La Confédération africaine de football a procédé ce samedi 22 janvier à Douala au tirage au sort des barrages pour la qualification à la Coupe du monde 2022 au Qatar. De très belles rencontres se profilent avec des chocs comme Egypte-Sénégal ou Cameroun-Algérie.
Initialement prévu en décembre dernier, ce tirage au sort des matches de barrage pour la qualification à la Coupe du monde s’est finalement déroulé ce samedi à Douala en marge de la Coupe d’Afrique des nations. Le Togolais Emmanuel Adebayor et le Sénégalais El-Hadji Diouf ont fait le déplacement pour procéder au tirage.
Dix équipes sont toujours en lice pour la qualification suite au deuxième tour. Les équipes étaient réparties en deux pots en fonction de leur classement Fifa. Dans le pot 1, on retrouvait le Sénégal, l’Algérie, le Nigeria, le Maroc et la Tunisie. Dans le deuxième pot figuraient l’Egypte, le Cameroun, le Ghana, la RD Congo et le Mali.
Les chocs Égypte-Sénégal et Cameroun-Algérie
Ce tirage au sort a en tout cas donné lieu à de superbes affiches avec notamment deux chocs très attendus : Egypte-Sénégal et Cameroun-Algérie. Les Pharaons de Mohamed Salah retrouveront les Lions de la Teranga de Sadio Mané pour ce qui s’annonce être un duel entre deux des plus grandes stars du football africain.
L’Algérie de Riyad Mahrez devra, quant à elle, se remettre à l’endroit après sa piteuse élimination de la CAN 2022 dès le premier tour en affrontant le Cameroun qui propose sur ses derniers matches des prestations encourageantes grâce, notamment, à un Vincent Aboubakar en grande forme.
Les autres affiches n’en restent pas moins particulièrement alléchantes avec un duel ouest africain entre Ghana – Nigeria. Eliminé dès le premier tour de la CAN, les Black Stars auront à cœur de se racheter face au voisin nigerian. Ce ne sera cependant pas chose facile car les Black Stars ont été jusqu’ici parmi les équipes les plus séduisantes de la Coup d’Afrique.
Le Maroc vise un deuxième mondial consécutif
Après sa non-qualification pour la CAN, les Léopards du Congo sont toujours en lice pour aller au Qatar. Ils feront face aux Marocains entraînés par Vahid Halilodzic et qui comptent bien participer à leur deuxième Coupe du monde consécutive après celle de 2018. Les Congolais, eux, non plus pris part à un mondial depuis 1974 et l’unique participation de leur histoire.
Enfin, le Mali et la Tunisie vont une nouvelle fois se rencontrer. Les deux équipes, qui étaient déjà dans le même groupe lors de la CAN 2019, se sont quittées sur une victoire rocambolesque 1-0 des Maliens lors du premier tour de la CAN 2022. Ces barrages sonnent donc comme une revanche pour les Aigles de Carthage face au hommes de Mohamed Magassouba.
Les rencontres se dérouleront sur le format des matches aller-retour. L’équipe qui l’emportera sur l’ensemble des deux matches validera son ticket pour la Coupe du monde au Qatar. Avec RFI
« Le barrage des éliminatoires » . C’est un jouly titre. C’est kamim mieux que : le bal des faux-lucs .Celui-là on va le réussir.
As-tu remarqué que l’équipe qui perd s’en prend toujours à elle-même? C’est comme si la victoire lui revenait de droit normalement. Si elle perd un match ou la coupe, c’est qu’elle a été lésée, et les raisons de sa défaite se trouvent en elle-même, à moins qu’il y ait eu des raisons externes flagrantes, comme un arbitrage biaisé par exemple. Sinon, si nous avons perdu, c’est que nous avons commis quelque faute, il y a eu quelque défaillance de notre part quelque part, car normalement, nous sommes nous, nous sommes qui nous sommes, et la victoire nous appartient en vertu du simple fait que nous sommes qui nous sommes.
Et l’adversaire dans tout ça? Il n’a pas fait ce qu’il était venu faire, c’est à dire gagner, lui aussi? L’adversaire ne mérite pas d’être reconnu comme joueur supérieur? Il n’était peut-être venu jouer que pour nous servir de faire-valoir ?
Il y a là un parallèle avec la perte d’une guerre. Quand nos ancêtres ont subi la conquête française, ils se sont dit qu’ils avaient dû avoir commis quelque faute contre Allah et les Saints et ces derniers les ont punis en permettant à l’ennemi de les vaincre. C’était la seule explication qu’ils voyaient.
Mais que dis-tu là ? Byensour que la victoire nous revient de droit ! Et de droit divin en plus. Si seulement ces satanés adversaires ne nous en empêchient pas. Et pourquoi ils viendraient pour gagner eux aussi, hein ? Est-ce qu’ils sont Algériens eux? Je me demande si tu es complètement Algérien toua , nagh chwiya kane.
Lhassoun allah yahdi ma khlaq !
Azul fellawen a Dda Hend et Kichi…
Il y’a longta, deux jeune enfants voulaient traverser la rivière dans un village non loin de Guezgata.
L’un a dit : ardjou a winath on ne va pas traverser y’a trop de crocodiles .
L’autre réplique : ne t’inquiète pas à yahbib le bane diou est avec nous.
Et le premier répond: et si le bane diou est de côté des crocodiles cette fois ci?
Nighaouen Bonos
L’idée que le boudiou pourrait être du côté de l’adversaire ne traverse jamais la tête d’un bon musulman ou d’un bon nationaliste.
On raconte que pendant la guerre de sécession américaine, quelqu’un a dit à Abraham Lincoln qu’il fallait avoir confiance car Dieu était de leur côté. Lincoln lui a répondu: « La question qui me ronge est plutôt d’être sûrs que nous sommes du côté de Dieu. »
Voilà @ kichi la messes est dite. Moi j’attend la décision du bondiou pour prendre ma décision de traverser ou pas cette rivière infestée de crocodiles.
Il en a raison Abraham le meilleur président de tous les temps chacun essaye de ranger le bandiou de son côté et personne ne veux se ranger du côté du bandiou.
Pauvre bandiou
Tchine et bonos
Je crois que pour avoir les grâces du bondiou de notre côté, rien de mieux que d’organiser comme on le fait pour la Salât El istisqa, pourquoi pas une Salât gininar pour la baraka de Kourati Tiqdimine. C’est sûr que le bondiou est toujours prêt à accorder ses bienfaits à ceux qui le vénèrent sincèrement.
Cependant, ça marche pas si des Zippoukritt (et ils sont nombreux) se mettent de la partie, à ce moment-là le pare-feux céleste est actionné et plus rien n’est reçu.
Alors …