La valeur des investissements en cours du Trésor public s’élève à près de 5 970 milliards DA, bénéficiant à 11 secteurs économiques, a fait savoir, hier lundi, le directeur général du Trésor et de la gestion comptable des opérations financières de l’Etat au ministère des Finances, Hadj Mohamed Sebaa.
Lors d’une audition devant la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN), dans le cadre de l’examen des dispositions du projet de loi de finances (PLF) pour l’exercice 2025, présidée par Mohamed Hadi Oussama Arbaoui, président de la commission, M. Sebaa a précisé que la valeur des investissements du Trésor, accordés sous forme de crédits à divers organismes publics (en cours d’engagement), a atteint 5.969,12 milliards DA, consacrés au financement de 267 projets répartis sur 11 secteurs économiques.
Ces crédits ont bénéficié à plusieurs organismes publics, dont la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF), l’Agence nationale des barrages et transferts (ANBT), l’Algérienne des autoroutes (ADA), l’Entreprise du métro d’Alger et Sonelgaz, ainsi qu’aux entreprises de dessalement de l’eau de mer, précise-t-il.
Le Trésor vise, à travers ces financements, à garantir le parachèvement des projets en cours et à lancer de nouveaux projets répondant aux besoins de développement du pays et renforçant les infrastructures de base dans divers domaines vitaux, ajoute l’intervenant.
En ce qui concerne le niveau de mise en œuvre des dépenses du budget de l’Etat, M. Sabaa a souligné qu’au cours du premier semestre de 2024, une augmentation significative de 34 % en base annuelle a été enregistrée, atteignant 6.946 mds da, stimulée par l’augmentation des dépenses du personnel, des dépenses d’investissement et des dépenses de transfert qui ont connu des augmentations de 365 mds da, 543 mds da et 490 mds da respectivement par rapport au premier semestre de 2023.
Le directeur général prévoit que le niveau de mise en œuvre des dépenses publiques atteindra plus de 90 % d’ici fin 2024 par rapport aux révisions de la loi de finances 2024, ce qui représente une amélioration par rapport au niveau de mise en œuvre des dépenses budgétaires qui était de 80 % en 2023.
S’agissant des dispositions du projet de loi de finances pour l’année 2025 concernant le trésor et la comptabilité, M. Sabaa a expliqué qu’elles visent principalement à renforcer la capacité de l’Etat à financer les projets stratégiques et les infrastructures, à soutenir l’activité économique et à diversifier les produits financiers, à renforcer la solidité financière du Fonds national d’investissement (FNI), à soutenir le système de retraite et à garantir sa durabilité, à réaliser la transformation numérique et à améliorer la gouvernance.
Elles visent également à soutenir les grands projets de développement, à élargir les perspectives de financement, ainsi qu’à renforcer la capacité de l’Etat à mettre en œuvre des projets prioritaires tendant à soutenir le développement socio-économique.
APS
EN DOLLARS SVP !!! Depuis quand mesure-t-on les investissements en MONNAIE DE SINGES ???
Investir, c’est souvent si ce n’est presque toujours ACQUERIR DU MATERIEL UTILE, c.a.d. pour GENERER UNE PLUVALUE. QUEL MATERIEL fabrique’ en Al-kharia les entrepreneurs ou ceux qui en ont envie, vont-ils acheter avec des dinards? Ce que les ENFANTS ET HOMMES DE MAINS des generalettes et affide’s leur importeront ??? Ca c’etait le vieux temps. Les jeunes Algeriens preferent faire face aux REQUINS et VAGUES qu’a CES RATS d’EGOUTS qui leeur EMPOISONNENT la vie. Teboune decouvre la planche a billets !!!