La diffusion, il y a quatre jours, d’une vidéo du journaliste franco-algérien Mohamed Sifaoui affirmant que le chef de l’Etat Abdelmadjid Tebboune serait en vacances en Allemagne a provoqué une vague de commentaires et de spéculations sur les réseaux sociaux.
En réaction, plusieurs médias algériens, se référant à une source anonyme et « bien informée » ont rapidement démenti ces allégations, parlant de fake news et dénonçant une tentative de déstabilisation. Certains ont même attaqué personnellement Mohamed Sifaoui en mettant en avant son parcours et ses prises de position controversées.
Ces médias ont rappelé que le chef de l’État avait décrété un deuil national d’une journée après le drame de Oued El Harrach. Des sites d’information ont même allégué avec certitude que A. Tebboune se trouve dans une ville de l’ouest du pays, sans donner plus de précisions ni de détails sur ce séjour hors de la capitale, Alger.
En outre, et en l’absence d’images récentes du chef de l’État, ce sont ses ministres et les représentants de la présidence qui tentent tant bien que mal de combler le vide.
À chacune de ses sorties publiques, notamment pour présenter les condoléances de l’État aux familles des victimes du drame de Oued El Harrach, le ministre de l’Intérieur, Brahim Merrad, prend le soin d’indiquer qu’il accomplit cette obligation « conformément aux orientations du président de la République ». Une manière de rappeler la présence symbolique de Tebboune, sans pour autant apaiser les interrogations nées de son absence visuelle. Autrement dit, la voix de son maître. Tout est hypercentralisé autour de la personne du chef de l’Etat. Rien autour n’existe !
De fait, si les dénégations sont fermes, elles peinent à convaincre. Car la meilleure manière de tuer la rumeur n’est pas seulement de la réfuter verbalement : il suffirait de montrer le chef de l’État à la télévision nationale, dans ses activités courantes (réunions, visites, audiences, déclarations). Ou dire la vérité aux Algériens : qu’il est en vacances et qu’il en séjour à l’étranger pour raison de santé.
Or, depuis le drame de Oued El Harrach, aucune image récente de Tebboune en situation publique sur le territoire algérien n’a été diffusée. Aucun déclaration sur une absence tellement visible qu’elle interroge et interpelle.
Seules ses condoléances officielles et le décret de deuil national ont été relayés, de manière très formelle et impersonnelle. Et, le mardi 19 août, un message du président à l’occasion de la Journée nationale du Moudjahid a été diffusé. Là encore, aucune apparition filmée du chef de l’État : seules quelques images fixes, illustrées par son portrait officiel, accompagné du texte écrit de son message à été diffusé sur la page Facebook de la télévision nationale.
Le silence visuel de ce dernier contraste avec la forte présence médiatique du chef d’état-major de l’Armée, le général Saïd Chanegriha, filmé et diffusé à la télévision nationale en visite auprès des blessés à l’hôpital. Là où l’institution militaire a choisi la mise en scène, la présidence s’est enfermée dans une communication minimaliste, limitée à des communiqués. De fait, on se demande bien qui est aux affaires !
Résultat : les démentis officiels paraissent insuffisants face à la puissance de la rumeur. L’absence d’images alimente les doutes, au point que la polémique prend de l’ampleur et fragilise la parole de l’État.
En Algérie, plus que jamais, la communication présidentielle semble souffrir d’un déficit de transparence et de réactivité. L’opacité reste la règle de gouvernance. A part cet écume informationnel, il est où en fait le chef de l’Etat ?
La Rédaction


« Brahim Merrad, prend le soin d’indiquer qu’il accomplit cette obligation « conformément aux orientations du président de la République ». Des orientations données d’où? D’Allemagne? Quand bien même le président lui ait réellement transmis de soi-disant orientations ne prouve en rien que ce dernier se trouve en Algérie. Ça rappelle l’expression de chez nous qui dit: djâ i kahlha a3maha! Décidément ce Merad, il aurait dû laisser la place à Bengrina qui lui a trouvé le bouc émissaire tout indiqué: la presse. Il n’a pas complètement tort.
« De fait, on se demande bien qui est aux affaires ! » – Sans blague? Parce qu’avant c’etait It?
Ce que je veux dire, c’est que le « It »(pour designer un object plutot qu’une personne – puisqu’on est des Finiqiyoun-Anglais), c’est que it n’est pas responsable. It a ete’ foutu dans un costume un peu trop petit pour it. Ca se comprend, ca a ete’ concu pour son chef, un petit minus type chiwawa. Foutre un berger allemand finiqien dans la cage d’un chiwawa, n’est pas aussi evident que ca. On ne peut blamer le petit ghachi non-plus. Le ghachi ne comprend plus ni la jahilia, ni l’arabe ni le francais – il s’est dejahilie’ vers l’Anglais depuis quelques anne’es. Preuve? Halou jouuuu … my name is Magitte, avec qui je suis maintenant fache’. On peut faire si tu veux. Bref, le chab n’a rien demande’ ! Il etait bien satisfait avec ses anes si on ne lui avait pas ramene’ des hyenes pour les manger.
Du coup les ghachis se demandent ou est passe’ IT supreme? Peut-etre chez Chiwawa Supreme? ba non, meme le chiwawa a disparu !!!
Une chose est sure: Absolument pas en Arabie, surtout pas a Oman ! La reputation de Oman est: Honnetete’ [on coupe les mains et le cou des voleurs], Une BELLE Oasis Arabe [khorti zero!] et Super Propre ! Pas la moindre trace ou odeur d’un khorti quelconque, surtout pas finiqietou.
Tayazit tettrew, ayazid iqareh-it uqerru-is !
Ma yella, aygher ? ma ulac-it, aygher ?
Qu’il soit à Alger ou ailleurs, c’est exactement pareil !
C’est quoi ce pays où les élections n’ont d’élection que le nom et que l’on s’acharne pour connaître les noms des « élus »? Ce machin-bidule n’est élu par personne et ne représente que les Tagarins qu’ils l’ont mis à la tête de cet état militaire. Ce sont ces mêmes militaires qui lui dictent tout ce qu’il doit dire et faire. Ce sont eux qui font son planning….
Ce sont eux qu’ils l’ont envoyé en colonie de vacances à Antalya où il va apprendre plus sur « la nouvelle Turquie » . Il y a été pris en photo assis sur une chaise longue portant un chemise blanche demi manche et un bermuda de même couleur et la tête dans les nuages !
La Dézédie appartient bel et bien aux Tagarins !
Et ce ne sont surtout pas les pétitions qui vont faire bouger les choses. Les déclarations, les chroniques, les articles, les livres, les essais, les poésies, les appels à la prière…rien de cela ne servira à grand chose non plus !
Depuis 2019 et sa venue juché sur un blindé il est rien d’autre qu’un élément FACTICE d’une dictature criminelle qui mène le pays vers sa désintégration …Et cette constante conviction est chevillée au corps de chaque Algérien-ne-s de 7 à 97 ans….POINT BARRE!!!!
Il est parti se faire un pied artificiel car le sien a ete victime du diabete.
Si seulement cela ôuvait être la fin de notre cauchemard. Ce tyran est une malediction. A 80 ans, même sur son lit de mort, il restera animé que par une seule chose : sa volonté de faire le maximum de mal aux algériens et à l’Algérie.
il’va s’acheter une nouvelle Mercedes blindé au bled ?
Vous ne le comprennez pas, vous manques de compassion… jesplik:
Les 3amis saeed qui l’emploient l’ont foutu sur un fauteuil royal, avec DROIT A TOUT, ABSOLUMENT OUT – GRATOS !!!
et c’est la que ca ne colle plus… wa3lach ??? S’il a tout gratos, comment va-t-il faire pour VOLER??? Vous le denaturez !!!
Ils est depourvu de sertka, smatta et hogra !!! C’est inhumain !!!
Je rejoint Uqaci qu’il soit là ou pas peu importe ; il n’a jamais rien apporter au pays ,au contraire ,il l’a rabaisser ,humilier ;avec ses sorties scabreuses . Koua dariba , 3° puissance en Afrique , les meilleur hôpitaux , l’adesse ,loubia , allah yatik ROUINA . J’ai dis allah pour les muslims moi je suis hâté . Ni dieu ni maître . Sauf ma Kabylie et son indépendance . Azul Imazighens
Lettre ouverte aux médecins allemands qui ont soigné Teboune le Tyran abject
Je ne veux pas maudire les médecins allemands mais je souhaite vraiment qu’à l’avenir Ni Teboune ni les dirigeants algériens ne soient soignés en Allemagne. Outre le fait que ces dirigeants se donnent le droit d’être soignés en Europe pendant qu’en Algérie ils laissent à l’abandon, à la dérive tous les hopitaux publics. Les allemands ne doivent pas soigner Teboune, ne doivent pas le sauver. C’est un fou furieux, c’est un homme irresponsable et dangereux pour les algériens et pour les européens. C’est un Tyran de la pire espéce, pire que Bachar El Assad, pire que Kadhafi. Le sauver c’est lui permettre de poursuivre son entreprise suicidaire et criminelle. Chers amis allemands, ne le sauvez pas. A la limite si vous l’accueillez dans vos hopitaux, faites un certificat d’inaptitude à gouverner un grand pays comme l’Algérie. Ne le sauvez pas. C’est le peuple algérien qui vous le demande, qui vous supplie. Teboune est un homme dangereux pour les algériens et pour les européens
Offener Brief an die deutschen Ärzte, die Teboune, den erbärmlichen Tyrannen, behandelt haben
Ich möchte deutsche Ärzte nicht verfluchen, aber ich hoffe aufrichtig, dass weder Teboune noch die algerischen Politiker in Zukunft in Deutschland behandelt werden. Abgesehen davon, dass diese Politiker sich das Recht nehmen, in Europa behandelt zu werden, während sie in Algerien alle öffentlichen Krankenhäuser verlassen und hilflos zurücklassen. Die Deutschen dürfen Teboune nicht behandeln, dürfen ihn nicht retten. Er ist ein rasender Wahnsinniger, ein verantwortungsloser Mann und gefährlich für Algerier und Europäer gleichermaßen. Er ist ein Tyrann der schlimmsten Sorte, schlimmer als Baschar al-Assad, schlimmer als Gaddafi. Ihn zu retten bedeutet, ihm zu erlauben, sein selbstmörderisches und kriminelles Unternehmen fortzusetzen. Liebe deutsche Freunde, rettet ihn nicht. Wenn ihr ihn in eure Krankenhäuser einweist, stellt ihm zumindest ein Attest aus, dass er nicht in der Lage ist, ein großes Land wie Algerien zu regieren. Rettet ihn nicht. Es ist das algerische Volk, das euch darum bittet, das euch anfleht. Teboune ist ein gefährlicher Mann für Algerier und Europäer.
Pendant ce temps là, les marocains prient avec ferveur pour que Teboune se remette rapidement.
Moi je prie pour que les médecins allemands fassent la grève et refusent de soigner Teboune. Il ne s’agit pas de refuser des soins à quelqu’un qui en a besoin, il s’agit juste de mettre Teboune (ainsi que tous les généraux algériens) devant leurs responsabilités. L’Algérie est un pays qui déborde de bons médecins, qui a les moyens de financer ses hôpitaux et même des traitements très coûteux. Pourquoi Teboune serait soigné en Allemagne et pas en Algérie ? Où est la souveraineté nationale ? Pourquoi le Ministre de la santé est encore en poste ? Pourquoi on ne met pas en prison tous les ministres algériens de la santé encore vivants ? Parcequ’il faut bien regarder les choses en face : aucun Président, aucun général ne s’est jamais soigné en Algérie. Je le dis à nos amis allemands : le meilleur service que vous puissiez rendre au peuple algérien, c’est de refuser de soigner Teboune ainsi que les autres dirigeants algériens. Teboune et les dirigeants algériens doivent être soignés dans les mêmes hopitaux que les algériens;
Ich bete dafür, dass die deutschen Ärzte streiken und sich weigern, Teboune zu behandeln. Es geht nicht darum, jemandem die Behandlung zu verweigern, der sie braucht, sondern darum, Teboune (und alle algerischen Generäle) dazu zu bringen, sich ihrer Verantwortung zu stellen. Algerien ist ein Land mit vielen guten Ärzten, das über die Mittel verfügt, seine Krankenhäuser und sogar sehr teure Behandlungen zu finanzieren. Warum sollte Teboune in Deutschland behandelt werden und nicht in Algerien? Wo bleibt die nationale Souveränität? Warum ist der Gesundheitsminister noch im Amt? Warum stecken wir nicht alle noch lebenden algerischen Gesundheitsminister ins Gefängnis? Denn wir müssen den Tatsachen ins Auge sehen: Kein Präsident, kein General wurde jemals in Algerien behandelt. Ich sage unseren deutschen Freunden: Der beste Dienst, den Sie dem algerischen Volk erweisen können, ist, Teboune und den anderen algerischen Führern die Behandlung zu verweigern. Teboune und die algerischen Führer müssen in denselben Krankenhäusern behandelt werden wie die Algerier;