Le climat de terreur et de menaces entretenu par les pouvoir militaro-civil d’Alger et leurs marionnettes civiles continuent de susciter nombres de condamnations et de solidarité de la part d’organisations et de personnalités nationales, elles-mêmes menacées de représailles.
Cependant, on déplore la timidité des réactions de la part d’organisations internationales. Ne parlons pas des politiques qui font preuve d’un silence assourdissant, tous pays confondus !
L’on se souvient du tollé général provoqué par les déclarations d’Emmanuel Macron en octobre dernier.
Le président français avait déclenché la colère des maîtres d’Alger après la publication de propos rapportés dans un article du Monde daté du 2 octobre, où il accusait le système «politico-militaire » algérien d’entretenir une « rente mémorielle » en servant à son peuple une « histoire officielle » qui « ne s’appuie pas sur des vérités ».
Lors de la rencontre du chef de l’Etat avec dix-huit jeunes gens issus de familles qui ont intimement vécu la guerre d’Algérie, à laquelle le journal Le Monde avait assisté, le président de la République avait également affirmé que « la construction de l’Algérie comme nation est un phénomène à regarder. Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? Ça, c’est la question (…) ».
Dans cette seule déclaration, mensonge et falsification de l’Histoire sont, à juste titre, mis en avant par le président français.
Malheureusement, par suite du courroux des putschistes, Emmanuel Macron avait vite fait de faire volte-face regrettant, quelques semaines plus tard, les polémiques et les malentendus engendrés par ses propos et assuré de son “plus grand respect pour la nation algérienne, pour son histoire et pour la souveraineté de l’Algérie”. Sans doute rattrapé par les intérêts français qu’on entend faire passer avant toute autre considération de droits de l’homme et de respect des libertés. Ce qui au demeurant n’est pas nouveau chez les dirigeants français qui ont toujours fait preuve de realpolitik dans leurs rapports avec les potentats africains.
On voit donc que les positions officielles de la France sont diamétralement opposées à celles affichées dans les coulisses du pouvoir.
Preuve s’il en fallait qu’en plus de terroriser un peuple pour le moment groggy par un quotidien féroce, les maîtres d’Alger ont réussi la performance de tétaniser la classe politique française, hormis une extrême droite qui n’hésite pas à proférer des propos farouches à l’adresse de nos dictateurs. Des propos ignorés allègrement par ces derniers, forts d’une impunité à toute épreuve !
Qui pour avoir le courage politique de faire entendre raison à ce pouvoir politico-militaire qui malmène un peuple fatigué par soixante années de terrorisme d’Etat ?
Malheureusement, tant que le pétrole continuera de couler à flots, il ne faut pas s’attendre à un déplacement de pions à même de faire échec et mat à l’hydre à mille têtes qui a confisqué le pays. Au final, « seul le peuple comme un seul homme », comme avait dit le poète assassiné Matoub est à même de prendre son destin en main.
Kacem Madani
Impossible de faire entendre raison à une dictature ; ils sont dans l’aveuglement ; leurs vie et celle de leurs progéniture est en danger . Madani toi même tu l’avais écris sur se cite ; l’exemple de l’IRAN de Khoméni ; il a bien utilisé la potence aux génèraux du SCHA . Peut-on raisonner un fou comme Hitler ? . Le slogan « YATNAHAOU GAA » . c’ était une menace clair . Ils sont prêt a sacrifier 80/100 d’Algériens . la preuve : les incendies de la Kabylie , ils ont rien fait pour sauver les gens atteint du covid , c’est voulu ; 1200 médecins qui le pays tant pour le petit peuple ;et pour eux la France ou la Suisse . Ils rackettent même les immigrés sur le prix du billet d’avion . et sans parler des harragas . L’ Algérie des gènéraux à beaux jour devant elle et l’Algérie du petit peuple est foutue . Azul .
je voulez dire 1200 médecins quitte le pays ,et tant pis pour le petit peuple . Et je rajoute ils voulaient entrainer les sans grades ;les enfants du peuple dans un conflit avec nos frères marocains . Azul
Qui peut leur faire entendre raison?
Petite anecdote: Un politicien anglais novice demande au premier ministre Disraëli de le conseiller afin qu’il puisse faire entendre son point de vue auprès de la reine d’Angleterre.
Disraëli lui demande:
— Avez-vous un cimetière quelque part pas loin de chez vous?
– Oui, il y en a un.
– Alors je vous conseille de vous y rendre et parler aux tombes pour vous entraîner.
Il faut d’abord faire entendre raison plustôt au peuple qui est figé, dans un silence total .Un peuple de revolutionnaire comme aiment a le brandire a chaques occasions ,les officiels d’alger civiles ou militaires .Les vrais revolutionnaires doivent se retourner milles fois dans leurs tombes , d’avoire libérer le pays et le servir sur un plateau d’argent a des charognards. Peuple de revolutionnaires ,allez y voire du coté du Soudan,pacifiquement ils bradent toutes les peurs ,les dangers de la terreurs ,pour deboulloner leurs junte pourris
la seule raison qu’ils connaissent c’est de se maintenir au pouvoir et de se remplir les poches puis mettre leur butin à l’étranger!
@ Kacem Madani
« Qui pour faire entendre raison au régime d’Alger »? Interrogez-vous. Il fut, jadis, en principe, entendu et accepté de tous, qu’en vertu du principe de « non ingérence dans les affaires intérieures des Etats souverains », consacré par la Charte des Nations-Unis, que seuls les peuples ont le droit et le devoir d’user de tous les moyens légitimes pour mettre fin à la tyrannie, sous toutes ses formes. Depuis, l‘introduction, par effraction, en fait, sinon en droit, du fumeux concept de « droit humanitaire » les choses sont plus confuses, puisque certains prétendent pouvoir s’affranchir de l’obligation de non ingérence dans les affaires d’autrui, au prétexte de « l’obligation morale » (sic) qu’ils auraient de voler au secours de peuples en danger. Nul n’est, évidemment, dupe des motivations réelles de ces prétendus défenseurs des droits de l’homme, venant de ceux-là mêmes qui n’hésitent pas à les fouler aux pieds, chez-eux ou partout ailleurs où leurs intérêts sont menacés.
La réponse à votre question est donc dictée à la fois par le Droit et L’Histoire : les droits fondamentaux et la liberté des peuples ne s’importent ni ne s’exportent. Les peuples seuls s’émancipent de ceux qui prétendent les soumettre, pour les mettre sous leur férule. Pour mettre un terme au Régime tyrannique qui le prive de ses droits et libertés fondamentaux, le Peuple algérien seul, peut donc, en comptant d’abord sur ses propres forces, puis, au besoin, sur la solidarité internationale, à la fois pour renforcer ses propres capacités de lutte et pour affaiblir la clique au pouvoir. Il est bien entendu que toute action de nature à affaiblir l’Algérie elle-même ne saurait être, en aucun cas, une façon d’affaiblir le système des képis qui nous gouvernent ! En d’autres termes, le pire serait d’appeler des pyromanes étrangers, dans l’espoir naïf d’éteindre le feu dans notre Maison Algérie avec des lance-flammes!
Cher Madani,
Allah en personne si il descendrez sur terre pour les raisonner et donner son avis, ils vont l’écouter sans l’entendre et vont juste après lui dire tais-toi, toi tu connais rien et vont décider sans avoir pris son avis.
Telle est la loi chez Caligula a Madani.
Bonos
Le peuple ? Tant qu’il fait courbette dans les mêmes lieux de culte derrière ceux la même qui le maltraitent …
Les raisons d’espérance ? Le nouveau procedes scientifique de l nucléaire qui fournit 10 fois plus d énergie que la technologie actuelle. Même après ça, la perspective restera noire sur le court terme
c’est ça « démocratia ou chaabia » min el chaab illal chaab! y a pas de riches ni de pauvres tout le monde kif kif, avec cerise sur le gâteau « la santé et l’éducation gratuites!!! que demande de plus le peuple!!??