Présenté ce dimanche à l’Assemblée populaire nationale (APN) par le ministre de la Justice, Lotfi Boudjemaa, le projet de loi sur la prévention et la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme marque un nouveau tournant dans l’adaptation du cadre juridique algérien aux normes internationales, notamment celles du Groupe d’action financière (GAFI).
Le texte vise à renforcer l’efficacité de l’arsenal national à travers plusieurs dispositions clés. Il consolide notamment les missions de la Commission nationale d’évaluation des risques, chargée d’identifier, d’évaluer et de partager les risques liés au blanchiment et au financement du terrorisme avec les autorités compétentes.
Le projet introduit aussi des mesures strictes à l’encontre des individus et entités figurant sur la liste nationale des terroristes : interdiction d’activité, gel ou saisie de leurs avoirs, et interdiction de toute interaction. Ces dispositions s’ajoutent aux sanctions du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Sur le plan procédural, le texte propose la création d’équipes d’enquête communes – permanentes ou temporaires – pour les investigations complexes, y compris en coopération avec des autorités étrangères. Il prévoit aussi un durcissement des peines pour certaines infractions.
Enfin, le projet consacre l’obligation pour les autorités nationales de coopérer avec leurs homologues étrangers, dans un cadre bilatéral ou multilatéral, et dans le respect des engagements internationaux de l’Algérie.
La séance plénière, présidée par Brahim Boughali, en présence de la ministre chargée des Relations avec le Parlement, Kaouthar Krikou, s’est poursuivie avec l’ouverture des débats entre les députés.
Samia Naït Iqbal
Si les autorités actuelles veulent vraiment lutter contre le blanchiment, il y a des mesures à prendre, faciles à appliquer, par exemple rendre publique les propriétaires de ces cliniques qui poussent comme des champignons, rendre publiques les actionnaires des centres commerciaux, ces nouveaux Ritadj etc… En somme, des mesures qui en cours dans presque tous les pays qui ne sont pas sur la liste noire
« Enfin, le projet consacre l’obligation pour les autorités nationales de coopérer avec leurs homologues étrangers, dans un cadre bilatéral ou multilatéral, et dans le respect des engagements internationaux de l’Algérie. »
Peut-on parler d’homologues de composants de 2 systemes quand aucune comparaison n’est logique entre les 2 systemes…
Faut bien que quelqu’un le fasse.
Il ne faut pas confondre entre Blanchissement et Detournement. La mafia Algerienne qui s’impose de force comme gouvernement fait les 2. Mais voyons ce que c’est ces crimes:
1. Detournement: C’est quand des fonds sont detourne’s, c.a.d. use’s pour de fausses fins, c.a.d. illegitimes. Comme la mafia d’Alger est illegitime, detournement il y a tous les jours.
2. Blanchissement, ou plutot Noircissement: C’est rentrer de l’argent deterne’, c.a.d. Blanc(Obscur) dans le marche’ noir, car il n’y a de marche’ reel et legitime que le marche’ noir.
La question est qui va se rendre a qui et qui va juger qui?
Quand a financer le terrorisme, si la mafia s’en sort c’est parce qu’elle ne le finance pas, elle le PRATIQUE ! Pas besoin de payer des acteurs internationaux, elle(mafia algerienne) fabrique ses terros maison.
Encore un écran de fumée. La nouvelle Issaba de Teboune a franchi toutes les lignes rouges en matière de corruption et de détournement de fond. Ce n’est pas un hasard si l’europe nous a mis sur liste rouge. Des milliards de dollars partent en fumée actuellement notamment vers un nouveau refuge : la Turquie. Pourquoi pensez vous que les programmes AADL sont confiés quasi exclusivement à des entreprises turques ? Pourquoi pensez vous que le marché algérien est ouvert à autant d’entreprises turques ? Y a t’il des choses que les turques savent faire et pas nous ? La seule chose que les turques savent faire ce sont des drones mais ce n’est pas en Algérie qu’ils font des usines de drones, c’est au maroc… En réalité, les entreprises turques sont des prêtes nom pour la nouvelle Issaba. Si vous allez en Turquie, vous verrez que la nouvelle Issaba de Teboune posséde des parts conséquentes dans toutes les entreprises turques travaillant en Algérie. Les entreprises turques c’est le moyen par lequel les généraux et leurs alliés de la nouvelle Issaba détournent des milliards de dollars. Ils pensent que leur argent sera mieux en sécurité en Turquie mais ils se trompent : le jour où le régime tombera, Erdogan vous dépouillera. Où qu’ils aillent, les autocrates comme Erdogan ou Poutine vous dépouilleront jusqu’au dernier centime.
« Lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme : l’Algérie aligne ses lois »
Regardez qui parle.
Les cabats bien pleins de dollars vers dubai c’es fini on dirait.