Les routes algériennes sont des plus mortelles. Les services de la Gendarmerie nationale ont enregistré, durant cette semaine, au niveau de leur territoire de compétence, 48 morts et 214 blessés dans 135 accidents corporels de la circulation.
Est-ce une fatalité ? Les bilans macabres se suivent chaque semaine sans que des décisions énergiques ne soient prises pour enrayer la spirale des morts sur nos routes.
Dans une déclaration à l’APS, le chef du bureau de communication au centre d’information et de coordination routière de la Gendarmerie nationale, le commandant Samir Bouchehit a indiqué que le nombre d’accidents enregistre une hausse par rapport à la semaine dernière avec 19 accidents, ainsi que celui des décès avec 17 morts.
En vrai, chaque semaine apporte son lot de morts et de blessés sur les routes algériennes.
Quant au nombre d’accidents, la wilaya d’Alger arrive en tête avec 11 accidents enregistrés, suivie par les wilayas de Blida (9 accidents) ainsi que de Bouira et de Constantine avec 6 accidents chacune, selon le même responsable.
Ces accidents sont principalement dus « au non-respect du Code de la route par les usagers de la route, outre l’état des routes notamment lors des intempéries », ajoute le commandant Bouchehit.
L. M.
Ces accidents sont principalement dus « au non-respect du Code de la route par les usagers de la route, outre l’état des routes notamment lors des intempéries », ajoute le commandant Bouchehit.
LES ACCIDENTS DE LA ROUTE SONT TOTALEMENT DUS AUX ANESGERIENS ceux qui conduisent comme des chikours sans cerveaux et ceux qui controlent la qualité des routes sans en avoir le minimum de conscience