Depuis son investiture à la magistrature suprême en décembre 2019, le président Abdelmadjid Tebboune a engagé l’Algérie dans une mue profonde, à la hauteur des espérances d’un peuple longtemps en quête de renouveau.
Dans un contexte marqué par une crise de confiance inédite entre gouvernants et gouvernés, et par un déclassement de l’Algérie sur le plan international, l’arrivée du chef de l’Etat a marqué le coup d’envoi d’une transformation que d’aucuns n’hésitent plus à qualifier de «transformation radicale», tant sur le plan politique, diplomatique qu’économique.
Reconstruire la confiance, priorité nationale
Héritier d’un pays réveillé par le mouvement populaire de 2019 et la léthargie institutionnelle des années précédentes, Abdelmadjid Tebboune a, d’emblée, posé les jalons d’une refondation politique : dissolution du Parlement, élections législatives anticipées, intégration accrue de la jeunesse dans la vie publique. En l’espace de six ans, il a su retisser le lien distendu entre l’Etat et ses citoyens, redonnant une place centrale au peuple dans l’édifice institutionnel. «Le citoyen est une ligne rouge», martèle le président de la République pour une reconquête de la dignité nationale et internationale tant sapée par les pratiques d’un ancien régime.
La révision de la Constitution, adoptée par référendum, a consacré de nouveaux équilibres de pouvoir, consolidant les droits et les libertés, tout en affirmant le principe de la souveraineté populaire comme clef de voûte du projet national. Une démarche qui, pour beaucoup, réhabilite le serment du 1er Novembre 1954 et l’esprit d’une Algérie fière de ses racines révolutionnaires, sacralisant les combats héroïques d’hier, mais résolument tournée vers l’avenir.
Diversification et ambition économique
Le pari de l’après-hydrocarbure est sans conteste l’un des chantiers majeurs de l’ère Tebboune. Dans un pays longtemps prisonnier de la rente pétrolière, la relance de l’industrie, la modernisation de l’agriculture et le soutien aux exportations hors hydrocarbures témoignent d’une volonté claire : asseoir une économie diversifiée, génératrice de richesses et d’emplois.
Aujourd’hui, l’Algérie affiche un taux de croissance du PIB de 4,2 %, une performance saluée par de nombreux analystes et d’institutions financières internationales qui voient là un signe tangible de résilience et de redressement.
Parallèlement, les exportations hors hydrocarbures poursuivent leur essor, atteignant près de 7 milliards de dollars, une première historique qui confirme la capacité du pays à amorcer un véritable virage économique et à édifier une économie qui va profiter aux futures générations.
La stratégie ferroviaire nationale, érigée en symbole de la bataille pour la relance industrielle, illustre cette ambition. Car gagner la guerre du rail, c’est tracer la route vers l’émergence, la conquête de nouveaux marchés, renforcer la profondeur africaine et tisser une géopolitique de l’interdépendance entre partenaires.
Le président Tebboune mise aussi sur le savoir et l’innovation comme leviers incontournables du développement durable. La création d’écoles nationales dédiées à l’intelligence artificielle et le soutien accru à la recherche et à l’auto-entrepreneuriat viennent ancrer cette orientation dans le concret, préparant une génération capable de répondre aux défis technologiques de demain. La start-up a été au cœur de ce dispositif comme un levier de reconquête pour les jeunes talents algériens.
Un retour affirmé sur la scène internationale
Sur le plan diplomatique, la voix de l’Algérie a retrouvé sa portée. Fidèle à ses principes immuables, défense de la justice, attachement au règlement pacifique des conflits, respect du droit international, affirmation des souverainetés nationales au détriment de la guerre prédatrice, le pays s’affirme de nouveau comme un acteur de paix et de médiation, une puissance de conciliation dans un monde où les certitudes vacillent et où les grands principes s’érodent.
Du Sahel à la Méditerranée, de la question palestinienne à la défense des causes africaines, l’Algérie assume pleinement son rôle de puissance régionale, libre de ses choix et de ses positions. Une posture et un positionnement qui dérangent parfois, car la fermeté du principe secoue le discours ambiant, mais qui consolide sa crédibilité et son image auprès des peuples qui voient en elle un partenaire fiable, constant et respectueux des engagements.
Un nouveau cap
Bien entendu, le chemin reste semé de défis, mais force est de constater qu’en moins de six années, l’Algérie a renoué avec l’espoir. Elle avance, portée par la foi d’une jeunesse encouragée à prendre part à l’édification de son propre destin. Le Président reconstruit un Etat en intégrant le citoyen comme acteur de sa propre prospérité.
L’Algérie est forte de ses femmes et de ses hommes. Un adage simple, mais qui trouve aujourd’hui un écho tangible dans chaque pas posé sur la voie du renouveau. Dans un environnement international instable, l’Algérie s’affirme, et c’est sans doute là, la plus grande réussite d’un leadership qui se veut à la fois ferme, moderne, pragmatique et profondément ancré dans les valeurs d’un peuple épris de liberté et de dignité.
APS
Tout va bien Madame la marquise! Tout va bien au Sily Land et le ridicule ne tue toujours pas.
Les promesses n’engagent que ceux qui y croient ,en attendant nos jeunes et nos universitaires fuient cette prison à ciel ouvert ou ils n’ont rien à espérer de ce gouvernement quant à ceux qui osent protester ils sont immédiatement emprisonnés
Un bien beau pays que l’Algérie de Tebboune
Un article digne de la triste pravda.
L’algerie est au bord de l’implosion, mais tout va bien Mme la marquise.
L’Algérie est forte, c’est la troisième économie du monde avec le meilleur système de santé du monde arabe et de l’Afrique, si ce n’est la main étrangère avec comme principaux acteurs, Israël, la France, le Makhsen, et surtout les martiens.
Si ce n’est ces mains étrangères, l’ânejiri, serait mieux que l’Amérique, puisqu’elle est déjà mieux que la Suisse et la Suède.
Mais que vient faire un article de « l’Expression « dans votre journal, article qui encense le président Tebboune et sa politique au delà du raisonnable ?
Je ne comprends pas cette reprise d’un document de l’APS publié par Le Matin d’Algérie ? C’est quoi l’objectif ? C’est quoi le Schmilblick ?
Je rêve… Le matin d’Algérie qui relaie la propagande répugnante de Teboune… Ouvrez les yeux, Teboune s’acharne depuis 6 ans à salir l’Algérie, à lui saccager toutes les chances que le Bon Dieu nous a donné. Comment pouvez vous reprendre cette propagande ?
Un communiqué qui pue la panique du régime Teboune. Tous les algériens savent que Teboune est un mythomane et que les méga projets annoncés chaque jour dans la presse ne sont que des mensonges d’un mythomane alcoolique et colérique. Tout n’est que propagande, mensonges : l’économie est à l’arrêt, Teboune et son équipe font fuit les investisseurs y compris locaux, les Ministres et les DG n’osent plus prendre la moindre décision de peur de finir en prison, la hierarchie de l’armée vit dans la terreur des purges menées par ce vieux fou de Chengriha. L’économie marocaine avance à mille à l’heure pendant que l’économie algérienne est asphyxiée par la bêtise de Teboune. Le Maroc avance à pas de géant pendant que notre pays est verrouillé, paralysé par la haine que Teboune et ses généraux vouent à l’Algérie. Nos relations avec nos meilleurs clients et nos meilleurs partenaires sont saccagées par Teboune et les généraux qui le soutiennent. Nous ne sommes pas dupes. Nous connaissons le bilan de Teboune : l’Algérie est en conflit, au bord de la rupture avec le monde entier, y compris avec la Russie, y compris avec la Chine. Teboune et Chengriha par leur folie et leur bêtise ont attiré à toutes nos frontières les pires menaces. Teboune n’a aucune aptitude à gouverner, Chengriha n’a aucune aptitude au commandement. Ces deux ordures sont une menace existentielle pour l’Algérie. Teboune et Chengriha sont les pires ennemis de la nation. Tant que l’armée sera au pouvoir, l’Algérie n’a aucune chance. Les généraux ne veulent pas d’une Algérie prospére et heureuse. Ils veulent une économie de pénurie, de manque et un peuple misérable. Chacun doit ouvrir les yeux : la seule armée au monde qui deteste les algériens depuis 63 ans, c’est l’armée algérienne. Le seul ennemi du peuple algérien c’est l’armée algérienne
La pravda c’est en Russie ou article écrit par un général ?
Les services secrets ont infiltré la rédaction ?
Un article typique d’un journaliste ambitieux et qui vise loin , pas seulement le’cher le cul de T bone , mais aussi lui donner un massage de prostate .