L’ex députée de la wilaya de Boumerdès, Naima Salhi a été placée sous contrôle judiciaire pour «diffamation» et «atteinte à l’unité nationale» par la juge d’instruction de la 1e chambre près le tribunal de Chéraga, rapporte le quotidien El Watan.
La plainte des deux avocats, Abdelkader Houali et Sofiane Dekkal, et du militant politique Salim Chaït pour «incitation à la haine raciale», «appel au meurtre» et «atteinte à l’unité nationale» a finalement aboutit.
« Naïma Salhi a nié les faits qui lui sont reprochés en disant que ses déclarations visaient principalement les éléments du MAK, et a indiqué qu’elle n’a aucun problème avec les Kabyles » pouvait-on lire sur El Watan.