Des artistes ont rendu hommage, jeudi à Alger, à Abdelmadjid Tebboune lors de la cérémonie de remise du Prix du Président de la République pour les jeunes créateurs Ali-Maâchi.
Lors de cet hommage, les grandes figures du cinéma et du théâtre Fatma Hlilou et Sid Ahmed Agoumi, ont remis, au nom de la famille des arts et de la culture, une toile du célèbre plasticien algérien Hamza Bounoua, une œuvre contemporaine explorant l’esthétique de la calligraphie arabe. Bon nombre d’autres artistes étaient là, comme le chanteur Takfarinas, Abdelmadjid Meskoud, le comédien Saïd Zanoune, l’écrivain Amine Zaoui…
Cette cérémonie s’est déroulée au Centre international des conférences (CIC) Abdellatif-Rahal, en présence de hauts responsables de l’Etat, de membres du gouvernement, et de nombreuses figures artistiques et culturelles. En effet, tout le ban et l’arrière-ban du pouvoir en place était convié pour ripailler avec les quelques artistes qui ont accepté, de bonne grâce pour beaucoup, l’invitation.
Pendant que les officiels et nos braves artistes faisaient bombance, des dizaines de jeunes, en quête d’un avenir autrement meilleur que celui que leur offre l’Algérie officielle, perdaient la vie en mer. A chacun son destin !
Cette sauterie où l’on voit donc plus les officiels que ces artistes en quête d’un retour sur investissements dit beaucoup de choses sur le niveau de la culture dans notre pays. On est désormais dans la compromission, la connivence totale. Terriblement triste quand on sait que des prisonniers d’opinion croupissent dans les cellules et que la scène culturelle n’a jamais été aussi médiocre.
Nous savons maintenant que ce ne sont pas ces commensaux qui sauveront ce qui reste de la culture. Nous sommes désormais fixés sur leurs limites à dire non aux arrangements.
Sofiane Ayache
Sid Ahmed porte et a toujours bien porté son nom !
toujous à lancer des anathrmes les séparatistes.
les donneurs de leçons oublient de regarder du coté de leur gourou-mercenaire qui n arette pas de faire les trottoirs de l axe rabat tel aviv comme le vulgaire pantin qu il est devenu.
Qui a des problemes avec Rabat ou Tel Aviv en dehors des illegitimes qui veulent bruler le pays pour leur propre survie ?
Haw haw haw!
Triste et lamentable.
Si Hhmed et Lla Fatma, artistes organiques ?
Pauvre de nous, les khobzistes sont toujours l’a en attendant le cadre. Un peut de degniter Mr. Agoumi. Comme son nom l’indique d’ailleur
Edenia ma3a el ouqaf! C’est le message de ces soi-disant artistes. La mangeoire avant tout. Le reste c’est du pipeau. Quant à ceux qui crèvent en mer et ceux qui croupissent dans les prisons, ils n’ont qu’à faire comme nous: à plat ventre toute. Estimons nous heureux que tous ces minables n’aient pas exigé un deuxième mandat de Tebboune. Mais, n’ayez crainte, ça viendra. Très bientôt sur cet écran.
Cela me renvoie à la pièce de Slimane BENAISSA « Babor Ghraq » joué notamment par Agoumi. Visiblement, il a sombré avec…
Retourner la veste , c’est la nouvelle tendance des soit disant artistes algériens . Ce qui me surprend et me chagrine en même temps c’est l’attitude de Takfarinas que je ne pensais pas aussi proche des artisans du malheur algérien !
La chita a fonctionné à plein apparement !