Les Ulémas musulmans algériens ont revendiqué, par l’intermédiaire de leur porte-parole, Abdellatif Sifaoui, le droit à s’immiscer dans la question de Tamazight, par le biais des Fatwas, car, expliquait-il sur Echourouk, cette question est importante et concerne tous les algériens.

Les Ulémas musulmans algériens ont réagi aux propos du Dr. Djellaoui, qui avait demandé que seuls les académiciens et les spécialistes  devaient travailler sur Tamazight, et avait insisté sur le devoir de l’éloigner des politicards et des « fatwas » populistes de la rue.

L’association des Uléma est pour rappel, l’une des organisations les plus hostiles à la transcription de la « seconde langue nationale » Tamazight en latin, et ne manque aucune occasion de le rappeler.