19.9 C
Alger
jeudi 18 septembre 2025
AccueilMise en avantAbdelkrim Zeghilèche condamné à 6 mois de prison ferme

Abdelkrim Zeghilèche condamné à 6 mois de prison ferme

Date :

Dans la même catégorie

Le FFS veut renouer avec ses fondamentaux : à la recherche du temps perdu 

Après une parenthèse de compromis avec le pouvoir, le...

L’APS fustige la répression au Maroc : qui croira que «l’herbe est plus verte» en Algérie ?

L’Agence officielle algérienne (APS) s'est encore une fois illustrée...

Boualem Sansal au cœur d’une polémique autour du Prix Sakharov 2025

Le nom de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, détenu en...

Un gouvernement Tebboune aux allures de bric-à-brac ministériel

Le chef de l'Etat, Abdelmadjid Tebboune, a confirmé, le...
spot_imgspot_img
- Advertisement -

Zeghilèche

Après la condamnation mercredi du journaliste et patron de Maghreb Emergent, Ihsane El Kadi, à six mois de prison ferme, un autre journaliste est lui aussi condamné aujourd’hui jeudi à Constantine, il s’agit de Abdelkrim Zeghilèche.

Responsable de la webradio, Sarbacane, interdite par les autorités, Abdelkrim Zeghilèche journaliste-activiste a été condamné à un an de prison ferme sans dépôt assorti d’une amende de 50 000 dinars.

Le harcèlement judiciaire des citoyens se poursuit impitoyablement. La police appuyée par la justice ne desserre pas l’étau sur la société prise dans une machine répressive particulièrement diabolique.

Le Hirak/Tanekra laminé pour l’heure, plus aucune expression libre n’est tolérée. La presse muselée, les médias sous placés sous surveillance, il n’y a plus d’espace à la parole libre ni à une opposition au régime en place.

Près de 300 détenus d’opinion croupissent dans les prisons. Des centaines d’autres sont sous le coup de poursuites judiciaires. L’Algérien a perdu tout espoir de changement avec l’équipe au pouvoir. L’inflation, le chômage, la crise économique et l’arbitraire ont fini de convaincre les plus patriotes à ne voir d’avenir que dans l’exil ou le renoncement à toute expression libre pour espérer vivre sereinement.

Le constat est connu. Il est implacable pour l’Algérie qui va célébrer ses 60 ans d’indépendance dans 15 jours avec des prisons remplies d’Algériennes et d’Algériens et une situation sociale et économique désastreuse.

L. M.

 

Dans la même catégorie

Le FFS veut renouer avec ses fondamentaux : à la recherche du temps perdu 

Après une parenthèse de compromis avec le pouvoir, le...

L’APS fustige la répression au Maroc : qui croira que «l’herbe est plus verte» en Algérie ?

L’Agence officielle algérienne (APS) s'est encore une fois illustrée...

Boualem Sansal au cœur d’une polémique autour du Prix Sakharov 2025

Le nom de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, détenu en...

Un gouvernement Tebboune aux allures de bric-à-brac ministériel

Le chef de l'Etat, Abdelmadjid Tebboune, a confirmé, le...

Dernières actualités

spot_img

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici