Bénéficiant du soutien du mouvement Ennahda et d’autres forces islamiques et s’appuyant sur une structure organisationnelle solide et une présence dans la plus part des wilayas, Abdelaali Hassani Cherif semble bien parti pour réaliser un bon score pour donner l’illusion.
On se demande pourquoi donc Tebboune va faire semblant de mener une campagne électorale pendant un mois d’août particulièrement chaud ? Car les jeux sont pipés, et ce n’est pas le candidat islamiste qui va le contredire. Abdelaali Hassani Cherif est sans doute tout heureux que l’Etat profond l’ait choisi pour faire figure d’ousider. Une fonction qui lui sied comme sa moustache.
Age de moins de 50 ans, l’islamiste Abdelaali Hassani Cherif fait face à un triple défi : un manque de charisme, d’audience au sein de la base militante et la présence du candidat du pouvoir qui se présente pour avoir les faveurs des urnes.
De ce fait, la candidature du chef du Mouvement pour la société pour la paix, Abdelaali Hassani Cherif est à inscrire dans la pure tradition de l’entrisme politique chère à Mahfoud Nahnah, le père fondateur de ce parti islamiste pour qui la conquête du pouvoir politique passe d’abord par l’infiltration idéologique des institutions de l’Etat.
Une logique participationniste qui inspire et guide tous les segments apparentés au courant affiliés à l’internationale des Frères musulmans.
Peu importe les échecs successifs pour les islamistes algériens qui présentent pour la quatrième fois un candidat à l’élection présidentielle depuis la participation de Mahfoud Nahnah en 1995, de Djahid Younsi en 2009 et Abdelkader Bengrina en 2019. Autant d’élection qui en réalité ne sont que des mascarades pour faire croire à l’existence d’un pluralisme et d’un jeu démocratique.
Le temps semble être un précieux allié pour les dirigeants de ces partis qui ne désespèrent pas de contrôler un jour le pouvoir. Tout le pouvoir politique après la maillage idéologique de l’État et de ses institutions. Surtout si l’on sait que la société algérienne est rongée par un islamisme radical rampant.
Samia Naït Iqbal
Partout on essaye de tricher et puis de faire croire a sa propre population que le processus est PROPRE. En al-kharia, ce que pense ou resent la population n’importe pas du tout ! La tricherie est envers « les partenaires », comme s’ils pouvait se trouver un quelconque « partenaire » autre ceux qui comptent sur ce mepris meme que le regime demontre envers les populations.
Enfin, heureusement que la France de temps a autre, nous lave de cet insupportable mepris dont nous rappele ces chiens a toute occasion. J’attends d’enttendre une remarque de Sejourne’ qui se traduit a « vas te faire fout ! »
Je vais encadrer la photo du Macron qui prend le gros lard par la main et l’emmene lui montrer l’ecurie. Je me demande qu’est-ce qu’il lui a fi ?!!!!
Depuis, le tabToz ne marche pas droit, constamment a reguarder par-dessus les epaules.
Iben moua je persiste signe et resigne. Les élections en Algérie devraient s’organiser comme aux Etat-Unis:le gagnant rafle tous les sièges oula comme en coupe du monde les perdants sont éliminés.
Comment croire que des petits partis opportunistes qui ne rassemblent pas plus loin d’un jet de pierre de leur zaouia sont plus des signes de la démocratie et pas du tribalisme ? Ces petits partis ne peuvent etre que clientélistes.
Voyez les plus vielles et les plus authentiques démocraties du Monde:Lengliz ou Marikane , combien de partis se partage alternativement le pouvoir?
Ce que je souhaite c’est que cela se fasse ouvertement et que ça ce soit constitutionnalisé.
J’ajouterai même que je pense que nous sommes enfin en train de deviender une vraie démocratie à l’insu de notre propre plein gré.
Oui c cela
Une demokhratie
Avec des centaines de prisonniers politiques
Des milliers d ISTN ( plus que L Afrique du Sud de péter botha)
Et des milliers de personnes qui n osent pas rentrer voir leur proches de peur de finir en prison