La Cour constitutionnelle a proclamé, samedi, M. Abdelmadjid Tebboune, président de la République algérienne démocratique et populaire pour un second mandat, suite à sa victoire à la Présidentielle du 7 septembre 2024.
D’après les résultats définitifs de la Présidentielle, selon le communiqué lu par le président de la Cour constitutionnelle, M. Omar Belhadj, M. Abdelmadjid Tebboune est élu avec 7.976.291 voix, soit 84,30% des suffrages exprimés, alors que le candidat M. Abdelaali Hassani Cherif a recueilli 904.642 voix, soit 9,56% des suffrages exprimés, et le candidat M. Youcef Aouchiche 580.495 voix, soit 6,14% des suffrages exprimés.
Les résultats définitifs en chiffres :
- Nombre total d’électeurs inscrits à l’intérieur du pays et à l’étranger : 24.351.551
- Nombre total d’électeurs votants : 11.226.065
- Taux global de participation : 46,10%
- Bulletins nuls : 1.764.637
- Suffrages exprimés : 9.461.428
- Majorité absolue : 4.730.715
- Suffrages obtenus par chaque candidat :
- M. Tebboune Abdelmadjid : 7.976.291 voix, soit 84,30%
- M. Hassani Cherif Abdelaali : 904.642 voix, soit 9,56%
- M. Aouchiche Youcef : 580.495 voix, soit 6,14%
APS
Que des gros mots !!
Il faudrait moins d’engouement pour cette actualité sournoise et orgiaque.
Commenter frénétiquement ces non événements, c’est accorder du crédit à « ces maîtres des horlogres » d’une époque hors du temps.
Les scrutins se suivent et se ressemblent étrangement ! Comment peut-on réussir ces fiasco qui draineraient des vagues de femmes et d’hommes en direction des vieilles écoles transformées en bunker d’alchimie à l’occasion !?
Quel est donc cet élan de nationalisme qui anime les électeurs pour aller s’exprimer en déferlantes vagues sur le sort d’un vieux apparatchik ?!!!
C’est un simulacre de scrutin que le régime sait en organiser !
Cochon reste cochon meme avec du rouge a levre, disent les Americains. Ou la chevre meme si elle vole avec des ailes !!!
Le probleme 1er des Algeriens n’est pas la personne, mais le jeu electoral, c.a.d. la transparence, de sorte a apporter une amelioration dans la gouvernance et les choix de gestion, d’une election a l’autre. Ca, ils ne l’ont comme quelconque autre citoyen de n’importe quelle autre bananiere et ils l’ont compris et surtout TOUS ET PARTOUT ! Pour vous dire que pour l’essentiel les langues ne sont pas une barriere du tout ! Cette realite’ est decrite dans presque toutes les langues du monde, meme de bois !!!
Le reste c’est du khorti, c.a.d. la philosophie ailleurs !!! Il ne leur reste plus qu’a rajouter la Surate des elections. Au fait qu’est-ce que dit le rasul de la democratie sur les elections? Parce que chez nous aussi loin que l’on puisse remonter dans le temps, les elections ont existe’ – Platon en personne est venu nous visiter et les y a decouvertes – son inspiration de son fameux livre La Republique. Il est tombe’s sur des villages et Oasis, qui se regroupaient, discutaient et votaient !!! c,a,d, adoptaient des decisions de celui ou celle qui plaisaient a la majorite’ !!! On savait deja compter !!!
» Une victoire obtenue par la violence équivaut à une défaite, car elle est toujours momentanée. »
Gandhi.
Le 15 septembre, c’est la journée internationale de la démocratie !
Dans le journal critique qu’est l’expression, l’indétrônable Goudjil président du Conseil de la Nation, dit # le peuple confirme l’expérience démocratique dans la Nouvelle Algérie. L’objectif de l’état algérien consiste à incarner la morale de la vie publique, dans le domaine politique et économique, en plus de promouvoir la ségrégation équilibrée entre les autorités, d’élargir le champ de la citoyenneté,… ^
En définitive, l’Algérie est donc dans le camp démocratique selon l’incorruptible Goudjil /
Grâce à l’indépendante intervention de la Cour constitutionnelle, les chiffres de votants connaissent une inflation et sont plus représentatifs d’un pays démocratique lambda, le pauvre Tebboune se trouve avec 84 %. Il est vrai qu’il ne fallait pas être assimilé à certaines dictatures dont la syrienne où le doux Bachar el-Assad avait recueilli 95, 2 % , lors de la précédente élection présidentielle !
« La Cour constitutionnelle déclare Abdelmadjid Tebboune président de la République ». Vous êtes très en retard MM de la Cour constitutionnelle. Bengrina l’avait publiquement déclaré bien avant le scrutin en donnant même le score (80 à 90%) de la victoire par ko du candidat ne daignant même pas faire campagne, lui qui savait que les dès étaient pipés jusqu’à l’usure. Les faussaires en robes noires des résultats du scrutin du 7 septembre, sous la direction éclairée d’un président mué en statisticien hors pair pour la circonstance, ont fait légèrement mieux que la montagne. Ils ont accouché d’une énorme souris. Si énorme qu’elle ne peut être que le fruit de l’IA, une technologie maîtrisée à la perfection par ces messieurs/dames de la Cour constitutionnelle. Ils sont nés chez nous, on peut leur faire confiance dit une ancienne publicité de Naftal (je crois!). En effet, comment ne pas faire confiance à d’illustres hommes/femme de loi censés veiller sur le respect de la constitution et qui sont les premiers à la piétiner sans état d’âme à la moindre commande venue d’en haut (d’un peu plus bas que le ciel cela s’entend!)? Vous pouvez déclarer ce que vous voulez, nous, nous nous en tenons aux résultats plus crédibles de l’Opinion ou à la rigueur de M. Charfi, un homme intègre et juste nous aviez-vous juré devant Dieu et ses créatures.
Le peuple a rejeté ce président et sa bande d’incompétents qui mènent le pays vers la ruine. La cour constitutionnelle, n’est pas crédible et n’a plus rien de constitutionnelle dans son verdict. Cette cour est totalement corrompue et se place en complet désaccord avec le peuple. Son verdict n’est tout simplement pas valide ni légal du point de vue juridique. Ces juges ne sont que des bouffons, sans aucune crédibilité. Mais la honte de toute ce carnaval, vient de l’armée qui nous imposé cette bande de voyous pour gérer un pays. L’armée devrait avoir honte d’imposer cette bande d’incompétants, contre la volonté du peuple. Cette armée qui agit comme si le peuple est sa propriété.