Un jeune de 20 ans a été interpellé après avoir tué un enseignant et blessé grièvement deux personnes dans un lycée du nord de la France ce vendredi. Une attaque qui intervient dans un contexte de crainte d’importation du conflit entre Israël et le Hamas en France, et près de trois ans jour pour jour après l’assassinat de Samuel Paty.
Un jeune homme armé d’un couteau a tué un professeur et fait deux blessés vendredi 13 octobre dans un lycée d’Arras, dans le nord de la France, a appris l’agence France-presse (AFP) auprès de la préfecture et de source policière. Selon des sources policières, il aurait crié « Allah Akar ».
Parmi les deux blessés figurent un agent de sécurité qui a été atteint de plusieurs coups de couteau, et un enseignant, a indiqué une deuxième source policière. Aucun lycéen n’a été blessé, selon une première source policière. Les lycéens et le personnel du lycée ont été confinés dans l’établissement.
🔴 DIRECT – Attaque au couteau dans un lycée à Arras ▶️ 🗣"L'auteur cherchait un professeur d'histoire", dit à franceinfo Martin Doussau, professeur de philosophie qui explique qu'il se trouvait dans la cour du lycée au moment des faits. pic.twitter.com/HXPuj0FNrY
— franceinfo (@franceinfo) October 13, 2023
Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montraient un jeune homme, pantalon noir et veste grise, se battre avec plusieurs adultes dans la cour de l’établissement, visiblement arme à la main, avant de se diriger vers la porte de l’établissement.
L’assaillant interpellé
L’auteur des faits a été interpellé par la police, a précisé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur X (anciennement Twitter).
L’assaillant du lycée, âgé de 20 ans, est d’origine tchétchène et fiché pour radicalisation, selon des sources policières. Son frère a également été interpellé à proximité d’un autre établissement scolaire, sans être en possession d’une arme, selon les premières informations, a ajouté une autre source policière.
Le parquet national antiterroriste (Pnat) a été saisi. Les investigations, aussi ouvertes pour tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste, ont été confiées à la sous-direction antiterroriste de la direction nationale de la police judiciaire (Sdat), service coordonnateur, à la direction nationale de la police judiciaire (DNPJ) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), précise le Pnat.
Avec AFP
Sur 6300 versets, 300 contiennent les mots # combattre# # tuer # et 5 contiennent des appels à tuer !
Comment voulez-vous que des zigotos musulmans, sociopathes, tels que celui-ci, n’utilisent pas la partie belliqueuse du Coran !
Comme par hasard vu le contexte actuel, il faut bien trouver un débile mental pour la tache qui le profit de l’emploi pour justifier une extermination d’un peuple.
Et bien sûr, certain regard le doigt pas la lune.