Les chutes mortelles d’étudiantes dans les résidences universitaires des fenêtres de leurs chambres dans les résidences universitaires se poursuivent à une allure qui rappelle la loi des séries.
Ce mardi 23 mai, une étudiante a trouvé la mort, tôt dans la nuit, vers 03h, suite à une chute par la fenêtre de sa chambre située dans la cité universitaire pour filles Mahelma 2 à Alger.
Selon le quotidien arabophone El Khabar qui rapporte l’information, la victime, originaire de la wilaya d’Illizi, était âgée de 22 ans.
Résidence universitaire Mehalma-3 : chute mortelle d’une étudiante
Au début de ce mois de mai, un autre drame similaire est survenu dans une cité universitaire d’une ville de l’intérieur du pays.
Grièvement blessée à la tête, après une lourde chute du 4e étage d’un bâtiment de la Résidence universitaire 2000-Lits à Hassania, dans la wilaya de Chlef, une étudiante de 22 ans n’a pu être sauvée par les secouristes de la protection civile dépêchés sur les lieux.
Évacuée vers l’hôpital le plus proche, elle n’a malheureusement pas survécu à ses blessures. Le drame est survenu en plein jour vers 14h, selon les informations fournies par les pompiers.
Un drame similaire s’est produit début avril dernier à la résidence universitaire Mahalma 2 à Alger. Là aussi, une jeune étudiante a trouvé la mort après avoir fait une chute de la fenêtre de chambre.
Des enquêtes d’usage sont à chaque fois ouvertes pat les services de sécurité pour élucider les circonstances de l’accident de ces drames à répétition.
Samia Naït Iqbal
Les « suicides » des étudiants et étudiantes dans les cités universitaires doivent inquiéter les autorités universitaires. En ce qui concerne cette étudiante originaire de la wilaya d’Illizi peut être s’agit-il d’un meurtre déguisé. Peut être a-t-elle vu ce qu’elle ne devrait pas voir et on l’a éliminé pour supprimer un témoin gênant? Tout est possible car on a aussi vu des filles engrossées tuées pour éviter le scandale.