Les prix du pétrole continuent de flamber, tandis que ceux du gaz sont en chute libre. Le pétrole est impacté par les tensions en mer Rouge. Le gaz, de son côté, est victime d’une météo douce en Europe cet hiver.
Cependant, les baisses plus importantes du brut ont été freinées par les tensions géopolitiques persistantes au Moyen-Orient et en Russie, tandis que les approvisionnements en carburant aux États-Unis sont restés serrés, les raffineries locales étant restées fermées pour maintenance.
Les médias iraniens ont fait état d’une explosion et d’un incendie sur un gazoduc important dans le comté de Borujen, bien que la cause de l’explosion ne soit pas claire.
Le prolongement d’une politique monétaire dure laisse souvent présager d’un effet négatif sur la demande, de pétrole notamment.
Les données publiées par l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) montrent que les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis s’élevaient à 439,5 millions de barils lors de la semaine du 5 février signalant unehausse de 12 millions de barils par rapport au niveau de la semaine précédente.
Les stocks de produits distillés -incluant le fioul domestique- ont reculé de 1,9 million de barils, tandis que les stocks d’essence ont reculé de 3,7 millions de barils, toujours par rapport à la semaine précédente, poursuit l’agence.
Avec agences