18.9 C
Alger
AccueilCulturesIdir : "Je ferai une sorte de tournée d’adieu en Algérie"

Idir : « Je ferai une sorte de tournée d’adieu en Algérie »

Date :

Dans la même catégorie

Les Prix littéraires en France sont-ils légitimes ?

L’histoire de la littérature n’a pas été un long...

Belaïd At Ali : awal ɣef tmussni ! (Tazmamt n°2, asebter 51)

Ussan-ayagi yaâddan, ad ilin tura qrib telt chur-ayagi, mi...

Marc Neya, la poésie comme veille intérieure

On rencontre Marc Neya d’abord par ses mots. Ils...

«Nuages gris, le dernier pèlerinage de Franz Liszt » de Philippe André 

Le musicologue Philippe André, également psychanalyste et psychiatre, consacre...

Henri Perrier-Gustin : « Voyager, c’est résister à la brutalité du monde »

Dans La Badiane et la Soie, Henri Perrier-Gustin ressuscite,...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
Chanson

Idir : « Je ferai une sorte de tournée d’adieu en Algérie »

Idir signera son retour artistique en Algérie en janvier prochain. L’artiste n’est plus à présenter. Sa tournée, très attendue par ses fans, sera un peu le retour de l’enfant prodige à la terre natale. Dans ce bref entretien réalisé au téléphone, il nous a expliqué les tenants et aboutissants de sa tournée en Algérie.

 Le Matin d’Algérie : Vous allez donc chanter en Algérie. Comment va avoir lieu votre retour ?

Idir : Oui, le premier concert devait être le 12 janvier 2018 à la Coupole, mais comme je suis tenu par des engagements pour des concerts programmés auparavant en Europe, ce sera un autre jour mais ce sera bien en janvier à Alger. Je chanterai ensuite à Tizi-Ouzou, Bgayet, Batna et Bouira. Ce sera une espèce de tournée d’adieu.

Je dois cependant préciser que ce sont les éditions Izem en partenariat avec l’Onda qui sont les producteurs de cette tournée. Je ne chante pas sous le patronage d’une quelconque autorité ou président de la république.

Qu’est-ce qui vous a fait décider de faire ce retour en Algérie après 38 ans d’absence ?

Beaucoup de choses. Il y a d’abord l’âge et la santé qui est encore là. Je me suis dit que c’est le moment ou jamais d’aller chanter en Algérie pour tous ces jeunes et ces générations que je n’ai pas eu la chance de rencontrer dans les différents concerts et qui ne m’ont jamais vu sur scène. Il y a une attente mutuelle.

A quand remonte votre dernier concert à Alger ?

C’était le 25 janvier 1979 à la salle Harcha à l’occasion de la fête nationale de la radio.

Grandes retrouvailles alors avec votre public ?

Oui. Autant ici en Europe je connais les attentes du public, en Algérie, il faudra voir, beaucoup de choses ont changé. Mais j’irai pour le public. Ces derniers temps, je me suis rendu compte en fait que ce public ne doit pas être l’otage de décision qui lui échappe. Donc je chanterai tout ce que j’ai l’habitude de chanter, même les chansons les plus dérangeantes.

Entretien réalisé par Hamid Arab

Auteur
Hamid Arab

 




Dans la même catégorie

Les Prix littéraires en France sont-ils légitimes ?

L’histoire de la littérature n’a pas été un long...

Belaïd At Ali : awal ɣef tmussni ! (Tazmamt n°2, asebter 51)

Ussan-ayagi yaâddan, ad ilin tura qrib telt chur-ayagi, mi...

Marc Neya, la poésie comme veille intérieure

On rencontre Marc Neya d’abord par ses mots. Ils...

«Nuages gris, le dernier pèlerinage de Franz Liszt » de Philippe André 

Le musicologue Philippe André, également psychanalyste et psychiatre, consacre...

Henri Perrier-Gustin : « Voyager, c’est résister à la brutalité du monde »

Dans La Badiane et la Soie, Henri Perrier-Gustin ressuscite,...

Dernières actualités

spot_img

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici