Ce samedi, à Ouargla, le ministre de la Communication, Mohamed Meziane, a demandé aux journalistes algériens de faire preuve de professionnalisme dans leur métier. Epatant !
C’est un comble ! Beaucoup d’entre eux n’ont fait que cela, monsieur le ministre. Le meilleur argument est que vous les avez envoyés dans vos geôles.
Vous les rappelez à l’ordre pour qu’ils fassent enfin leur métier dans un cadre déontologique, alors sortez-les de prison, sermonnez-les pour qu’ils disent professionnellement que vous êtes un serviteur d’un régime qui musèle la presse et emprisonne des journalistes tous les matins.
Donnez-leur cette chance de repentance, ils ne reprendront plus des fakes-news et diront la stricte vérité sur la réalité du musèlement de la presse. Leçon leur en a été donnés, ils ne feront plus de papiers conciliants et éviteront de dire que le régime crypto-civil est l’incarnation de la démocratie.
Ils respecteront votre sage demande et ne reproduiront plus le mensonge sur Tebboune qui aurait déclaré, « J’œuvre inlassablement, et avec clairvoyance, à assurer l’équilibre entre les différentes régions du pays, non seulement aux plans économique et social, mais aussi dans le domaine de l’Information ». C’est une propagation d’insultes à la probité du président qui n’a œuvré toute sa carrière que dans la mission contraire.
La prochaine fois, ils s’abstiendront de porter des propos calomnieux. Selon les journalistes le ministre de la communication, moi-même, aurait promis « une série de nouveaux textes et règlements élaborés en vue d’organiser le secteur de l’information et de la communication, garantissant la liberté d’expression, défendant les droits des journalistes et consolidant les pratiques de l’éthique professionnelle ».
Au-delà de l’entorse à la mission du journalisme, ils ont jeté un discrédit sur la réputation de l’Algérie en publiant des mensonges d’une grande gravité. Le ministre de la Communication, moi-même encore, aurait déclaré, « la nécessité de bâtir un front médiatique unifié pour faire face aux conséquences liées aux développements sur la scène internationale et régionale, et leurs éventuels risques sur la souveraineté nationale ».
Il serait trop long de lister les mensonges des journalistes que le ministre exhorte d’arrêter. Il justifie l’emprisonnement de tous ceux qui ont osé propager des faits et propos monstrueusement insultants pour la grandeur de la nation.
Ils ne seront libérés que s’ils deviennent professionnels et menacent les bourreaux de prendre leur place car elle est méritée.
Ou la presse est le reflet de la réalité ou elle ne l’est pas. Vous avez de sages paroles, M. Mohamed Meziane, en incarcérant des journalistes sans morale déontologique.
Car si on les laissait faire, ils seraient capables de prétendre que le code de la famille n’autorise qu’une seule épouse.
Ils sont dangereux.
Boumediene Sid Lakhdar
Un pays de 47 millions d’habitants qui ne possède que 34 librairies est un pays voué à l’ignorance.
Un régime qui ferme des maisons d’édition et des cafés littéraires est un régime qui fabrique l’ignorance.
L’ignorance avait engendré la décennie noire, bien entretenue, elle accouchera d’autres tragédies encore…
Produire des céréales et des patates, c’est bien ! Le peuple a besoin de manger, mais il a aussi faim de chanter et danser comme tous les peuples.
Quand ce type émanation incarnée de ce crypto-nidham illégitime et depuis 62 ans qu’il claironne avec roulement de tambours et trompettes que le journaliste ALGERIEN doit faire preuve de professionnalisme !! Il faut avaler mille et une couleuvres et comprendre rentrer dans les rangs et faire dans la propagande…!!!!
Au Chkoupistan, pays de la chita et de la tchipa, c’est tout à fait normal.
Le Ghachi adore teboune et toute sa clique, donc tout va bien dans les meilleurs des mondes. Rien , absolument rien ne va changer dans ce pays, et cela sera malheureusement comme ça jusqu’à une éventuelle dislocation.
Regardez moi ce visage qui fait semblant de jouer au serieux.
FAKOU ya les crocos.
Le ministre de la propagande en train de balancer du bluff et de faux chiffres sur tout ce qui passe dans sa tete.
Le denominateur commun etant la chitta et la brosse toute l’annee jusqu’a ce qu’il recoit un coup au der…..re comme ses predecesseurs.
Benbella n’avait aucun projet si ce n’est celui d’être chef ! Son putschiste aussi était en embuscade, il attendait impatiemment derrière le juda, il a défensé la porte ouverte pour faire régner la ko!
Le schizophrène se rêvait Hitler ou Franco. Il a été lui-même, le débile sans camisole.
Le peuple rêvait de liberté, il a été plongé dans une innommable nouvelle forme de domination, pire que la colonisation dont il venait de sortir bien meurtri.
On rêvait d’un pays, on s’est retrouvé dans une prison à ciel ouvert !
On rêvait de droits, on l’a accablé de devoirs à nen plus finir.
Et ça continue encore aujourd’hui et d’une telle arrogance qu’on l’impression que c’est parti pour durer indéfiniment !
Ce malheureux oxymore Meziane Mohamed n’est là que pour servir ses décideurs. Il n’a aucune recette, mais juste agir pour leur plaire !
Faire fonction de soumis est le statut réservé à tout candidat qui frappe aux portes du sérail y compris ce fameux raïs qui n’a ni carrure ni charisme, ni style ni verbe.
Normal ! l’école ne produit que des analphabètes. La mosquée, en revanche, fabrique des orateurs convaincus du paradis et non de la vie sur terre !
Après tout, la presse ne peut pas être utile où tout est regí par le destin. Les scribouillards, les ecrivaillons n’ont pas leur place dans cette » irrepublique « .