 a rendu son verdict, mercredi 21 juin 2023, dans une affaire de marché douteux portant sur la réalisation de l'aérogare de Constantine impliquant l'ancien Premier ministre, Noureddine Bedoui, et l'ancien ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf du temps où ils étaient walis de Constantine. ){kind=link}
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Le juge du pôle judiciaire économique et financier près le tribunal de Sidi M’hamed (Alger) a rendu son verdict, mercredi 21 juin 2023, dans une affaire de marché douteux portant sur la réalisation de l’aérogare de Constantine impliquant l’ancien Premier ministre, Noureddine Bedoui, et l’ancien ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf du temps où ils étaient walis de Constantine.
Une peine de cinq ans de prison ferme assortie d’une amende d’un million de dinars, a été prononcée contre les deux mis en cause qui devaient répondre, dans le cadre de la même affaire du chef d’inculpation d’abus de fonction et octroi d’avantages non justifiés.
L’ex-wali de Constantine, Taher Sekrane et l’ex-secrétaire général de ladite wilaya, Benyoucef Aziz, soupçonnés d’être impliqués eux aussi dans le même dossier, ont été relaxés.
La justice a relevé de graves anomalies (surfacturation) ayant entrainé la perte d’importantes sommes d’argent et un énorme retard dans la réalisation de l’infrastructure aéroportuaire qui a été réceptionnée après un délai de 10 ans au lieu des 48 mois fixés dans le cahier de charges.
Samia Naït Iqbal
Le film continue. Et maintenant, de quoi la populasse va tuer son temps ? Le MAK, le Makhzen, Rachad ? Au suivant. Et c’est ainsi que le pays est zaama « géré ». Voila la gouvernance dans la nouvelle algérie. Nous annoncer des condamnations et des emprisonnements du lundi a dimanche 12 mis sur 12. Des fois la fabrication d’une mitralleuse. Voila l’état militaire entouré de toute sorte d’incompétents de la nouvelle algérie.
L’infrastructure aéroportuaire a été réceptionnée après un délai de 10 ans au lieu des 48 mois fixés dans le cahier de charges.
Rien que ce fait démontre le degré d’incompétence et d’inefficacité de ce serviteur de l’État membre l’administration publique algérienne. Non seulement il se sert dans les caisses de l’état mais en plus il est incapable d’accomplir sa mission.
Comment voulez vous qu’un pays fonctionne et construise un état avec des individus de cette sorte. D’autant plus qu’une quarantaine de personnes sont impliquées dans cette affaire. Cela laisse à penser que beaucoup connaissaient les tenants et aboutissants de la combine montée par Bedaoui et son comparse A.Boudiaf, lui-même ancien ministre, sans pour autant agir pour faire cesser les détournements de fond.
Mais c’est tout cela la issaba et sa méthode de gouvernance. En Algérie, gouverner c’est privatiser son secteur pour ensuite se servir a sa guise. Voici la gouvernance qu’on a eu depuis 62. Et c’est pour cette raison que ces affaires de corruption n’en finiront jamais tant que la malédiction est au pouvoir. Ils sont collés au pouvoir comme des sangsues tout en privatisant la justice, l’armée, la police et la gendarmerie pour se protèger de la colère du peuple.