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samedi 17 mai 2025
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Le journaliste Mustapha Bendjama et le chercheur Raouf Farrah condamnés à 2 ans de prison

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Raouf Ferrah et Mustapha Bendjama
Raouf Ferrah et Mustapha Bendjama arbitrairement condamnés à 2 ans de prison.

Le verdict inique du procès de Mustapha Bendjama, Raouf Farrah et leurs co-accusés est tombé ce mardi 29 août. Les juges du tribunal de Constantine n’ont pas eu froid aux yeux pour prononcer les lourdes condamnations contre ces citoyens.

Le journaliste Mustapha Bendjama et le chercheur Raouf Farrah ont écopé de 2 ans de prison ferme et à 200 000 dinars d’amende dans l’affaire dite du « financement étranger » et de « publication d’informations classées secrètes ».

Mountaha Habes, ex-DRH d’Asfertrade (Asmidal) a été condamnée à 18 mois de prison ferme.

Sebti Farrah, le père de Raouf, a été condamné à une année de prison avec sursis et à une amende de 50 000 dinars. Sofiane Berkane, ex-fonctionnaire à la wilaya, quant à lui, a été relaxé.

On s’en souvient, le parquet avait requis 3 ans de prison ferme et une amende de 100 000 dinars contre les détenus d’opinion Mustapha Bendjama,Raouf Farrah et Mountaha Habes ainsi que contre Sebti Farrah, le père de Raouf, en liberté provisoire.

Il a également requis 18 mois de prison ferme contre Sofiane Berkane, ex chargé de Communication à la wilaya d’Annaba, en liberté provisoire. Hicham Aboud, Amir Dz et Abdou Semmar, tous trois influenceurs ont hérité de 15 ans de prison. Ces derniers ont été plusieurs fois condamnés à de très lourdes peines de prison.

Le journaliste Mustapha Bendjamaâ placé en garde à vue

Voilà donc pour le topo de cet énième procès dont peut s’enorgueillir la justice sous la nouvelle Algérie de Tebboune-Chanegriha. L’histoire retiendra cette sombre séquence et gardera le souvenir d’une présidence injuste, autoritaire et diablement manipulatrice des réalités.

L’Algérie est mise sous cloche sous un Tebboune dont on ne connaît aucune réalisation sérieuse ni décision à même de faire de l’Algérie un pays en voie de développement. Les prisons sont remplies de détenus d’opinion, l’économie est dans un coma profond et la jeunesse n’aspire plus qu’à quitter le pays, par tous les moyens, y compris au risque de sa vie. L’Algérie de Tebboune-Chanegriha a enterré l’espoir né dans les marches dont le pacifisme et le civisme a été salué par le monde entier.

Sofiane Ayache

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1 COMMENTAIRE

  1. Ce n’est tout simplement pas un pays du tout ! Et 40 millions de bonhommes sont incapable d’en construire un. C’est tout simplement une mafia qui s’est donne’e pour ottages un vaste territoire riche et une enorme population desordonne’e et surtout trop pacifiste ou est-ce passive… Une veritable malediction.

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