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Six nouvelles condamnations arbitraires à un an de prison

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Le tribunal de Sidi M’hamed à Alger a condamné, mardi 11 avril, Samira Sayad, Zakia Mendaci, Nouara Gana M., Hichem Boumad, Omar Lerari et Ahmed Oussaidane (détenu dans une autre affaire), à une année de prison ferme et à 100 000 dinars d’amende.

Ces six nouveaux condamnés arbitrairement rejoindront les plus de 250 détenus d’opinion qui croupissent dans les prisons algériennes.

Le parquet près le tribunal de Sidi M’hamed, Alger, avait requis, le 28 mars 2023, contre ceux qu’on a appelé les colleurs d’affichettes » deux ans de prison ferme et 50 000 dinars d’amende à chacun.

Sont Samira Sayad, Zakia Mendaci, Nouara Gana M, Hichem Boumad, Omar Lerari et Ahmed Oussaidane (détenu dans une autre affaire).

Faut-il rappeler que deux journalistes El Kadi Ihsane et Mustapha Bendjamaa font partie des détenus d’opinion. Et que des figures politiques comme Bouaziz Aït Chebib, Kamira Naït Sid, Ali Ghediri et bien d’autres militants de valeurs sont eux aussi en prison pour leurs opinions.

L.M.

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1 COMMENTAIRE

  1. Un an, deux ans, voire trois, de prison ferme contre ces colleurs d’affiches, délit extrême s’il en faut, ce n’est pas cher payé. Il faut bien que des zaoualis sans voix ni « ktafs » occupent les places laissées vacantes par les annulations en cascade des condamnations des Melzi, Eulmi & Co. dont les délits qui leur étaient reprochés (corruption, détournements à la pelle, dilapidation de bien publics, transfert illicite de devises, etc.) sont, force est d’admettre, d’une gravité infinitésimale comparés au collage d’affiche non autorisé, acte suprême de sabotage et d’atteinte à la sécurité territoriale, à l’istiqrar du pays et au bon moral de l’armée. Circonstances encore plus aggravantes quand on sait que ces colleurs d’affiches sont manipulés et financés par les ennemis intérieurs et extérieurs, donc des khabardjis, de la Nouvelle Algérie qui n’arrête pas de battre les records à tous les niveaux, dont le dernier, l’oignon à 350DA, ne pourra jamais être battu sauf catastrophe majeure à l’échelle planétaire de l’ordre de 1000 fois le tsunami du siècle (26 décembre 2004).

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