Ali Aoun, ministre de l’industrie Ali Aoun, a le propos facile. Cependant, sa dernière déclaration sur l’importation de voitures a été très critiquée par la majorité des Algériens.
« La voiture est une nécessité, pas une priorité… Si quelqu’un veut acheter une voiture, il n’a qu’à l’importer lui-même ! », a tonné Ali Aoun. Donc ceux qui se plaignent du prix élevé des véhicules sur le marché national n’ont qu’à importer, selon le ministre, qui reconnait ici en filigrane l’incapacité de ses services à assurer la stabilisation du marché.
Il y a quelque chose comme « tag aal man tag » dans cette déclaration du ministre Aoun. Une forme de défi aux Algériens qui recherchent à acquérir une voiture accessible.
Tout le monde sait qu’en dépit des déclarations rassurantes du chef de l’Etat et de ses ministres, le prix des voitures sur les marchés demeure exorbitant. Aujourd’hui c’est un luxe d’avoir une voiture pour les bourses moyennes en Algérie.
Et cette sortie du ministre qui constitue un aveu d’échec n’est pas pour rassurer le marché.
Sofiane Ayache
C’est typiquement le problème de cet ETAT de merde
De quoi il se mêle ce petit con
Sait il que le commerce ce n’est pas ses prérogatives
En tant que ministre de l industrie il doit se la fermer.
Un ministre de l’industrie doit avant tout avoir un esprit d industriel pas de vendeur de Zlabia
A propos de voitures Le Maroc exporté des voitures FIAT
A BON ENTENDEUR…….
Ce n’est pas ce type qui est le probleme. Le probleme est les gens qui melange Etat « Un capital Public » c.a.d. une reconnaissance de tous harkis inclus, et cette clique mafieuse qui usurpe la fonction de gouvernance attendue par ceux-la qui ont besoin de gaz et de petrole et pour certains meme de main-d’oeuvre a bas prix. Mais ca ne semble pas deranger les algeriens, bien au contraire… quel alibi pour aller quemander un minable job ou un bout de papier quelconque. Putain, il y a de quoi se travestir pas seulement quemander une autre nationalite’ n’importe laquelle.
On n’est pas à une contradiction prés avec ces bricoleurs imbus de l’autorité que leur confère leur fonction.Mais dure sera la chute de ces apprentis potentats à commencer par leur chef.Ya saadek ya faal lkhir…comme dit l’adage.