Drapeau blanc de fortune à la main, des dizaines de Palestiniens ont fui mardi le nord de la bande de Gaza où des combats acharnés opposent l’armée israélienne et le Hamas, pour se rendre dans le sud du territoire palestinien.
« C’était tellement effrayant », témoigne auprès de l’AFP Ola el-Ghul, une Palestinienne déplacée par cette guerre qui est entrée mardi dans son deuxième mois.
« Nous nous sommes tenus la main et nous avons continué de marcher », raconte-t-elle. « Nous étions tellement nombreux. Nous tenions des drapeaux blancs. C’est vrai que nous avions peur, mais finalement nous avons réussi à passer », a-t-elle ajouté.
🔴 #Israël #Gaza : #Tsahal a publié une image de l'opération terrestre élargie dans la bande de Gaza.
La ville de Gaza est actuellement assiégée pic.twitter.com/oLGqFVHVDC— philo stone (@stone_philo) November 4, 2023
L’armée israélienne a de nouveau appelé lundi, dans des tracts largués depuis des avions, les civils à quitter le nord de Gaza pour le sud.
Des vidéos de l’AFP montrent de nombreuses personnes, dont des enfants, marcher, avec souvent un petit sac pour seul bagage, vers le sud de la bande de Gaza. Certains font le voyage sur une charrette tirée par un âne. D’autres sont dans des fauteuils roulants.
Les bombardements israéliens ont provoqué le déplacement de 1,5 million de personnes dans la bande de Gaza, un territoire pauvre de 2,4 millions d’habitants, selon l’ONU. Dernièrement, entre 300.000 et 400.000 civils étaient encore présents dans le nord de Gaza, selon l’ONU.
« Nous sommes arrivés à pied dans le sud depuis le centre de Gaza. Je ne pensais pas que ce serait si long », explique Amira Al-Sakani, en serrant dans ses bras l’un de ses enfants en bas âge.
Elle raconte avoir vu sur le chemin « des corps de martyrs », un terme qui désigne les Palestiniens tués dans le contexte du conflit avec Israël, « certains en morceaux ».
Plus de 10.300 personnes, dont plus de 4.000 enfants, ont été tuées dans la bande de Gaza dans les bombardements incessants de l’armée israélienne.
Avec AFP
Photo bien choisie – Car elle suscite vraiment la question: Pourquoi fait-on des enfants? Et justement, elle y repond: Pour les esclavager avant de les livrer comme chair a canon – pour la gloire de mouhmouh, khadija et tous les autres…
Si un pays normal n’existe pas en Palestine, c’est parce que les bastos ne negotient pas le sort de leur enfants, mais celui d’une mosque’e construite sur le temple religieux des Israeliens. Et vous allez me dire « pourquoi les Israeliens ont « droit » a leur temple et pas les Palestiniens? – Reponse: Ils en ont les moyens, pas les Palestiniens. Votre image le demontre bien, non? Vous pouvez vous offrir une chaine de tels questionnements, et a chaque fois, vous vous heurterez a la question primaire: Qu’y a-t-il de si irresistible dans cette mosque’e? La seule des possibles reponses envisageables est celle du delire… ou la fuite de la realite’, communemment connue comme « fuite en avant! »
Mais je n’ecris pas ceci pour m’inquieter du sort des Palestiniens, nooooo Mais projeter sur la situations des khortiniens.
Et bien les Khortiniens, a qui il faut nier le prefix ben/ibn/bou -khortiniens, sont dans le meme scenario, qu’ils se jouent en Afrique, a plus grande echelle biensur. Comme terrain de massacre, ils se choisissent differents coins, allant de Tripoli, a Kidal, Mzab, Kabylie, Bechar ou la cote Polisario. Helas, la aussi la meme question revient: Pourquoi….? La reponse est la meme: Ces regimes font ce qu’ils font au nom du meme mouh… parce qu’ils peuvent… Et la chanson continue.