Le prix Goncourt 2024 a été attribué ce lundi à Kamel Daoud pour son roman « Houris », a annoncé l’Académie. C’est le premier auteur algérien à obtenir un prix aussi prestigieux.
Le prix Goncourt 2024 a été attribué ce lundi à Kamel Daoud pour son roman « Houris » (éd. Gallimard), a annoncé l’Académie. Avec ce roman, l’auteur franco-algérien de 54 ans, signe une fiction sur les massacres de la « décennie noire » algérienne (1992-2002).
« L’Académie Goncourt couronne un livre où le lyrisme le dispute au tragique, et qui donne voix aux souffrances liées à une période noire de l’Algérie, celle des femmes en particulier. Ce roman montre combien la littérature, dans sa haute liberté d’auscultation du réel, sa densité émotionnelle, trace aux côtés du récit historique d’un peuple, un autre chemin de mémoire », a salué le président de l’Académie Goncourt
Il a été choisi par le jury au premier tour, récoltant six voix, contre deux pour Hélène Gaudy, une pour Gaël Faye, et une pour Sandrine Collette, a annoncé le président de l’Académie Goncourt, l’écrivain Philippe Claudel. Le prix Renaudot 2024 a lui été attribué à Gaël Faye pour son roman « Jacaranda ».
La rédaction /AFP
C’est une bonne nouvelle, ça va faire plaisir à tous les anti-français, communistes et autres decoloniaux encartés !
Étant donné qu’il est interdit en Algérie et qu’il ne peut pas être traduit en Arabe, espérons qu’il sera un best-seller dans les pays francophones !
Houlala , comment il la ouèj !
Putain ! J’ai failli me parjurer à tord . Ohqarbi que j’allais manger ma chéchia sans sauce et me fendre en excuses sii je n’avais pas lu la déclaration de KD : »je remercie la France qui protège écrivains ». Ce n’est pas une bande de copains comme cochons qui lui a attribué un prix , mais la République française. Ce n’est donc pas un prix littéraire ?
Jaloux, il a dit lui. Même s’il avait eu la chtouille vous diriez que je suis jaloux.
N’est-ce pas moua qui vous disais que K.D est capable de vous broder au pied levé, par dessus la jambe, une Tegrifa ta3 Mosta rien qu’avec un vieux soutif et du fil blanc ? Sauf que quant il se vente d’être le seul intellectuel éveillé pendant la décennie noire ça me gêne beaucoup plus qu’un peu. Delà à être ébloui par ses racontars à l’âge de la cataracte où l’oeil est plus torve qu’enfantin, je résiste un peu.
Ils disent qu’avant de lire il faut savoir entortiller les mots dans de jolies phrases. Désormais il faut être plus écrivain que l’auteur que vous lisez sinon, ne le lisez pas. Au risque de ne pas pouvoir apprécier. Je ne lirai plus désormais car je ne suis pas Proust, ni Balzac.
Iben non ! J’ai beaucoup lu, car de mon ta on n’avait que la lecture pour nous sortir du marrasme où on était engoncé. Et rien que cela m’autorise à dire que ce qu’écrit K.D ne m’a ni ébloui , ni surpris, ni étonné, ni ému. Et j’ajouterai qu’il est d’une désolante superficialité.
Ce n’est que mon impression mais je ne sais lire qu’avec mon propre cerveau. J’ai feuilleté »Houris » à la Fnac, et j’ai trouvé une distorsion entre le style , les enluminures, le lyrisme pompeux, et le sujet en question.Une partition de pipeau me suis-je dis . J’ai reposé le roman en réprimant un énervement.
Je ne sais pas si je dois compatir et lui présenter mes condoléances pour son orgueil ou si je devrais dire : Chah fi son qamum à K.D ! Sinon , qu’il le lèche donc,son orgueil, s’il n’est pas mal placé !
C’est ainsi . Quand je lis un éloge de K.D je cours vite me shooter avec une diatribe et quand je lis une diatribe c’est l’inverse. Tant il ne mérite ni l’un ni l’autre. Surtout que ni ceux qui écrivent que c’est une consécration ni ceux qui au contraire insinuent que c’est là une récompense pour sa reddition ne m’ont convaincu. Je suis obligé de me bricoler une opinion tout seul comme Onan.
Est-ce que les sujets dont K.D se prévaut de leur exclusivité n’ont pas été rabâchés en long en large en diagonale et même demyati ici au Matin-Dized ? En plus lui il se dit musulman pour ne pas se fâcher avec ses anciens mentors. Avec ça vous voulez nous faire croire qu’il est le seul à avoir le courage de ses opinions ?
C’est leur silence qui a tué Djaout, Mekbel, Matoub, et les autres, ya Boundyou ?
Sinon à part sa bouille et son exotisme qu’est-ce que K.D apporte à la France que des dizaines d’écrivains et d’intellectuels algériens ne lui ont pas apporté ? En bien, en mal, en reconnaissance et en ressentiments.
Iben,alors, moua je dis que ces choses-là ne se font pas sans gage. Dites-moi que K.D n’a pas vendu un peu de son âme et je fais comme Goering. Ih, dites-moua trach combien de moulins à vent il a terrassés avant de défoncer les portes de la gloire sa honte bue jusqu’à la lie et de se faire grimper au mât de Cocagne de la droite parce que, elle, elle ne veut pas y aller le luc sale à cause des casseroles qui y sont accrochées .
Je te trouve un peu mechant ou juste irrationnel, a l’EGARD DE PRIX.
Tout ce que tu dis, ne dit pas moins du Goncourt-meme, auquel tu ne touche pas, bien au contraire !!! Tu arrives a etaler cette idee que le Goncourt n’est pas pour n’importe qui d’une part et, K.D. ne le merite pas de l’autre. Si ce prix te semble etre quelque chose d’exceptionnel et qu’il vient d’etre attribue’ a la legere – ce que tu suggeres – alors faut pas se gener avec le Jury, surtout quand tu dis bien qu’il s’agit d’un Prix Literaire et non bolitique !!! Je ne connais pas et surtout ne m’interesse ni a l’un ni a l’autre. Ma deception est dans le fait que le prix ne soit attribue’ a un quelconque Francois departDioux. Ou est-ce plus facile quand il s’agit d’une personne(ou pour plaisir a si Lakhdar siaona QUELQU’UN) deja mis en examen plus d’une fois, sinon deja condamne’?
« Ce n’est pas une bande de copains comme cochons qui lui a attribué un prix , mais la République française. Ce n’est donc pas un prix littéraire ?
Vous voulez a tout prix qu’il rentre dans le moule de la racaille ingrate ?
A ca place, je serais plutot enclin a doubler la dose, c.a.d. double-merci, car faut pas oublier qu’il a une famille a nourir et une retraite a vivre. Je vois ca plus comme un capital supplementaire pour une retraite tranquille qu’autre-chose.
Vous m’avez lu demyati.
non, c’est mes zyoux qui lisent sans mwa !!! Comme l’a subtilement passe’, c’est toute la france qui est comme ca, pas seulement les Goncourtois. La question est Sur les bancs de quelle place publique finira-t-il ses jours, a ton avis? Aix? J’en doute, trop dangereux maintenant. Paris? J’en doute, trop de vrais Francophones. Importe peu au fait, la ou il sera, il se dira « j’ai ose’ et donc j’ai vecu. – et il aura raison. Tout sauf la racaille d’alger !
Je cite hend : C’est leur silence qui a tué Djaout, Mekbel, Matoub, et les autres, ya Boundyou ?
Mwa, je crois savoir pourquoi leur silence et c’est bien la le noeud gordien du paradigme algérien.
Pour la lecture «demyati » peu de gens comprennent le sens. C’est generationnel.
Au grand dam de toute la composante de la junte militaire algérienne au pouvoir en Algérie depuis 1962 – des plantants aux généraux-majeurs -, des islamo-baathistes de tout acabit et des jaloux de tout bord, je tiens à féliciter K. D., lauréat du prix Goncourt 2024.
La junte peut garder son Salon « international » du livre d’Alger pour ses besoins et ceux des Arabo-baathistes, ses sous-traitants dans la vie de tous les jours.
Sans votre « Salon d’Ikeyyasen » nos autres résistants trouverons toujours un moyen de nos procurer « Houris » et le lire, espèce de vermine.
Courage! Si nos aïeux ont pu se débarrasser de 130 de colonialisme, nous saurons avec certitude et quelque soit le prix nous libérer de ce néocolonialisme composite, militaro-islamo-baathiste.
La justice française, justificatifs à l’appui, veut se débarrasser du rejeton du feu général-major Ahmed Boustila, commandant de la gendarmerie algérienne, le dénommé Mohamed-Amine Boustila – remarquer ce double prénom prophétique – et des millions en dollar (entre 150 et 200) qu’il a volé avec l’aide de son papa, commandant de la gendarmerie nationale (2000 – 2015), un des pire et corrompu corp de la junte militaire algérienne.
PS. Chaque prix a ses propres choix y compris le Nobel.
Ne soyons pas mesquins et disons bravo et félicitations à Kamel DAOUD.
Ne mélangeons pas tout. La littérature reste de la littérature : c’est subjectif. Et tout le monde a le droit d’être subjectif… Ce qui est très différent de l’irrationnel, tout de même.
Après le Sahara occidental, la France de Macron continue de cracher sur l’Algérie
Faut changer de lunette. Cracher c’etait il y a 2 siecles, quand elle esperait en faire une plantation d’Emirs, comme elle a reussit a le faire au Marook. Elle passe’e a CaCa depuis… Et c’est pourquoi que ca pue boocoop. Mais, il faut etre juste tout de meme, la France n’est pas le probleme des Algeriens, du tout, ni de l’Algerie, d’ailleur. Le seul probleme qu’il puisse y avoir est ou merite d’etre reconnu comme tel est entre les Algerie et l’algerie ou l’inverse.
Dites-vous que j’ai failli sauter dans lwed(harrach hier) en enttendant a filouZoffe sur la rta ch3 dire/expliquer que le « 1er Novembre 54 etait le parachevement de l’emir zinzin abdel-kader » – Sans jamais expliquer ce qu’etait le projet d’Abdeka et quel etait celui de 54. Un autre zinzin lachera timidement que l’appel de 54 c’etait pour une jamahiria demokratia et sociale.
Pour vous dire qu’un de ces 4, ton bled va se retrouver comme la 1ere Jamahiria Soltania demokhratik et bab-el wed/bobular.
Je ne suis pas intellectuel pour un sou. Je dirais même que le qualificatif de vieil abruti me convient parfaitement . Mais dans ma chienne de vie j’ai travaillé pendant plus de karanta avec des intellectuels de grandes qualités , Algériens et d’autres nationalités, et je peux vous affirmer qu’il n’ont pas la même opinion que vous au sujet de K.D. Quitte à ce qu’ils se soient tous trompés à son sujet.
Il y a une flopée de prix littéraires qui sont remis par des zaouias de la littérature et non par « La république française ». le plus souvent lors d’arrangement commerciaux.
Voici la liste des dates de remise des prix les plus importants :
Prix du Roman Fnac – Les âmes féroces – Marie Vingtras (Éditions de l’Olivier)
Prix de l’Académie française – Le Rêve du jaguar – Miguel Bonnefoy (Rivages)
Prix Goncourt – Houris de Kamel Daoud (Gallimard)
Prix Renaudot – Jacaranda de Gaël Faye (Grasset)
Prix Décembre – Le Bastion des larmes de Abdellah Taïa (Julliard)
Prix Fémina – 5 novembre 2024
Prix Médicis – 6 novembre 2024
Prix Interallié – 13 novembre 2024
Prix Goncourt des Lycéens – 28 novembre 2024
Je transfère un mail que l’ un d’eux, qui a lu mon post , m’a envoyé..
« «…..
A Hend , en attendant il faut que tu saches que c’est au »Franco-algérien » que ce prix été attribué selon les manchettes des journaux.
Je t’envoie cet extrait :
«
En soi Daoud n’est ni un grand intellectuel ni un grand écrivain. Il faut plutôt le rattacher au gratin du show business ou de la mondanité, c’est le dernier avatar de Saint-Germain-des-Prés. Par l’influence de ses relais il « fait le buzz », conformément aux nouveaux canons qui veulent que les idées ne soient plus transmises que par des « influenceurs ». Daoud n’a d’importance que celle qu’on lui donne, on le conforte pour que sa parole soit d’Évangile. Même auprès des nostalgiques intellectuels « de gauche » compris – qui ressentent l’Algérie comme une colonie perdue. Fort d’un statut établi par lui-même, celle de « l’Arabe », Daoud crache volontiers sur un monde supposé être le sien, arabo et musulman. Pour ne pas perdre ses couleurs comme un linge passé, ce personnage naturalisé français à la vitesse du son, n’a pas le choix. Pour conserver son label d’arabité il doit continuer de parler au nom d’un peuple qu’il a renié. »
https://comptoir.org/2023/02/21/jacques-marie-bourget-le-discours-de-kamel-daoud-alimente-les-prejuges-culturalistes/
Après @ Hend attansiou! BenSaada officie chez algiripatrio-tique qu’on ne présente plus
Vous mJe ne suis pas intellectuel pour un sou. Je dirais même que le qualificatif de vieil abruti me convient parfaitement . Mais dans ma chienne de vie j’ai travaillé pendant plus de karanta avec des intellectuels de grandes qualités , Algériens et d’autres nationalités, et je peux vous affirmer qu’il n’ont pas la même opinion que vous au sujet de K.D. Quitte à ce qu’ils se soient tous trompés à son sujet.
Il y a une flopée de prix littéraires qui sont remis par des zaouias de la littérature et non par « La république française ». le plus souvent lors d’arrangement commerciaux.
Voici la liste des dates de remise des prix les plus importants :
Prix du Roman Fnac – Les âmes féroces – Marie Vingtras (Éditions de l’Olivier)
Prix de l’Académie française – Le Rêve du jaguar – Miguel Bonnefoy (Rivages)
Prix Goncourt – Houris de Kamel Daoud (Gallimard)
Prix Renaudot – Jacaranda de Gaël Faye (Grasset)
Prix Décembre – Le Bastion des larmes de Abdellah Taïa (Julliard)
Prix Fémina – 5 novembre 2024
Prix Médicis – 6 novembre 2024
Prix Interallié – 13 novembre 2024
Prix Goncourt des Lycéens – 28 novembre 2024
Je transfère un mail que l’ un d’eux, qui a lu mon post , m’a envoyé..
« «…..
A Hend , en attendant il faut que tu saches que c’est au »Franco-algérien » que ce prix été attribué selon les manchettes des journaux.
Je t’envoie cet extrait :
«
En soi Daoud n’est ni un grand intellectuel ni un grand écrivain. Il faut plutôt le rattacher au gratin du show business ou de la mondanité, c’est le dernier avatar de Saint-Germain-des-Prés. Par l’influence de ses relais il « fait le buzz », conformément aux nouveaux canons qui veulent que les idées ne soient plus transmises que par des « influenceurs ». Daoud n’a d’importance que celle qu’on lui donne, on le conforte pour que sa parole soit d’Évangile. Même auprès des nostalgiques intellectuels « de gauche » compris – qui ressentent l’Algérie comme une colonie perdue. Fort d’un statut établi par lui-même, celle de « l’Arabe », Daoud crache volontiers sur un monde supposé être le sien, arabo et musulman. Pour ne pas perdre ses couleurs comme un linge passé, ce personnage naturalisé français à la vitesse du son, n’a pas le choix. Pour conserver son label d’arabité il doit continuer de parler au nom d’un peuple qu’il a renié. »
https://comptoir.org/2023/02/21/jacques-marie-bourget-le-discours-de-kamel-daoud-alimente-les-prejuges-culturalistes/
‘avez lu demyati.
Je cite un passage de ce Jacques machin, que vous partagez/diffusez: « Fort d’un statut établi par lui-même, celle de « l’Arabe », Daoud crache volontiers sur un monde supposé être le sien, arabo et musulman.
C’est decidemment incroyable ! De quelle famille royale fait-il partie, pour avoir ainsi la capacite’ de s’octoyer un statut quelconque??? Aucun, sinon celui de chroniqueur et ecrivain, non ? Sur « etre l’Arabe », il l’a dit clairement « je ne suis pas un Arabe », ni dans ses genes ou heritage ethnique, ni dans sa culture et certainnement pas dans une projection psychique quelconque dans le caractere de son livre. Ces suppositions ne sont que le fruit de jugements porte’ sur sa personne prive’e, meme pas sur son metier, choix des sujets ou la qualite’ de son ecriture. Je l’ai personnellement critique’, mais jamais comme personne que je ne connais pas et meme si ! J’ai emis une opinion sur son choix de sujet ou d’approche, mais la personne… Et c’est exactement ce que fait ce bidule Jacques Machin – qui a l’evidence n’est pas en position de juger la personne K.D. Il est clair que ce qui derange ce monsieur est le succes de Daoud, qu’il evalue en Euros. Et cela dit tout. Qu’aurait-il(K.D.) produit si la langue Francaise n’etait pas sa 3eme et s’il avait recu une formation approprie’e? Je defie ce mec de resumer son jugement de KD, car il ne s’agit point d’opinion ici. Une opinion ca se construit bon sang ! Et quand il s’agit de quelqu’un qu’on ne connait meme qu’a travers son travail, les elements de cette construction ne peuvent etre tire’s que de ce travail – car travail, il y en a bien. Il ecrit ecrit son histoire d’un trait dit-il(son fond), puis travaille beaucoup a lui une esthetique(forme), qu’il est encore entrain de travailler. La reponse a tout ca, est que KD a quelque chose a dire et qui le dire, pas ses detracteurs qui sont loin d’etre des critiques. Helas. Tout ca, mon instinct me dit que ca vient du fait d’avoir frequente’ les Islamistes. Pour moi cela dit qu’il sait de quoi il parle et il aura fallu etre sincere pour tomber dans ce piege-la. Il l’aura donc ete’ et je pense qu’il l’est toujours, sincere. Pour cela, il n’y a rien d’autre a dire ou faire que le felliciter et lui dire merci.
Franchement, je pense que tout ce monde qui le juge sans le critiquer n’a rien a lui reprocher. On trouve en lui le bouc emissaire et le souffre-douleur – et il ne s’en plaint meme pas. Il aura fait plus d’un voyage dans plusieures localite’s isole’es de Kabylie et je suis sur qu’il n’aura meme pas amorti son voyage de se ventes. Il y aura ete’ pour dire Je vous vois, voyez-moi. Les Kabyles existent pour KD et pour la majorite’ il existe aussi.
Au grand dam de toute la composante de la junte militaire algérienne au pouvoir en Algérie depuis 1962 – des plantants aux généraux-majeurs -, des islamo-baathistes de tout acabit et des jaloux de tout bord, je tiens à féliciter K. D., lauréat du prix Goncourt 2024.
La junte peut garder son Salon « international » du livre d’Alger pour ses besoins et ceux des Arabo-baathistes, ses sous-traitants dans la vie de tous les jours.
Sans votre « Salon d’Ikeyyasen » nos autres résistants trouverons toujours un moyen de nos procurer « Houris » et le lire, espèce de vermine.
Courage! Si nos aïeux ont pu se débarrasser de 130 de colonialisme, nous saurons avec certitude et quelque soit le prix nous libérer de ce néocolonialisme composite, militaro-islamo-baathiste.
La justice française, justificatifs à l’appui, veut se débarrasser du rejeton du feu général-major Ahmed Boustila, commandant de la gendarmerie algérienne, le dénommé Mohamed-Amine Boustila – remarquer ce double prénom prophétique – et des millions en dollar (entre 150 et 200) qu’il a volé avec l’aide de son papa, commandant de la gendarmerie nationale (2000 – 2015), un des pire et corrompu corp de la junte militaire algérienne.
P.S.: Chaque Prix y compris le Nobel a ses propres critères et visées.
Inisi
Sur l’aspect littéraire, on va se fier à Mas Hend qui, lui, a feuilleté le roman. Son jugement sur le Goncourt en plus ne laisse pas trop de marge.
Il reste que, comme tout discours sur les années 90 constitue un témoignage utile. En matière d’écrit dans la région, ce n’est pas comme s’il y a inflation. Et il y en a encore moins sur cette une période fermée-scellée-soudée par ceux là même qui, à l’époque, plaçaient leurs enfants loin de l’odeur du souffre. Et maintenant ils interdisent à ceux l’ont supporté dans leur chair ne serait-ce que d’en parler.
Et cette voix rare qui va à l’encontre du discours islamiste écrasant, hégémonique (auquel le pouvoir a pavé 99% le chemin), ce n’est jamais de trop; jamais assez.
Et ceux qui préfèreraient voir publier ce genre de romans ou discours en Algérie; ils devraient pet-être s’essayer eux mêmes à l’exercice.
La charte sur la réconciliation nationale est un immense déni de justice pour les victimes de l’intégrisme islamique, un déni de justice doublé d’un déni d’information. Il est normal que la parole impossible à Alger se libère à Paris et ce n’est que justice pour pour les violentés de la décennie noire. La justice n’est pas un crachat et l’Algérie n’existe plus, elle est bâillonnée, seul le régime survit sur son cadavre.
Que récompense le Goncourt chez KD? Pour le savoir , il faut lire absolument le vrai portrait de Kamel Daoud sur le site Orient XXI.info : « La fascination de Kamel Daoud pour l’extrême droite »
Pas besoin de lire Orient ni Ammar bu Zwar pour voir le soleil; il suffit d’ouvrir les yeux. K. Daoud a juste les mots et la manière pour décrire ce que les dizaines de millions ne savent pas exprimer. Il sait mettre les mots sur le désastre de l’arabisation et de l’islamisation et les ravages de la décennie 90 qui en sont la conséquence directe.
En quelques mots bien ramassés,je n’ai rien à rajouter
Tout a fait, et y rajouterais AU RISQUE DE SA VIE.
J’espere qu’il lit LMDA, pour savoir qu’il aura toujours des lecteurs.