Au salon Wine Paris & Vinexpo Paris qui se tient du 12 au 14 février à Paris, des professionnels de vins dénichent de nouvelles tendances. Ainsi, les jeunes consommateurs plébiscitent de plus en plus des vins sans alcool. Ce type de boissons gagne du terrain et s’exporte jusqu’en Afrique.
Alors que depuis une vingtaine d’années, la consommation de vins ne cesse de baisser, les boissons sans alcool gagnent du terrain. Témoins de modes de consommation qui changent, ils permettent notamment de gagner de nouveaux clients, estime Frédéric Chouquet-Stringer, fondateur de Zenothèque. Consultant et distributeur des vins désalcoolisés, ce spécialiste précise toutefois : « Légalement un vin sans alcool n’existe pas. Depuis décembre 2021, l’appellation vin désalcoolisé est réservée à un vin dont on a baissé le taux d’alcool en-dessous de 0,5%. On l’obtient soit par le processus basé sur la filtration, soit par l’échauffement. Aujourd’hui, ce marché représente 1% du marché du vin. Mais le développement est très dynamique. »
Si les consommateurs sont de plus en plus séduits par ce type de produits, c’est aussi à cause de leur qualité, abonde Marie-Pierre Lallez, vigneronne dans le bordelais. Propriétaire avec sa sœur Emmanuelle et son mari, Éric Lallez, des Vignobles Raguenot, elle avoue avoir pris du temps pour réfléchir avant de se lancer. Mais son esprit d’innovation a gagné. Sa gamme désalcoolisée baptisée « Tip Top » est finalement née en septembre 2023 : « Toute la richesse du vin est là et de façon naturelle. Il n’y a pas d’additif, ni d’édulcorant, ni d’arôme de synthèse, ni de tanins de synthèse. » Les retours sont plutôt positifs. Sourire espiègle de la vigneronne : « Je suis un brin révolutionnaire. »
De nouveaux marchés en Afrique
La cuvée désalcoolisée de cette productrice se vend déjà dans les pays du Golfe. Le Canada et la Suisse sont prôneurs. Elle a aussi des clients au Cameroun, en Côte d’Ivoire et au Nigeria. Samuel Bonzo, son distributeur à Abidjan, est conquis : « Nos frères musulmans sont aussi friands du bon vin. Sauf que le vin alcoolisé ne rentre pas dans le domaine du religieux. Donc, ils ont beaucoup sollicité des vins non alcoolisés. Nos clients sont des supermarchés, des boutiques, des caves, mais aussi des restaurants. »
Le marché du sans-alcool progresse, notamment auprès des jeunes. 44% des consommateurs de vins désalcoolisés ont entre 18 et 25 ans. La France, l’Allemagne, la Finlande et les Pays-Bas sont en tête de la demande. Mais aussi la Norvège et les États-Unis, gros consommateurs de vins à faible teneur d’alcool. De nouveaux concepts de bars sans alcool voient le jour en Europe et dans le monde de Liège à San Francisco en passant par Dublin. Selon Wine Paris & Vinexpo Paris le marché mondial des produits sans alcool a dépassé 11 milliards de dollars en 2022.
A la lecture de ce titre , une vielle blague m’est venu à l’esprit.
Trois péteurs se faisaient des aveux quant à leurs performances . Le premier dit : moi quand je pète ça fait du bruit mais ça ne sent pas. Le deuxième dit : moi c’est tout à fait le contraire, ça ne fait pas de bruit mais quu’est-ce que ça sent. Le troisième dit : moi , ça ne fait pas de bruit et ça ne sent rien. Les deux autres lui dirent véhément: alors pourquoi tu pètes?
C’est tout honteux et confus que je confesse devant vous qu’on m’a fait goûté à mon insu de ce vin me disait-on qui rivaliserait avec les grands Bordeaux . Il en avait le goût il en avait l’odeur ,la robe des grands crus. Qu’importe l’ivresse si on a le flacon disaient ces apostats de Bacchus croyant tromper ainsi mes papilles rêches qui ne réagissent qu’aux vrais picrates qui arrache le gosier.
Léo Ferré chantait ainsi : « un jour on vendra de la m… » et ce sera bien vendu ajoutais-je, sans l’offenser.
»Littérature obscène inventée à la nuit
Onanisme torché au papier de Hollande
Il y a partouze à l’hémistiche mes amis
Et que m’importe alors, Jean Genet, que tu bandes
La poétique libérée, c’est du bidon
Poète, prends ton vers et fous-lui une trempe
Mets-lui les fers aux pieds et la rime au balcon
Et ta muse sera sapée comme une vamp… »
Ainsi on boira de ce vin et on simulera l’ivresse, même si c’en est pas il en porte le nom, comme jadis on achetait les titres de noblesse.
Pour m’y tromper à fond on me présenta le verre de vin en me défiant de deviner l’origine du grand cru. Deviner l’origine du grand cru moua qui a les papilles de Boudu. J’étais donc là à faire la moue comme celui qui goûtait à hebète lefhama sans me laisser abuser comme lui jusqu’à la troisième bouchée. Mais c’est de la m… dis-je, en recrachant ce que j’ai failli avalé.
Ne dit-on pas : » la bite ne fait le moine » ?
A la rigueur on pourra tromper ma langue mais pas ma tête.
N’importe quoi ! Il faudrait donner un autre nom à cette boisson !
Comme le ridicule ne tue pas, effectivement avec la vague écolo / machin, pour gagner toujours autant de blé, ils « inventent » ! on connait le plaisir de boire du Mascara rosé, du mouflon d’or et d’autres vins Algériens, de France et d’ailleurs…Du vin sans alcool pourquoi faire ?
je me souviens comme si cela datait d hier.
j ai acheté deux boîtes (métalliques) de jus de raisin à tizi la chaleur aidant la fermentation à été initiée…….
l’operation n est ni réversible ne renversable
à défaut il vaut mieux opter pour un jus de raidin bio bien frais
je me souviens comme si cela datait d hier.
j ai acheté deux boîtes (métalliques) de jus de raisin à tizi la chaleur aidant la fermentation à été initiée…….
l’operation n est ni réversible ne renversable
à défaut il vaut mieux opter pour un jus de raisin bio bien frais