Noëlle Lenoir, ancienne ministre française des Affaires européennes et présidente du comité de soutien à l’écrivain Boualem Sansal, a provoqué une vive controverse avec des propos accusés de racisme à l’encontre des Algériens résidant en France.
Invitée sur la chaîne de télévision très controversée CNews, identifiée à l’extrême droite, elle a affirmé :
« Nous avons en France des millions d’Algériens qui pourraient sortir un couteau dans le métro, dans la rue, ou conduire leur voiture pour renverser des passants ».
Ces propos, lancés sans aucune contradiction de la journaliste présente, ont été perçus comme un appel à la haine et une stigmatisation grave de la communauté algérienne. Ils ont déclenché une vague d’indignation sur les réseaux sociaux et parmi les associations de défense des droits humains, qui réclament des poursuites judiciaires contre Lenoir pour incitation à la haine raciale.
Le contexte diplomatique entre l’Algérie et la France est d’autant plus tendu que cette sortie intervient quelques jours après l’annonce par Emmanuel Macron de la suspension de l’accord de 2013 sur la suppression des visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques algériens, ainsi que le gel des visas longs séjours pour les Algériens.
Noëlle Lenoir, née en 1948, est une figure politique reconnue en France : première femme membre du Conseil constitutionnel (1992-2001), ministre entre 2002 et 2004, et active dans plusieurs instances internationales, notamment à l’UE et l’UNESCO. Son engagement actuel en faveur de Boualem Sansal, écrivain condamné arbitrairement à 5 ans de prison en Algérie, ajoute une dimension politique à cette polémique. Cette sortie pose un sérieux problème au comité de soutien de l’écrivain embastillé.
Face à ces déclarations, plusieurs voix appellent l’ambassade d’Algérie à Paris et les autorités officielles à réagir fermement pour défendre la dignité des ressortissants algériens et demander des sanctions exemplaires. Mais en l’absence de toute représentation officielle,…
Mourad Benyahia
Ainsi donc d’après cette dame tout Algérien est un potentiel tueur au couteau, stupéfiant!!! Mais elle ne se gêne pas de défendre ceux qui tuent sans retenue femmes et enfants à Ghaza et en Palestine. Elle ne dénoncera jamais non plus la famine à laquelle sont soumis les Palestiniens survivants des bombardements et autres tirs de soldats en toute impunité. Cette grand’mère de 77 ans est vraiment bizarre. Et dire qu’elle a été ministre dans le gouvernement français!!!
L’idiote utile de Teboune. Quand n’importe qui peut devenir Président algérien, n’importe qui peut se permettre de dire ce qu’il veut sur les algériens. Normal. Cette sortie en indique long sur à quel point Teboune et Chengriha ont dégradé l’image de l’Algérie et des algériens. Ces ordures nous ont tout pris, y compris notre image. Y compris l’image que les autres ont de nous. Teboune et les généraux s’en foutent : ils ne se sentent pas algériens. Comment pourraient ils être touchés ?
Tout ça pourquoi ? Parceque c’est un pouvoir faible qui n’a pas d’autre moyen de se maintenir au pouvoir qu’en créeant e en encourageant des ennemis exterieurs. Teboune et Chengriha surtout ont besoin de garder l’Algérie sur cette stratégie de tension permanente avec la France, sur un état de belligérance avec le Maroc et même avec les pays du Sahel. L’effet drapeau permet de justifier et de légitimer le maintien de l’armée au pouvoir. Mais chaque algérien le sait : l »armée n’est pas là pour nous protéger mais pour nous opprimer.