Les arrestations de citoyens continuent dans la belle république que dirige Tebboune et Chanegriha. La répression est impitoyable. Une stratégie de tension permanente est imposée à la société pour la faire taire devant l’arbitraire.
Arrêté le 2 novembre à son domicile, à Bordj El Kiffan, le jeune Ouahab Baiti a été placé sous mandat de dépôt. Le désormais détenu d’opinion Ouahab a déjà été condamné en juin dernier par le tribunal de Bab El Oued, le Comité national pour la libération des détenus (Cnld).
L’activiste Nasredine Benamara a été placé en garde à vue au commissariat de Ras El Oued, wilaya de Bordj Bou Arréridj, rapporte la même source. Nasredine Benamara a été relâché, le 4 septembre, après avoir été entendu et signé le PV d’audition.
Mais ce jeune activiste est un habitué des interpellations et malheureusement des exactions judiciaires.
En novembre 2022, il a été condamné avec d’autres prévenus à 6 mois de prison ferme pour « attroupement non-armé » et « atteinte à l’ordre public ». C’était pendant les manifestations pacifiques du Hirak.
Originaire des Issers (Boumerdès), Rachid Sadaoui est déjà condamné en première instance le 23 mai dernier à 5 ans de prison ferme et à 200 000 dinars d’amende.
Le juge d’instruction près le tribunal de Koléa l’a entendu cette semaine dans une nouvelle affaire. Comme la punition de la prison ne suffisait pas, il serait poursuivi sur la base de l’article 87 bis du code pénal. C’est dire qu’il doit boire le calice jusqu’à la lie.
Comme la justice ne fait pas les choses à moitié, le parquet près de la cour d’Alger a requis l’aggravation des peine à l’encontre des accusés dans l’affaire dite « des couleurs d’affichettes ».
Samira Sayad, Zakia Mendaci, Nouara Gana M., Hichem Boumad, Omar Lerari et Ahmed Oussaidane (détenu dans une autre affaire et libéré le 26 octobre 2023 après avoir purgé sa peine), ont été condamnés en première instance à une année de prison ferme et à 100 000 dinars d’amende. L’affaire est mise en délibéré pour le 28 novembre 2023, indique le Cnld.
Plus de 200 détenus d’opinion croupissent encore dans les prisons. Certains sont condamnés à de lourdes peines de prison.
L.M.
Je vais vous decripter. Ce sont des Independentistes qui l’expriment. La question est cobien sont-ils, ces Independentistes? Ou sont les autres?
Parait-il donc durant 2 ans, pas moins d’un Miliion de personnes vont en premanade, chantant DEHORS, c’est une espece d’Hyme Nationale, car bizarrement, c’etait partout. Mais, ce n’etait pas toujours les memes !!!! Au nombre de fois que ces sorties se sont produites, , dans un pays de 40 millions, et pendant au moins 54 semaines, ca fait plus de 2 fois la population entiere. Aavant, la mafia reflechissait un peu, plus! Pourquoi devoir loger et nourir autant de personnes? Ils sont deja en prison chez eux tous les jours. Ou pire dans leurs tetes a tout moment.
Mr Hafiz Chems-eddine peut aussi intervenir sur les prisonniers politiques en Algérie, il peut aussi déposer plainte au CPI contre TEBOUNE et CHINGRINA. Ces personnes ne tapent, et ne critiquent que leur pays d’adoption, s’il ne ce sent pas bien en France, ce chikh, il peut rentrer chez lui ou en Orient pour observer sa foi tranquilou!!
A quoi riment toutes ces arrestations et condamnations arbitraires? Certainement pour terroriser les opposants au régime et les empêcher de dénoncer l’arbitraire dont use et abuse le régime. Mais il est impossible de museler indéfiniment tout un peuple qui aspire à vivre libre même en tentant de mettre le Ciel de son côté. Mais tant que règnera le droit de la force et non la force du droit rien n’ira.
Tahia falestine .! Tahia falestine .! ou sont les dépitès de la issaba eux qui prétendre à défendre les droits du peuple falestiniens . Les prisons algérienne n’ont rien à envier à ceux d’Izarël . Avant de gesticuler pour les autres il faut défendre d’abord les siens . Honte à vous les dépités . Profiter ,la roue tourne , rappelez- vous des cas de Ouyahia ,de Haddad , et les autres . L’impunité n’est pas éternel , un jour viendra ou vous devez payer votre dette . Les escrocs tombe souvent pour un rien . azul
Leur problème est que plus ils arrêtent des citoyens pour rien, plus la haine irreversible contre cette dictature augmente a tous les niveaux de la société. Leur seul et vrai « travail » n’est pas la résolution des problèmes du citoyen, mais de lui en créer davantage tout en le muselant au quotidien comme un prionnier dans son propre pays. Pinochet a au moins développé et transformé le Chili en puissance économique.
Dans la nouvelle algérie, la junte ne fait que se tenir a l’affut de tout ce qui bouge, surveiller le peuple pour ensuite lier tous leurs fiascos a « la main de l’étranger ». Jamais ils assumeront rien dans leur mode catastrophique de gouvernance en dehors de faire du mal, mentir et maintenir perpétullement la décéption et la ruse a tous les niveaux. C’est ainsi que la nouvelle algérie est gérée par apparemment les « nationalistes » de la dernière pluie et de la poche pleine. Ils ont trouvé un trésor pour eux seuls, les institutions du peuple inclues car privatisées comme leurs propriétés personnelles: De la sonatrach a la justice, a l’armée en passant par la police. La preuve est qu’ils n’ont de comptes a rendre a personne mais par contre le peuple est mis devant toutes ses responsibilités pour couvrir leurs échecs en série qui ne s’arrêteront jamais jusqu’a la destruction totale du pays.