’encontre du directeur général du groupe de médias Ennahar, Mohamed Mokaddem, dit Anis Rahmani.

Le patron d’Ennahar, Anis Rahmani, est poursuivi pour les chefs d’accusation d’enregistrement et de diffusion d’une communication téléphonique qu’il a eue avec un officier supérieur de l’Armée. Faut-il rappeler cette communication téléphonique dans laquelle Anis Rahmani se permettait de menacer le premier responsable de la caserne des services du Renseignement algérien (DRS), dite caserne Antar ; elle a été enregistrée par le patron d’Ennahar et rendue publique.

Le procès s’est tenu par visioconférence à partir de l’établissement pénitentiaire de Koléa (wilaya de Tipasa) où le prévenu est placé en détention préventive.

La perquisition du domicile principal d’Anis Rahmani a permis la saisie de documents officiels « classés » qui n’aurait jamais dû « fuiter ».

Durant le règne du clan Bouteflika, Anis Rahmani a longtemps entretenu des liens étroits au sein de la classe politique et sécuritaire. L’homme était devenu intouchable. Le clan de Bouteflika utilisait ce groupe de médias (télévision et journal) pour régler ses comptes avec ses adversaires et jeter en pâture si nécessaire des opposants, comme ce fut le cas lors de la présidentielle de 2014.

Le puissant Anis Rahmani a été arrêté en février dernier. 

Auteur
L. M.

 




Dans la même catégorie

Constantine : Radia Gouga expose son âme lumineuse

Du 9 au 23 août 2025, la galerie Les...

Le tricycle Mooncool, stabilité et évasion

Pas besoin d’être un as du vélo pour se...

À Jijel, on célèbre… sans célébrer !

Une salle des fêtes sans musique vient d’ouvrir à...

Intoxication alimentaire à Djelfa : Douze cafés fermés à El Birin

Suite a l'enquête déligentee par les services de l'État...

Dernières actualités

spot_img

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici