9.9 C
Alger
Accueil360°Après France 24, Amar Belhimer s'en prend à Al Arabiya

Après France 24, Amar Belhimer s’en prend à Al Arabiya

Date :

Dans la même catégorie

Le journaliste Saad Bouakba placé sous mandat de dépôt

Le juge du tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger)...

Cherif Mellal arrête sa grève de la faim

Après le détenu d'opinion Mohamed Tadjadit, c'est l'autre prisonnier...

Tunisie : Sonia Dahmani sort de prison, pas de la tourmente judiciaire

Libérée conditionnellement, l’avocate Sonia Dahmani reste sous la menace...

Interpellation puis remise en liberté du journaliste Saad Bouakba 

Le journaliste Saad Bouakba, figure emblématique de la presse...

Le journaliste Saad Bouakba interpelé

Le journaliste et écrivain Saad Bouakba a été interpellé...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
MEDIAS

Après France 24, Amar Belhimer s’en prend à Al Arabiya

En chevalier blanc, Ammar Belhimer multiplie les attaques contre la presse. Après France 24 auquelle il a retiré son accréditation, c’est la chaîne Al Arabiya qui vient d’essuyer les foudres du tout-puissant ministre de la Communication.

Le ministère de la Communication a décidé samedi de retirer l’accréditation octroyée à la représentation à Alger de la chaîne de télévision d’information arabe « El Arabia », indique un communiqué du ministère. Ce retrait est motivé par « le non respect par cette chaîne des règles de la déontologie professionnelle et son recours à la désinformation et à la manipulation », précise la même source. 

Al Arabiya est une chaîne saoudienne créée en 203 par Bandar ben Sultan ben Abdelaziz Al Saoud, ancien ambassadeur du Royaume saoudien aux Etats-Unis.

C’est que le ministre Belhimer ne souffre aucune critique. Avant d’en arriver à couper l’antenne aux chaînes de télévision, Ammar Belhimer s’était employé dès avril 2020 à bloquer l’accès à tous les sites d’information libres et critiques du pouvoir comme au demeurant le Matin d’Algérie.

Incapable de solutions à la crise sanitaire, politique et économique qui paralyse le pays, le régime verse dans l’autoritarisme et la censure. Les journaux sont sommés de ne pas parler de la faillite de l’Etat dans la gestion de la crise sanitaire, ni du bilan des victimes. Les activistes sont mis aux fers. 194 détenus d’opinion croupissent toujours dans les prisons. 

La situation économique est catastrophique. Les autorités gardent le silence sur les dizaines de milliers d’emploi dus à la crise. Ni le nombre de société en faillite.  

Auteur
Sofiane Ayache

 




Dans la même catégorie

Le journaliste Saad Bouakba placé sous mandat de dépôt

Le juge du tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger)...

Cherif Mellal arrête sa grève de la faim

Après le détenu d'opinion Mohamed Tadjadit, c'est l'autre prisonnier...

Tunisie : Sonia Dahmani sort de prison, pas de la tourmente judiciaire

Libérée conditionnellement, l’avocate Sonia Dahmani reste sous la menace...

Interpellation puis remise en liberté du journaliste Saad Bouakba 

Le journaliste Saad Bouakba, figure emblématique de la presse...

Le journaliste Saad Bouakba interpelé

Le journaliste et écrivain Saad Bouakba a été interpellé...

Dernières actualités

spot_img

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici