Les accusations lancées par Abdelkader Bengrina à l’encontre d’un mystérieux ministre en exercice sur une supposée falsification de chiffres continuent de faire polémique. C’est que le crypto-islamiste ne rate aucune occasion pour montrer qu’il existe.
Le militant politique et juriste Habib Achi alerte sur la gravité de ces propos, qui pourraient engager la responsabilité pénale non seulement du ministre visé, mais aussi de Bengrina et du député cité, pour non-respect des procédures légales.
Lors d’un discours devant ses militants, l’ancien candidat à la présidentielle a accusé un ministre en exercice d’avoir contraint un directeur de wilaya à falsifier des chiffres, afin de présenter au président de la République un bilan positif fictif.
Ces propos, qui auraient pu rester dans le registre du discours populiste, prennent une tout autre dimension à la lumière des critiques formulées par le militant politique et juriste Habib Achi.
Celui-ci souligne que si un député a effectivement rapporté une telle affaire à Bengrina, il s’agit d’une violation manifeste des procédures légales. En effet, un élu est tenu de saisir directement le parquet, ou de recourir aux mécanismes parlementaires — interpellation d’un ministre, saisine du président de l’Assemblée, voire demande de mise en cause du gouvernement.
Or, le fait de porter de telles accusations dans un meeting partisan plutôt que devant les autorités compétentes pourrait constituer en lui-même une infraction. Selon Habib Achi, Bengrina et le député concerné s’exposent au risque d’être poursuivis pour non-dénonciation de crime (article 181 du Code pénal).
Par ailleurs, si les faits allégués de falsification sont établis, ils entreraient dans le champ d’infractions graves, telles que : le faux et usage de faux dans des documents officiels (articles 214 à 217), la production de déclarations mensongères et de données trompeuses (article 223) et la création de faits falsifiés portant atteinte à la confiance publique et à l’intégrité de l’administration (article 222).
Pour Habib Achi, l’enjeu dépasse donc le simple affrontement politique : il s’agit de protéger la crédibilité des institutions et d’éviter que des révélations de cette gravité soient instrumentalisées pour des calculs partisans. « La parole publique engage, et elle ne peut pas être utilisée comme un levier de surenchère populiste », insiste-t-il.
Cette affaire met en lumière un double dysfonctionnement : la tentation d’exploiter politiquement des faits graves sans en assumer les conséquences légales, et la difficulté des institutions, notamment de la justice à garantir le respect strict des procédures. Elle révèle enfin que les fameux exploits économiques de la nouvelle Algérie de Tebboune sont de la poudre aux yeux.
Samia Naït Iqbal


Est-ce qu’y a besoin que ce clown vienne nous réchauffer le profil exigé à tout ministrable Tebbouniste ?
Mentir, gonfler les factures, dilapider, détourner… sont dans l’ADN de la âissaba depuis 62.
Et ce Bengrina est-il aussi net que cela… ou traine t-il lui aussi des casseroles aussi bruyantes que sa voix ?
Le pôvre Tebboune est tellement noyé dans sa mythomanie, que ses ‘penseurs’ d’El Mouradia essaient
vaille que vaille de lui effacer cette piteuse image de mytho qui le suit comme son ombre.
Alors, sacrifier un ministre, un directeur ou un larbin quelconque pour blanchir à la suie Âammi Tebboune, et
lui faire gagner un petit galon… ça Bengernina est tout désigné pour ces besognes.
Prenez pas ce peuple que vous haissez superbement pour des idiots ! SVP. La ficelle est trop grosse !
Ca se fait souvent dans les Democraties les plus transparantes du monde, comme une maniere d’attirer l’attention sur un sujet/theme. Ce qui est malheureux et l’absence totale d’une Presse Libre pour challenger de telles declarations et la recuperation dudit document pour exposition a l’avis de personnes cense’es et aptes a le verifier – Ou dans les cas contraire desavouer l’auteur des allegations…devant l’opinion PUBLIQUE biensur. Tout ca, presse, documents, … n’exite biensur pas pour la simple raison que cette OPINION PUBLIQUE-la n’existe pas, c.a.d. est INCONSEQUENTE. N’est-ce pas cette irrelevance de l’Opinion Publique qui vous oriente directement a « LA LOI » – Comme quoi La Loi n’a rien a voir avec l’Opinion Publique, ne reflete pas le Publique !!! Les Lois Algeriennes refletent l’opinion de Mohammed(suposemment), meme si c’est ecrit par quelqu’un d’autre que lui, il y a 14 siecles, etc. La suposition est que les Algeriens et TOUS ont decide’/accepte’ que leurs opinions sur tout sont celle d’un Etranger d’il y a 14 siecles ou des redacteurs de textes qui auraient capte’ des siecles plutard ce qu’il aurait opine’ sur des sujets innexistant de son epoque. Le ridicule dans tout ca, a quoi bon la politique ? A quoi bn des decideurs, puisque tout a ete’ decide’?
Il n’y a qu’une reponse et la meme a toutes ces questions: Les Algeriens sont incapables de comprendre ce que Allah, a travers son Rasul, ses transcribeurs, e t tous les textes sont(Algeriens) INCAPABLES DE COMPRENDRE. Ca je veux bien le croire, ils le prouvent eux-meme(ALgeriens) en acceptant d’inserrer des gens qu’ils qualifient eux-meme de voleurs etc., entre eux-meme et ce bon dieu !!! Le Rasul en question a instruit le COMPORTEMENT et la CONSCIENCE, donc l’opinion, INDIVIDUELLE et non de groupes aligne’s derriere des VOLEURS !!!
La crédibilité des institutions ?! Où ça ? En Dézédie ? Depuis quand ? En quel siècle? Quelle ère ? Dans combien de temps ? Quel millénaire ? Voudriez-vous enfreindre les normes séculaires de bon fonctionnement que toute la planète envie rageusement à l’orgueilleuse régence des Tagarins digne héritière de la non moins altière dynastie militaro-touristique des frontières ?! Oh! Sacrilège. Les dieux se facheront violemment et feront jetter la foudre et le mauvais sort sur des terres en souffrance depuis l’effroyable chute de l’Alhambra.
Ça sera sept lustres de famines qui vont s’empiffrer de sept lustres d’opulence
Mais regardez comment il est habillé,veste bleue,chemise blanche et cravate rouge!!!Ca ne vous dit rien?Mais c’est les couleurs du drapeau français!!!Ah,ces islamistes,ils disent ne pas aimer la France mais au fond d’eux-mêmes ils regrettent son départ un certain 3 juillet 1962 ce jour où le drapeau algérien a été hissé à Sidi Ferruch par le Colonel Si Mohand Oulhadj Chef de la wilaya 3 historique (je ne raconte pas d’histoires,j’étais présent comme membre de l’ALN) .Symboliquement un Colonel français a descendu le drapeau de la France.C’était une cérémonie émouvante pour tout le Peuple algérien heureux ce jour là et les jours qui suivirent.Mais cette joie a pris fin lors de l’arrivée de l’armée des frontières lourdement armée qui s’est attaquée aux réscapés des opérations de l’armée française jumelles et autres pierres précieuses de sinistre mémoire. C’est malheureusement la triste réalité qui explique le marasme que vit notre peuple au fond de lui-même.Mais le régime ne le nions pas a apporté une certains stabilité qui nous a évité bien des guerres fratricides,il y a aussi une industialisation bien que bâclée mais existante et l’instruction des femmes dont les doctorantes se comptent par milliers ou même millions ce qui est positif quand même ne le nions pas. Mais on aurait pu faire mieux en limitant surtout l’intrusion de l’intégrisme religieux qui a profondément gangréné la société et que nous voyons tous les jours dans son oeuvre déstructrice et néfaste.