Récemment, un développement majeur a eu lieu dans les relations entre la France et l’Algérie, avec l’établissement de nouvelles liaisons. Cette initiative vise à revitaliser le secteur touristique du pays en encourageant les échanges. Cette expansion ouvre de nouvelles perspectives tant pour les voyageurs que pour les acteurs du domaine touristique. Bien que le tourisme en Algérie ait mis du temps à décoller, il semble que le gouvernement soit désormais résolu à dynamiser cette industrie. Se profile-t-il une période de croissance pour l’activité touristique en Algérie ?
Tourisme en Algérie : un développement en dents de scie
À première vue, l’Algérie regorge d’un patrimoine inestimable qui ne manquerait pas de séduire les voyageurs du monde entier. Avec un littoral s’étendant sur plus de 1600 kilomètres, la cité antique de Djamila, les majestueux Hauts Plateaux de Sétif, et bien d’autres merveilles, les exemples d’une beauté à couper le souffle ne manquent pas. Pourtant, malgré ces attraits indéniables, les touristes se font rares et ne se précipitent pas pour découvrir ces trésors.
La faiblesse des recettes touristiques en Algérie
En Algérie, les recettes générées par le tourisme demeurent extrêmement faibles. Une analyse approfondie révèle que le pays n’accueille pas plus de 3 000 touristes par an au cours des 20 dernières années. Ces chiffres incluent également les ressortissants algériens résidant à l’étranger qui retournent dans leur pays d’origine pour rendre visite à leur famille. Le nombre de touristes venant en Algérie par le biais des agences de voyages est très limité. Il est donc essentiel de provoquer un changement de mentalité et d’agir rapidement pour renverser cette situation.
Vers de profondes transformations
Au cours des derniers mois, une réelle dynamique s’est pourtant mise en place. Les autorités ne ménagent pas leurs efforts pour affirmer leur détermination à développer le secteur touristique, dans le but de diversifier une économie jusqu’alors dépendante des hydrocarbures.
Vers le renforcement du secteur touristique ?
L’Algérie s’efforce désormais de devenir une destination touristique incontournable. La diversité des programmes et l’organisation de voyages d’exploration à travers les différentes régions du pays devraient contribuer à renforcer le secteur touristique. Une attention particulière est accordée aux tarifs compétitifs proposés, à la disponibilité des structures d’hébergement et à la qualité des services offerts. De nombreux projets sont d’ailleurs en cours pour susciter l’envie chez les touristes de visiter le pays, notamment le développement de la station thermale de la commune d’El Hachimia.
ASL Airlines lance 3 nouvelles lignes vers l’Algérie ?
Dans le cadre de cette démarche, la compagnie française ASL Airlines a récemment annoncé l’ouverture de trois nouvelles lignes à partir du mois de juin, venant s’ajouter aux liaisons déjà assurées entre la France et l’Algérie. Les billets d’avion sont d’ailleurs déjà disponibles à la vente. Ces vols au départ de l’aéroport de Lille auront pour destinations Béjaïa, Sétif et Tlemcen. Cette expansion de l’offre devrait favoriser l’afflux de touristes vers l’Algérie. Pour ceux qui appréhendent le voyage en avion, il existe de nombreuses activités pour vous divertir en vol, telles que la lecture, le visionnage de films ou les jeux en ligne. Les amateurs de jeux de casino, tels que la roulette ou le blackjack, peuvent également choisir un casino en ligne fiable pour occuper leur trajet.
Corsica Linea ouvre deux nouvelles lignes à destination de l’Algérie depuis le port de Sète
Dans le même élan, Corsica Linea contribue également au renforcement du secteur touristique en Algérie. Cette compagnie maritime prévoit l’ouverture de deux nouvelles lignes touristiques reliant le port de Sète à Béjaia et Skikda. Ces croisières estivales devraient insuffler une nouvelle dynamique à l’économie algérienne.
Depuis de nombreuses années, le secteur touristique en Algérie fait face à d’importantes difficultés, suscitant des inquiétudes parmi les dirigeants. C’est pourquoi les autorités ont pris les choses en main pour inverser cette tendance. L’objectif est d’attirer les touristes vers les pays du Maghreb, notamment l’Algérie. Les initiatives d’ASL Airlines et de Corsica Linea, avec l’ouverture de nouvelles lignes desservant les stations balnéaires algériennes, vont dans cette direction. Assisterions-nous à l’aube de jours meilleurs pour l’économie algérienne ?
Vous parlez de tourisme ?
C’est surtout des Algériens qui rentrent pour les vacances la peur au ventre de ne pas pouvoir ressortir.
Quant aux Français ils vont en Espagne,au Maroc et ailleurs en Europe dans des pays qui sont aptes à les accueillir.
Partir en vacances en Algérie yakhi tmeniyik yakhi.
Le tourisme ? les algériens en parlent depuis des décénnies et oublient que c’est d’abord un métier ! dans un pays fermé où à 17 h ne survivent que les charwarma – couvre-feu oblige – il faut d’abord que l’Algérie comment à balayer et faire propre partout ! que le litoral pour lequel nous ne faisons que l’admirer, soit enfin « libéré » et dédié à une véritable vocation touristique, que des concessions soient accordées et que l’on se débarrasse une bonne fois pour toute des « plagistes et autres loueurs de parasols ». Quant au désert : il faut savoir raison garder et ne pas développer un tourisme de masse afin de ne pas massacrer cet éco-système unique au monde. L’Algérie était belle partout et l’on venait du monde entier rien que pour visiter la Casbah et la Rue Tanger aujourd’hui en ruine – c’est ma citadelle – Mieux vaut pour l’Etat algérien de parler d’autres choses que de tourisme ! ce n’est pas de sa compétence. Où sont les resturants, les bars, les casinos les belles vitrines d’autrefois ? nos voisins ont su s’adapter au monde moderne et proposer un tourisme qui aujourd’hui pèse sur la PNB, en levant d’abord tous les tabous. Imaginez une européenne se balader « seule » dans une rue d’Alger habillée en short et en décolté : ca risque de « chauffer » car nos mentalités ne sont pas ne sont plus adaptées à cela. Le Tourisme c’était mon métier autrefois et je sais de quoi je parle, de ce que j’ai vu et vécu et surtout aimé.