Qui sommes-nous ?

Vous êtes les bienvenus.es dans Le Matin d’Algérie, le site de l’information indépendante et du débat constructif et libre.

Le Matin d’Algérie ambitionne de poursuivre la voie tracée par le quotidien algérien Le Matin, arbitrairement suspendu par les autorités algériennes depuis juillet 2004. Cette ambition exige de notre équipe une vocation de journal d’information moderne mais impliqué dans les combats de son temps.

Le Matin d’Algérie a l’ambition de contribuer à la promotion de la liberté d’expression et de la diversité des opinions, par un usage ouvert des réseaux électroniques. Notre site se fixe la finalité de développer et de maintenir une communauté en ligne ouverte sur l’actualité nationale et internationale en donnant notamment à chacun de ses visiteurs l’occasion de s’exprimer sous condition de respecter les présentes Conditions générales d’utilisation (CGU), étant précisé que Le Matin d’Algérie se réserve le droit, le cas échéant, de les mettre à jour et de les modifier. Toute participation à la vie de notre Site postule l’acceptation des présentes CGU.

Le Matin d’Algérie a également l’ambition de concilier esprit de liberté et de responsabilité.

Nos lecteurs s’interdiront de transmettre des Contributions et/ou Commentaires à contenus racistes, islamophobes, antisémites, injurieux, abusifs, constitutifs de harcèlement, diffamatoires et, de manière générale, Vous vous engagez à respecter l’ordre public et le droit des tiers.

C’est dans ces conditions que vous pouvez contribuer à instaurer un débat fécond.

Fondateurs : Mohamed Benchicou et Hamid Arab

Directeur de la publication : Hamid Arab

Chroniqueurs : Kacem Madani, Sofiane Ayache, Kamel Bencheikh, Saïd Oukaci, Boumediene Sid Lakhdar, Brahim Saci et Bouzid Amirouche. 

Hébergeur : www.lws.fr

NOTRE CREDO

Notre credo nous dicte de rester fidèles à l’esprit du Matin, de ce qui a fait la force de ce prestigieux journal, c’est-à-dire une information dépouillée de toute manipulation, une autonomie dans le choix des thèmes et des idées, un attachement constant aux idéaux professionnels, une audace sans relâche dans la dénonciation des arbitraires, de la corruption, de la gouvernance mafieuse…

Bref, être à la fois de son temps et fidèle à la définition que donnait Albert Londres du devoir du journaliste : « Porter la plume dans la plaie » ! Nous savons pertinemment que les plaies ne manquent pas sur le corps de la malheureuse Algérie, mais comme le fit Le Matin, nous fouillerons sans répit, les territoires du mensonge, avec l’ivresse indomptable du jeteur de pavé.

Nous restons animés d’un souverain mépris pour ce pédantisme à la mode qui se résume au «journalisme professionnel», cette façon précieuse et lâche de survoler le malheur des hommes sans jamais s’y arrêter. Jamais un journalisme qui se retranche dans la neutralité pour ne pas être solidaire de la souffrance des hommes ne nous a appris quoi que ce soit.

Ecrire et informer au rythme des salves de colère d’un peuple déchiré n’offrait pas d’autre destin que de tomber, un jour ou l’autre, au champ de bataille d’une guerre sans nom.