Le regain de tension entre Alger et Paris s’étend aux relations économiques, qui avaient été relativement épargnées jusqu’à présent, avec l’annulation de plusieurs visites importantes de chefs d’entreprises de part et d’autre de la Méditerranée.
Le PDG du groupe français CMA-CGM devait se rendre à Alger ce mardi 16 avril pour annoncer des investissements dans les infrastructures portuaires algériennes, en particulier à Oran.
Rodolphe Saadé, un proche du président de la République, Emmanuel Macron, a dû renoncer à cette visite après la décision d’Alger annoncée dimanche d’expulser douze agents consulaires français, suite à l’arrestation de l’un des siens sur le sol français.
C’est désormais le patronat algérien qui annule une visite qui était programmée le 7 mai à Paris pour rencontrer les entreprises françaises. Cette rencontre du Conseil du Renouveau Économique Algérien avec le Medef était en préparation depuis le début de l’année, avec les dirigeants des deux organisations patronales à la manœuvre, avant même la brève amélioration des relations diplomatiques le mois dernier. Elle devait être suivie par une visite du Medef à Alger.
Le pari était, selon le responsable de la Chambre de commerce algéro-française, de « laisser les relations économiques poursuivre leur chemin malgré les tensions diplomatiques ». Des tensions qui n’ont pas, selon lui, occasionné de diminution notable des échanges bilatéraux, à part dans le domaine agricole. « Désormais, l’économique s’aligne sur le politique, déplore-t-il, et c’est embêtant ».
Rfi
L’Algérie touche de la France une aide au développement de 130 millions d’euros par an. Sans que les Algériens n’en voient la couleur. Cette aide est confisquée par la nomenklatura d’Alger.
Ah bon ? C’est Zemmour ou Sarrah Knafo qui vous a dit ça ? Avant d’ânonner n’importe comment vous auriez dû vérifier si cette « aide au développement » est versée sur le compte de la « nomenklatura »ou aux aux » intervenants français ». Et quels genres d’intervenants il s’agit. Ceux qui savent , vous diront que cette « aide au développement » n’est qu’un moyen d’influence, et d’infiltration.
Quand ont prends le pseudo de Jules et venir défendre la junte ça sent quand même un peu le cramoisi.
Ta houkouma en France en arrosant en centaines de milliers d’euros les influhmars,ce n’est aucunement de l’infiltration et de l’influence.
Comme disent nos amis les Africains, avant de monter sur le cocotier,il faut s’assurer que les fesses soient propres.
Moralité de l’histoire, pratiquement aucune, à part que les tubes digestifs ambulants ne regarde pas plus loin que le plat de loubia.
Pas besoin de CMA de Rodolphe Saadé pour donner un coup de booste au développement. Le plus grand ministre Algérien Kamel Rezig va tout faire. Il va développer le commerce du Frac et des usines de pattes de poulet avec lesquelles il va inondé l’Asie.
Bravo.
Les 130 Million d’aide au développement finit dans les poches de ladite patrona algérien, ces subventions doit être supprimé comme une mesure contre ce régime corrompu !
Quel gachis ! Qui voudrait investir dans un pays dirigé par des irresponsables, des gens imprévisibles ? Qui doute encore que les pires ennemis de la nation, ce sont les généraux. Depuis 1962, l’armée algérienne s’acharne à détruire l’économie algérienne. Depuis 1962, l’armée algérienne s’acharne à nous maintenir dans le sous développement. L’armée algérienne est une malédiction pour les algériens, une véritable malédiction. Nous avions tout : des ressources naturelles, un pays déjà construit, des atouts touristiques inouïs, un peuple d’ingénieurs, d’artisans, de travailleurs, de créatifs. Ils ont tout détruit, tout mis par terre. Les généraux ont besoin que l’économie algérienne reste une économie de pénurie, une économie sous développée. Il s’agit pour eux de tuer toute forme d’intelligence en Algérie afin de garder le contrôle sur la population et sur le pays.
On vient de perdre des milliards de dollars ? Les généraux s’en foutent. Ils se réserveront toujours l’essentiel des revenus du pays. Je le redis : les seuls ennemis de la Nation, ce sont les généraux algériens.