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Mustapha Bendjama maintenu en prison « illégalement »

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Mustapha Bendjama

Me Abdallah Haboul a déclaré à Radio M. que « le maintien en détention de Mustapha Bendjama est illégal ». Le régime fait payer au journaliste manifestement son engagement pendant les manifestations du Hirak.

Les avocats de la défense du journaliste en prison Mustapha Bendjama ont introduit, ce jeudi, une demande de remise en liberté auprès du parquet du pôle pénal spécialisé de Constantine, a-t-on appris de Me Abdallah Haboul.

Condamné à six mois de prison ferme dans l’affaire « Amira Bouraoui », le journaliste Mustapha Bendjama n’a pas été remis en liberté le 7 novembre, le jour de l’énoncé du verdict. Pourtant, il venait de purger huit mois et deux semaines en détention provisoire.

Ce jeudi 16 novembre, les avocats Mes Abdallah Haboul et Azzedine Bahloul, membres du collectif de défense du journaliste, ont introduit une demande de remise en liberté auprès du parquet du pôle pénal spécialisé de Constantine. Ils estiment que Mustapha Bendjama a purgé sa peine puisqu’il a été le journaliste Mustapha Bendjama est placé en détention provisoire depuis février dernier dans le cadre de l’affaire de l’évasion de la militante Amira Bouraoui du pays.

Il a été poursuivi en justice dans deux affaires distinctes, dont la première est délictuelle et la seconde est criminelle. « Deux dossiers relatifs à deux poursuites étaient au niveau du pôle pénal spécialisé de Constantine. Le premier concerne l’affaire « Amira Bouraoui », tandis que le second concerne l’affaire du présumé « financement étranger » et de «publication d’informations classées secrètes », explique l’avocat Haboul.

Plus de 200 prisonniers d’opinion croupissent dans les cellules de prisons algériennes. Les autorités algériennes, grandes défenseuses des droits de l’homme à l’étranger, broient les dissidents et esprits libres. Et foulent souverainement au pied la Constitution qu’elles ont fait voter au peuple.

L.M./Cnld

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