La revue spécialisée en culture et civilisation amazighes, « Journal of Amazigh Studies », a mis en ligne son premier numéro, il y a quelques jours seulement.
Dirigée et fondée par Fazia Aïtel, cette revue se veut didactique et scientifique mais aussi de vulgarisation. Elle regroupe les contributions de spécialistes.
Celles-ci sont lisibles gratuitement sur le site (https://scholarship.claremont.edu/jas/) et téléchargeables en PDF.
Dans ce premier numéro, on retrouvera des plumes connues. Comme Mohamed Amokrane Zoreli, Vermondo Brugnatelli, Arab Aknine, Boualem Rabia, Hend Sadi, Mestafa G’idir, Marielle Rispail… une belle moisson de contributions tout aussi richesses les unes les autres.
Exemples : Entre rêve et résignation – références intertextuelles dans Les chemins qui montent (1957) de Mouloud Feraoun par Inès Kremer
L’économie solidaire de Kabylie : une perspective critique par Mohamed-Amokrane Zoreli
Mehenna Mahfoufi, Chants et poèmes de la Kabylie dans la lutte de libération. Algérie 1954-1962par Marielle Rispail
Hearing Idir in Bouïra par Hugh Roberts
Mouloud Mammeri dans la Bataille d’Alger par Hend Sadi
Adieu au pays natal, Jean Amrouche par Boualem Rabia
Xalti Ḥǧila par Aknine Arab
Longue vie à cette nouvelle revue de vulgarisation scientifique de la culture et civilisation amazighe.
- Le lien vers la revue est ici
L. M.
Excellente nouvelle. Une bouffée d’oxygène dans le désert aride de l’Arizona algérien, le ministère de l’inculture et de la haine.
Ce qui serait bien pour votre journal, c’est de se démarquer une bonne fois pour toute de la « kabylité » toxique du MAK. je ne supporte plus ceux qui parlent de l’Islam à cause du FIS, de l’amour de l’Algérie à cause du FLN et maintenant de l’amazighité à cause du MAK.
Pourquoi la référence aux travaux relatifs à l’anthropologue madame Farida AÏT FERROUKH (maître de conférences à Sorbonne Paris-Cité) ont été supprimés ci-dessus ? Qu’il s’agisse de son compte rendu d’un film documentaire ou du compte rendu sur son livre : KATEB YACINE ET DEBZA AU COEUR DU PRINTEMPS BERBÈRE ?