21 novembre 2024
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Kamel Daoud ou l’authentique intellectuel

Kamel Daoud représente actuellement l’image parfaite de l’intellectuel authentique, non seulement en Algérie, mais aussi dans le monde. Et ce n’est pas un hasard s’il est sollicité de partout lui qui a ressuscité l’image de l’intellectuel à l’ancienne, universel, qui s’exprime sans l’ombre d’une autocensure ou de langue de bois.

Il n’évite jamais les sujets qui fâchent et sait qu’un vrai intellectuel doit souvent user de « l’électrochoc » pour essayer de réveiller et de maintenir les consciences éveillées.

Il n’est d’ailleurs pas anodin que ses détracteurs se recrutent surtout parmi les obscurantistes les plus endurcis et les conservateurs les moins ouverts sur le monde et la diversité.

En Algérie, ceux qui le critiquent, ou plutôt le lynchent, doivent au contraire prendre exemple sur lui, eux qui ont tourné le dos à l’âme de leur profession et trahi le serment de Tahar Djaout (et de ses pairs) tombé sous les balles assassines des intégristes islamistes car il a porté eux haut et fort l’étendard de la profession de journalisme et a refusé de céder sur le terrain des attributs de l’intellectuel digne de ce nom, qui ne recule devant rien pour défendre la justice, les droits de l’homme et toutes les causes justes, sans se soucier des risques encourus et des dangers que cet engagement fait courir sur sa propre personne.

Ils investissent sur la peur, Kamel Daoud est le courage.

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Lui, il défend les idées les plus lumineuses, là où eux éructent des idées rétrogrades en prenant instructions et directives directement d’un Orient qui sème ignorance et bigotisme stérilisant partout où il est implanté.

En Algérie, il est l’un des rares à avoir exprimé haut et fort son algérianité, devant toutes les injonctions faisant dire à des peuples qui ne le sont pas qu’ils sont arabes, alors que ceux qui sont censés l’être se disent saoudiens, égyptiens, qataris, syriens ou autres. Lui au moins, il ne s’est jamais renié.

J’ai eu moi-même un échange avec lui après avoir reçu de sa part un message de réprobation après mon commentaire sur l’une de ses publications. J’avais alors écrit qu’il est difficile pour quelqu’un de « mordre la main qui le nourrit ».

Il m’avait rétorqué qu’il vivait de la sueur de son front depuis son jeune âge, ce dont je ne doute pas, mon commentaire voulant seulement mettre la lumière sur la difficulté pour un écrivain de désavouer ou de critiquer son pays « éditeur », ici la France. C’est le cas de tous les autres : Amine Maalouf, Tahar Ben Jelloun, etc.

Il ne faut pas se tromper d’ennemi, Kamel Daoud est un ami même si on peut avoir des divergences, -ce qui est tout à fait naturel-, avec lui.

Lui au moins, il a la lucidité d’esprit de ne pas essayer d’implanter une autre culture à la place de la sienne comme le font les écrivains algériens arabophones publiés en Orient, qui non seulement n’osent jamais remettre en cause les méfaits et les dérapages de la royauté, mais importent des idées mortifères dont l’influence cloue au 14e siècle et souvent dans l’au-delà des peuples censés vivre au 21e et ont normalement pour légitime objectif de se projeter bien au-delà.

Kamel Daoud met en garde à travers ses écrits contre l’oubli des dangers mortels de l’obscurantisme toujours soutenu par des pouvoirs, des partis et des « personnalités », qui ont tout intérêt à ne pas voir briller la lumière sur leurs sociétés, car elle risquerait de les aveugler et de faire tomber leurs empires politiques et financiers basés sur le mensonge et la tromperie.

Kamel Daoud représente l’avenir prometteur, et eux le passé dépassé. Il est l’image de la liberté et eux du musèlement, il est la lumière et eux l’obscurité. Ils sont la dictature et lui la démocratie.

Il est le bonheur et la beauté que cherchent les « haragas », ils sont la tristesse et la laideur qu’ils fuient !

C’est pourquoi, il est plus que vital de soutenir le talentueux Kamel Daoud contre tous ces vents contraires, actionnés, ne soyons pas naïfs, par tous les tenants de l’autocratie, du musèlement de la presse, de la criminalisation de la libre-pensée, des pondeurs de lois liberticides enchaînant tout ce qui permet l’épanouissement de la personne humaine dans tous les espaces où elle évolue.

Ils ont le pouvoir, direct ou indirect ; il n’a que sa plume et son génie.

Soutenons-le, – lui et ses semblables-, pour que le soleil se lève enfin sur l’Algérie et sur tous les peuples aspirant à une vie meilleure partout dans ce monde meurtri par les agissements stérilisants de tous les égoïsmes aux étroits intérêts. 

Youcef Oubellil, écrivain 

19 Commentaires

  1. Iben moua qui ne suis guère intellectuel et qui n’ai jamais écrit je me sens écartelé entre les postures des bigots et celles des pourfendeurs de K.D. Je compatis même quand ses bigots m’affirment avec un déstabilisant aplomb que K.D est le plus grand savant dont l’Algérie a enfanté de tous les temps pour qu’il n’ y ait nul besoin de superlatifs pour en parler.

    je respecte totalement l’éloge de Mas Oubelil à K.D , mais j’ai lu des diatribes tout aussi admirables sur K.D.

    Désolé de l’écrire mais tous les intellectuels ne sont pas forcément humanistes et ils y en a même parmi eux qui sont de véritables crapules et non moins de grands intellectuels.

    Outre que je me demande s’il n’y a pas un distinguo entre intellectuel et écrivain.

    Mais il a une chose qui me turlupine c’est ce qu’intellectuel veut vraiment dire. J’ai lu que Faulkner était esclavagiste , Céline facho ,collabo, et Misanthrope ne sont-ils pas des intellos authentiques?

    Bien sûr je n’arrive pas à m’élever au niveau d’où trône désormais K.D pour pouvoir l’admirer et encore moins pour déclarer que j’ai été captivé par ce qu’il écrit. C’est sans doute parce que je suis trop prétentieux pour me laisser croire qu’il ne m’a jamais rien appris.

    Je ne sais pas pourquoi ses positions présentées comme courageuses ne m’ont jamais parues d’une inégalable témérité. Comme si Sansal , Mimouni, Doudjebra, Mekbel, Djaout, Y.K et d’autres n’ont jamais rien écrit ni touché aux sujets que K.D repasse aujourd’hui.

    Donc, au risque d’être irrévérencieux, je le dis sans aucune animosité, j’ai déjà lu K.D par simple curiosité, et je déclare que je n’ai pas été captivé.

    • Ihi Neck parait-il que je suis intello, sauf que je n’ai rien a dire a personne. Surtout depuis que j’ai decouvert les vertus de l’insulte !!! A chaque fois que Trump essaye d’etre normal, ses stats tombent !!!
      Alors je me suis trouve’ le souffre-douleur ideal -> Le regime AlkhaRien !!! Ils ont cause’ tellement de mal, a des gens vulnerables qu’ils meritent absolument toute haine, insulte et douleur possible – et c’est etre Humain avec eux !!!
      Les gens qui se remettent a la violence sont des gens qui avouent leur incapacite’ !!! celle de ces wled lahram decoule de leur INCOMPETANCE elle-meme de leur culture… ou plutot absence d’une. C’est comme les tricheurs dans une classe… ils ont besoin de la pagaille pour exister !!! Helas ca coute trop et trop de monde !!!

  2. Enfin un article d’un média algérien qui ne traîte pas KD comme un harki mais comme un intellectuel libre. Dans tout ce que j’ai lu ailleurs,qui à défaut de publier une critique sur son dernier roman nous balance tout de go qu’il a acquis la nationalité française et alors qu’est-ce que cela peut vous foutre. Des aricles qui respirent la jalousie… el boghd wal el hosd…
    ce qui est paradoxal, la plus part de ces personnes avouent dans leurs écrits sur KD qu’elles n’ont jamais lu un livre de celui-ci…

  3. Dans cet article, Youcef Oubellil rend un hommage appuyé à Kamel Daoud, écrivain et journaliste algérien, qu’il considère comme un modèle d’intellectuel authentique, courageux, et résolument engagé pour la liberté de pensée et la justice sociale. Pour Oubellil, Daoud incarne un intellectuel universel qui refuse l’autocensure et le conformisme. Contrairement à ceux qui se plient aux exigences des régimes autocratiques ou des idéologies conservatrices, Daoud n’hésite pas à aborder les sujets sensibles et à provoquer des réactions pour maintenir la conscience collective en éveil.

    Oubellil souligne que les critiques les plus virulentes contre Daoud proviennent souvent de milieux obscurantistes ou conservateurs, peu enclins à tolérer la remise en question de leurs valeurs rigides et figées. Selon lui, ces détracteurs algériens, influencés par des courants rétrogrades, ont trahi la vocation de leur profession, oubliant l’héritage de figures telles que Tahar Djaout, journaliste assassiné pour ses convictions. En contraste, Daoud est présenté comme un exemple de courage et d’intégrité, s’opposant à une pensée qui cherche à ramener l’Algérie à une époque révolue.

    L’auteur dénonce également la complaisance de certains écrivains algériens arabophones qui, selon lui, se laissent influencer par des idées archaïques venues de l’Orient, des idées qui contribuent à ancrer la société dans un passé médiéval au lieu de la projeter dans un avenir moderne. Pour Oubellil, Daoud, avec ses écrits, alerte sur les dangers de l’obscurantisme et du contrôle exercé par des pouvoirs qui tirent profit de l’ignorance et de l’oppression. Il est, pour Oubellil, l’incarnation de la lumière, de la démocratie, et de la liberté, là où ses opposants représentent l’obscurité et la répression.

    Ce texte se termine sur un appel à soutenir Kamel Daoud et ses semblables, considérant leur lutte comme essentielle pour l’avenir de l’Algérie et de toute société aspirant à la liberté et au progrès. Pour Oubellil, la plume de Daoud et son engagement sont des outils indispensables face aux pouvoirs répressifs, et il exhorte les lecteurs à s’allier aux voix qui défendent la pensée libre et le développement humain face aux forces de l’obscurantisme et de l’égoïsme.

    • Vous autriez pu attacher votre texte au sien avec une un pont genre , c.a.d., ou Wa ma ba3d. Ce qu’il lui le zauteur est que Daoud ne s’auto-censure pas, etc. Ca c’est un plat-khorti qu’il faut servir a quelqu’un d’autre. Mais biensur qu’il s’auto-censure !!! En choisissant les sujet et les tons et la profondeur de pousse’e, voyons !!! Faut pas nous prendre pour des CONs tout de meme !!! Pour quelqu’un qui couvert(sens rapporteur de presse) tous les massacres, il n’est jamais tombe’ sur un ou les cadavres avaient des blessures par armes a feu et armes blanches? Qui suggere une question: Laquelle a ete’ utilise’e en 1er? Mais biensur que c’est l’arme a feu… l’autre(blanche) c’est pour de la couverture. Combien d’egorge’s a cote’ des casernes? Certes c’est brave de sa part de rendre justice a cette classe speciale de victimes qu’ont ete’, sont et continuent d’etre les filles et les femmes, mais franchement on peut quand meme opiner sur son choix de sujets quand-meme. Se poncher sur Mursault et oublier Rabette Edzair, est un choix hummmmm. Il veut le rapport a l’autre? L’indifference de ces generalettes est tout un plat servi tout de meme. Benchicou est tout un autre etage tout de meme. Et il en a paye’ le prix !!! Cela dit, il a choisi la voie facile et rentable et je ne pense pas qu’il soit criticable sur ca, au contraire. Vivement que tous les Algeriens fassent pareil. Ils essayent tout de meme !!! Ils se cassent n’importe ou et n’importe comment, a la 1ere occasion. Le probleme est qu’ils emmenent leurs blessures et frustrations avec eux, et finissent par devenir des contaminants.

  4. Oubellil utilise un langage passionné et engagé pour exprimer son admiration envers Kamel Daoud et sa lutte pour la liberté de pensée en Algérie. Son style se distingue par une prose riche, poétique et enflammée, souvent employée pour exalter les idéaux de courage intellectuel et dénoncer les ennemis de la liberté.

    1. Vocabulaire et Diction

    Oubellil utilise un vocabulaire soutenu, empruntant des termes forts et métaphoriques, tels que “lumière,” “obscurité,” “électrochoc,” et “musèlement,” pour opposer la liberté intellectuelle incarnée par Daoud aux forces de l’obscurantisme. Ce choix de mots crée un contraste frappant entre la lumière (Daoud) et les ténèbres (ses détracteurs), appuyant l’idée de dualité entre modernité et archaïsme.

    2. Figures de Style

    L’auteur emploie plusieurs figures de style pour renforcer son propos. Par exemple :

    • Métaphores et Comparaisons : La comparaison entre Kamel Daoud et un “soleil qui se lève” est symbolique de l’espoir et de l’avenir, tandis que ses opposants sont assimilés aux “ténèbres” et à la “dictature.”
    • Antithèses : Les oppositions répétées, comme “lumière” vs. “obscurité” et “liberté” vs. “musèlement,” accentuent la confrontation entre Daoud et ses critiques, soulignant la dualité de la lutte entre éclaircissement et ignorance.
    • Anaphores : L’utilisation de la répétition avec “Lui, il…” ou “Ils sont…” donne un rythme cadencé au texte, renforçant l’intensité émotionnelle et l’insistance du discours.

    3. Syntaxe et Construction des Phrases

    Oubellil privilégie des phrases longues et complexes, pleines de subordonnées et d’appositions, qui donnent un souffle épique à son texte. Cette construction syntaxique crée une accumulation d’idées, qui intensifie la profondeur de son engagement et la force de ses convictions. En intercalant des phrases plus courtes et percutantes, comme “Ils investissent sur la peur, Kamel Daoud est le courage,” il établit des points de rupture qui frappent le lecteur par leur clarté.

    4. Ton et Intention

    Le ton de l’article est résolument admiratif et militant. Oubellil se positionne en défenseur de Kamel Daoud et de la liberté intellectuelle. Son ton, presque prophétique, est celui d’un appel au soutien et à la résistance contre les forces qu’il considère comme oppressives et rétrogrades. En insistant sur le contraste entre Daoud, symbole de progrès, et ses opposants, symboles de régression, Oubellil place l’écrivain au rang de figure quasi héroïque.

    5. Effet sur le Lecteur

    Le style de l’auteur, marqué par son éloquence et son lyrisme, est destiné à susciter une réaction émotionnelle chez le lecteur. Les images puissantes et l’opposition manichéenne visent à inspirer l’admiration pour Daoud et le rejet de ses opposants. En valorisant la figure de l’intellectuel libre, Oubellil cherche à mobiliser le lecteur autour des idéaux de liberté et de progrès social.

    En somme, le style de Youcef Oubellil dans cet article est une arme rhétorique destinée à défendre Kamel Daoud et à condamner vigoureusement l’obscurantisme. Par une écriture intense et imagée, Oubellil crée une prose persuasive qui résonne comme un manifeste pour la liberté de pensée et l’intégrité intellectuelle.

  5. Il arrive a vendre du papier avec la langue francaise en ecrivant ce qu’il pense !!! La langue Francaise lui donne cette possibilite’ l’Arabe non ! C’est si elementaire. Fier de lui de l’enttendre remettre une idiote qui dit quelque chose dans le sens que c’est un Arabe qui prefere le Francais bla bla … Il l’a corrige’e VITE avec un je ne suis pas un Arabe ! Juste un Ecrivain, Algerien et Francais. Il est bien dans ses bottes et qu’il y reste. Tant mieux pour lui. Besoin maladif de situer quelqu’un ETHNIQUEMENT, c.a.d. race et religion… sinon ils sont perdus !!! Ca fait VOMIR !!!!
    Il faut le critiquer un peu, comme les Camemberts vont le defendre, j’espere avec des EUROS !!!

  6. Les euros font plus de bruits que la conscience et je n’accorderais pas à ce vendu plus qu’il ne mérite comme temps. Fermer les yeux sur un génocide et écrire un livre sur le 7 octobre… ça resume la « petite » personne qu’il est.

    • Et parler du génocide des autres et la fermer sur le génocide physique et culturel qui se pratique dans son propre pays, c’est tellement petit que même un microscope ne montre rien; c’est le vacuum, le vide absolu. Vous ne cessez de parler de Palestine mais jamais du sort des Touareg au Mali et en Algérie, de la répression dans le Mzab et en Kabylie. Et vous la jouez Zorro ! Ahya les tordus de chez Tordu !!

    • Ahhh bon !!!
      Je ne sais ou vous etiez un certain 20 Avril 1980, au petit jour. C’etait comme ca !!! Pour vous dire, que ceux du 20 Avril et du 7 Octobre – ont fait la meme ecole. La difference est les 1ers se sont empare’s, vole’ un Etat pour les proteger, et les autres attendent toujours la Kaliphat avec le Qods comme centre d’agenouillage. Ca ne se passera JAMAIS, et les Musulmans Lambda l’ont finalement compris.
      Toutes les jamahiriates qui se sont declare’es ennemies d’Israel sont tombe’es, il ne reste plus qu’une: AlKhariatou. C’est normal a force de boire du petrole, ca constipe, mais pas pour toujours. C’est pour bientot ! Et le mouches electroniques ont compris ca deja. Elles sont toutes pretes ! Ce sort-la sera confirme’ dans quelques jours. Une semaine.

    • Ou est le problemo ? De problemes en Algerie que K.D> ??? Il a une femme et des enfants a abriter, habiller, eduquer, loger et nourir. S’il arrive a se demerder en louant ses doigts sans tous le reste des bras, alors tant mieux pour lui. Vous vous trompez de cible !

      • Il y a 1000 et une façons de gagner sa vie sans se prostituer ou insulter mon Pays (Algérie), mon peuple (Les Algériens), mes Heroes (la révolution Algérienne) , ma religion (l’Islam), ma nationalité (Algérienne) , ce que je suis (Algérien et c’est tout…pas « aussi Français » …cela contredit « être du cotée de la révolution Algérienne »….
        Les idées propagées par KD sont une cible…mais pas la seule. Si on les cite toutes, cela prendra des livres.

        • Tu as oublie’ ton Toztoz, alors comme on dit ici « No woories » je m’en occupe. Je suppose qu’il doit y avoir un psy la ou vous etes, allez consulter un et dites-lui « je delire, je vois des choses que personne d’autre ne voit ! »
          Ca se soigne.

  7. Vu de France Kamel Daoud fait partie de ces quelques pseudo-écrivains que l’on décrit de « toi t’es pas comme les autres » à l’image de Sansal et Ben Jelloun qui peuvent être utile auprès de certains littéraires français autoproclamés…
    Daoud est un ancien islamiste condamné par le tribunal d’Oran pour violences conjugales mais malgré son profil scabreux certains médias et éditorialistes français lui ont offert une tribune pour sa haine envers l’islam,ce résidus est en lice pour le prix Goncourt…

    • Ahhh comme la france est unjuste. Elle offre ses plateaux a ceux qui savent la faire et oublie ceux qui lui cirent les bottes. Pourtant c’est facile, il suffit de se tenir debout et dire … Ce qu’il a fait et continu de faire. Il s’exprime, il pense et existe. Pas vous. Quand a ce qu’il dit, il en sera condamne’ un jour, mais pas aujourd’hui. Son tour viendra apres au moins la moitie’ des bipedes de ce monde, c.a.d. 4 milliards de laches, dingues et paume’s. Contactez-le, je suis pret a parier qu’il vous introduira a ses editeurs et eux s’occupent du reste. La 1ere chose qu’ils vous demanderont est UN MANUSCRIT. Meme « La Redaction » de LMDA vous pretera ses colonnes. Quand a lui reprocher d’etre « islamiste » – c’est quoi exactement « un islamiste » qui serait un PECHE’/CRIME ? Voila un sujet que je vous recommende… « Comment l’Islamisme devient un Crime. » – Zut, comme ce n’est pas un PHENOMENE NATUREL (Ce que B. Sansal) essaye tant bien que mal de dire au monde, voila tout un champs a explorer… de quoi est l’islamisme, a quoi ressemble-t-il, qui le fabrique et pourquoi? Merde, vous voila avec 6 chapitres !!! Vous vouez plus? Qui, comment, ou et pourquoi l’anime, qui le protege… Votre pris Voltaire va tomber toutsuite!!!

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