Au Maroc, le dernier projet de loi de finances prévoit d’allouer un peu plus de 13 milliards d’euros à la défense nationale, soit environ 10% du PIB. Le budget est en hausse chaque année depuis 2004, et en augmentation de 7% par rapport à l’année précédente.
Et c’est la Turquie qui fourni le Maroc en armement. Notre voisin s’équipe en matériel militaire, notamment pour le contrôle des airs. Le pays a reçu, cet été, des drones armés turcs Bayraktar, et pourrait acquérir 30 Mirage 2000-9E dès 2027.
Le Maroc multiplie les achats de matériel militaire ces dernières années, dans un contexte de tensions diplomatiques entre les deux pays et de course à l’armement. Les Forces armées royales cherchent à la fois à moderniser l’équipement déjà disponible et à se diversifier.
Ainsi, le média marocain Le Desk confirme la livraison de drones turcs Bayraktar TB-2 en août dernier, sans mentionner précisément le nombre d’appareils livrés, ni le montant de la transaction. Les affaires sont les affaires pour la Turquie. Pour les autorités algériennes qui se croyaient soutenues par Ankara, ces livraisons constituent une sacrée douche froide.
En 2021, le Maroc avait commandé, à la firme turque, 12 appareils de ce type ainsi que quatre stations de pilotage au sol, et six autres, l’année suivante. Le royaume a également montré son intérêt pour le modèle Akinci de Baykar, la toute dernière génération de drones de combat.
Bien décidées à renforcer sa présence militaire dans les airs, notamment pour empêcher les incursions du Front Polisario au Sahara occidental, les Forces armées royales pourraient acquérir 30 Mirage 2000-9E.Tous les yeux sont rivés sur cet accord, sur le point d’être passé, entre le Maroc et les Émirats arabes unis. Dès lors qu’Abou Dabi recevra sa commande de 80 Rafale F4, dont la livraison est prévue entre 2027 et 2031, elle pourrait céder la moitié de sa flotte de Mirage 2000 modernisée à Rabat, soit 30 avions de combat, et ce dès 2027. Cet accord doit encore obtenir l’aval de Paris avant d’être complètement finalisé.
En 2019, le Maroc avait déjà conclu l’achat de vingt-cinq F16 avec les États-Unis pour 3,5 milliards d’euros. Ces avions de combat ne seront pas livrés avant 2027.
Avec Rfi
Pas de probleme ! D’ici la, Kelbouna et kelb preferre’ accoucheront de tant d’influenceur/ses qui vont influencer les drones vers la mer. Avec 45 millions de paraboles tourne’es vers l’Ouest, le brouillage sera intenable.
Les dirigeants Turcs sont pragmatique. Ils font du commerce.
Ne pas oublier l’avion privé mis à la disposition de teboune pour se balader. Rien n’est gratuit dans la vie.
Les Turcs si ils étaient bon en construction,ils n’auraient pas eu la catastrophe du dernier tremblement de terre, mais l’Algérie ne prend compte de rien la seule chose qui est importante c’est la corruption et l’enrichissement de ses dirigeants.
Donc il n’y’a aucun souci, les marocains peuvent envoyer des drones Turcs sur l’Algérie,ce n’est pas si grave que ça, le plus important c’est que le seul ennemi, c’est la France.