Jeudi 27 août 2020
Sales temps pour les petits peuples
Nous, petit peuple du monde, vivons depuis l’orée du millénaire (année 2000 particulièrement) des moments d’incertitude, et de maladies de toutes sortes, des génocides et des exterminations systématiques au moyen d’intervention physique sous couvert de lutte contre le terrorisme ou via les plateformes des systèmes des drones.
Des systèmes que l’on appelle communément UAS « Unmanned Aircraft System », soit « système d’aéronef sans humain à bord »), dans l’unique but de produire un maximum de dégats en ce qui concerne l’élimination des vies humaines.
Nous petit peuple, nous n’en savions rien de tout cela. Nous croyons aux bienfaits des technologies permettant de lutter contre le sous-développement, la malnutrition et les maladies naturellement transmissibles.
Nous avons toujours pensé que l’Occident est véritablement le vecteur des lumières permettant ainsi à l’autre humanité, celle qui vivote extra-muros, de sortir un tant soit peu de sa noirceur, mais, cela n’a pas été le cas outre mesure.
Au fil du temps, nous petit peuple, avons constaté l’avidité du civilisé à ne pas regarder autour de soi mais à s’en soucier à son bien-être matériel personnel uniquement au détriment de nous autres, les barbares, les non affranchis pour lequel nous ne représentons qu’une entité négligeable non pas quantitativement mais au regard du droit de disposer inconditionnellement de l’espace temporel.
C’est ainsi que nous nous sommes parvenus à nous poser la question lancinante concernant l’apparition effrénée de plusieurs types de maladies censées être vaincues depuis le siècle dernier par l’apport de la science et des technologies nouvelles mais qui continuent néanmoins à sévir de nos jours.
La réponse à notre questionnement n’ayant pas tardé à nous faire comprendre que justement ces nouvelles technologies qui devraient nous assurer un meilleur lendemain produisent des effets secondaires nocifs pouvant négativement empiéter sur le devenir futur de notre humanité.
En effet, les différents types de déchets nucléaires rejetés et qui ne peuvent-être recyclés ont été tout simplement enfouis sous terre, laquelle terre qui est appelée à produire une saine alimentation permettant d’assurer le bien sécuritaire de cette même humanité se voit ainsi contaminer.
Malheureusement pour nous petit peuple qui tente de subsister comme il peut à l’ombre de la sphère civilisée, s’est vu contraint malgré lui à servir de dépotoir pouvant contenir les surplus de ces mêmes déchets nucléaires, d’ou la contamination par destination de nos terres fertiles qui n’arrivent plus à produire sainement pour se retrouver tributaires des engrais et autres pesticides de fabrication made in.
Nous pauvre petit peuple que l’on est, en dépit de notre piteuse semblant de vie, nous faisons constamment l’objet d’accusation d’avoir à polluer l’eau, l’air et tuti quanti par notre manière anarchique de reproduction qui a tendance à représenter un danger potentiel pour la vie sur terre.
C’est ainsi, que finalement, le moyen le plus à même de permettre de mener à bien son plan de « restructuration de l’espace vital », compatible avec ses visées exterminationnistes, l’élite s’efforce de vouloir utiliser son procédé sous couvert des instances onusiennes telles que l’OMS bien évidemment pour le cas de l’espèce.
Plusieurs scénarios possibles sont pour le moment mis à exécution.
L’ultime niveau d’expérimentation de la phase catastrophe a été le recours systématique à une guerre biologique, quoique les effets indésirables pouvant en résulter empiètent quelque peu sur la nature et l’environnement à savoir l’empoisonnement de la nappe phréatique et la contamination des sous sol entre autres.
Le summum de cette vision apocalyptique de vouloir vaille que vaille réduire la population mondiale vient d’être atteint en cette fin d’années 2019 avec l’apparition de la pandémie du Covid-19.
En effet, il en demeure pas moins qu’au regard du flou ayant jusque-là entouré la naissance, les causes et les finalités de cette forme de contamination par cette bactérie dont la dangerosité et la viralité sont telles qu’il y a improbabilité pour nous, petit peuple, d’en connaitre les contours.
Cette maladie et dont le germe a couvé au sein d’un de ces laboratoires de la mort quel qu’en soit le lieu géographique a sonné le glas de notre humanité telle que nous, petit peuple la concevant à telle enseigne que le monde n’étant plus ce monde pour avoir réussi à contraindre des milliards de petits peuples à « hiberner » durant des mois sous peine de se voir partir à trépas.
Cette situation de vulnérabilité généralisée a engendré tant aux plans mental, psychologique qu’économique et financière énormément de dégâts, tels que les licenciements en masse, les faillites des petits commerces et entreprises familiales sans compter les périodes d’isolement et de clivage que le confinement et la distanciation en ont produit tant au plan familial et/ou national.
Nous, petit peuple qui avons jusque-là payé un lourd tribut pour n’avoir pas su réagir et à continuer à subir le diktat d’une espèce maléfique qui a tendance à vouloir gérer ce monde selon sa vision apocalyptique pour assouvir son instinct de domination…
Nous sommes déterminés dans un élan de solidarité à ne point céder pour exiger la vérité, toute la vérité entourant la propagation de la pandémie du Coronavirus car il y va de la vie sur terre de ces petits peuples que nous sommes…
Soyons vigilants et alertes contre toute forme de médication et de vaccin supposés que ces laboratoires sont en train de nous concocter pour ne pas ressembler à cette planète ayant permis aux singes de dompter le reste de l’humanité.